Nouvelle-France

Sous-argument 1.1 Sous-argument 1.2 Dans Dialogues de Monsieur le baron de Lahontan et d’un Sauvage dans l’Amérique, « le sauvage » est décrit comme quelqu’un d’inférieur par ses habitudes rustiques qui n’ont pas de sens.      Dans Voyages en Nouvelle-France, « le sauvage » est aussi présenté comme étant inférieur aux Français. Par contre, c’est par son incapacité à s’exprimer correctement et la facilité par laquelle il se fait amadouer que Jacques Cartier nous le démontre. Illustration 1.1 Illustration

Extrait de voyages en Nouvelle-France, de Jacques Cartier, la supériorité des Français est montrée par le complexe d'infériorité des Amérindiens. Dans le texte Dialogues de Monsieur le baron de Lahontan et d’un Sauvage dans l’Amérique, la supériorité des Français est montrée par leur aisance et leur richesse. Illustration 1.1 Illustration 1.2 La répétition du mot : « harangue » (l. 13,15, 29) L'énumération suivante : « N’as-tu pas vu nos princes, nos ducs, nos maréchaux de France, nos prélats et un

l’autre côté de la palissade de John A. Dickinson Tout d’abord, l’article de John A. Dickinson traite principalement du rôle qu’on jouer les Amérindiens lors de la bataille du Long Saut. Cette bataille a été livrée en mai 1660 par 17 colons de la Nouvelle-France avec 40 alliés Hurons et 4 Algonquins contre plusieurs centaines d’Iroquois dans un fortin abandonné, sur la rivière des Outaouais au Long-Sault.1 En faite, Dickinson s’intéresse principalement sur l’apport des Amérindiens durant cette bataille

statut d'une véritable légende vivante en Amérique francophone. Il est très bien reçu par les auditoires anglophones, cela, malgré sa prise de position souverainiste bien connue. Sa notoriété s'est également étendue jusqu'en Europe, à partir de la France, de la Suisse, du Luxembourg et de la Belgique5,6. Trois fonds d'archives de Gilles Vigneault sont conservés au centre d'archives de Montréal de Bibliothèque et Archives nationales du Québec. Ascendance Gilles Vigneault est le fils, le seul garçon

     Le fait qu’il décrit l’environnement physiques des Français comme étant plus luxueux que le sien émet un pouvoir dominant / dominé. Argument principal 2      En second lieu, dans un Sauvage dans l’Amérique et l’extrait de Voyages en Nouvelle-France, il ressort que les deux hommes ont des préjugés différents envers les Français de sorte que l’intensité des critiques varie d’un texte à l’autre. Sous-argument 2.1 Sous-argument 2.2      Tout d’abord, la description des Français vise surtout

fuir à la frontière canadienne, car ses plans de le tuer subtilement échouent. Élisabeth reste seule vis-à-vis de son arrestation de complicité au crime. Par contre, faute de preuve, elle bénéficie d’un non-lieu. Finalement, puisqu’elle n’a aucune nouvelle de George, elle se marie avec Jérôme Rolland, notaire de Québec. 2) Pourquoi ce roman est-il raconté dans le désordre? L’œuvre consiste en l'organisation des souvenirs d’Élisabeth qui refont surfaces. Elle essaie de dissimuler le plus possible

LA REVOLUTION AMERICAINE (1775-1783) I) LES CAUSES a) Présentation des treize colonies américaines En 1763 , les colonies s’échelonnent le long de l’océan atlantique. _ Au nord , la Nouvelle Angleterre , formée du Masachusets _ Au centre , New York , New Jersey, Delaware . Une population mêlée est à l’origine de l’essor du port de New-York et de la cosmopolite Philadelphie , la ville la plus importante avec 25000habitants . _ Au sud , Maryland , Virginie , Cardine du nord . Le

Son père, dont les ancêtres venaient de Normandie, était forgeron. Le premier de la lignée au Canada, Étienne Racine, était arrivé en Nouvelle-France vers le milieu du XVIIe siècle, et il avait épousé l'une des filles d'Abraham Martin, celui-là même qui a donné son nom aux historiques Plaines d'Abraham. Par sa mère, Marie Pépin, Antoine Racine était apparenté aux Bédard, et c'est chez son grand-oncle, Antoine Bédard, curé de Charlesbourg, qu'il commença ses études du latin. En 1834, on trouve le

comme un ver et libre de | | |tout. | Étape 2 : Rédaction de l’introduction      La découverte de la Nouvelle-France a été au coeur d’énormément de mystères en ce qui concerne les relations qu’avaient les nouveaux arrivants français avec les Amérindiens de l’époque. Jacques Cartier, explorateur, et Louis-Armand de Lom d’Arce de Lahontan, auteur avant-gardiste

du Nouveau Monde au 16e siècle a fait naître de nombreux textes de genres différents qui ont aidé l’Amérique à se faire connaître. Jacques Cartier, un explorateur ayant effectué trois voyages en Nouvelles-France dont le premier en 1534, a publié plusieurs récits de voyages dont Voyages en Nouvelle-France (1534) qui décrit avec beaucoup de détails ses premières observations faites sur le continent. Pour sa part, Louis-Armand de Lom d’Arce de Lahontan séjourna une dizaine d’années au Canada presque