Nouvelle économie Classique

contre les autres ? 2) Qu’est-ce qui fait selon Keynes la puissance de l’orthodoxie classique ? 3) Pourquoi les discours des « hérétiques » ne sont-ils pas parvenu jusqu’ici à « ébranler la citadelle » ? 4) Comment selon Keynes doit-on par conséquent s’y prendre pour « ébranler »  cette citadelle ? Texte n°2 Questions : 1) Quel est selon Keynes le défaut majeur de l’orthodoxie classique ? 2) Quel est dans ce passage l’objet d’étude que Keynes se fixe par dessus tout ?

nombreux domaines tels que l'économie financière, internationale, politique, industrielle, du travail et des ressources humaines, publique, de la santé, de l'environnement, de l'éducation, etc. Dès 1768, l'économie est pensée comme une science nouvelle avec l'idée qu'il faut découvrir des lois valables sous tous les climats et tous les pays. En 1825, J.R. McCulloch voit la science économique aussi certaine que toutes les sciences fondées sur les faits et l'expérience (Principles of Political Economy)

BTS 1 - ÉCONOMIE THÈME 1 - LA COORDINATION DES DÉCISIONS ÉCONOMIQUES PAR L’ÉCHANGE 1.1 L’ÉCHANGE SUR LES MARCHÉS 1. Le marché offre Marché 3 types de marché : - des biens et services - du travail - des capitaux Demande ⇓ Prix et quantité d’équilibre * ➚ du prix : - baisse de la demande - Augmentation de l’offre * ➘ du prix : - Augmentation de la demande - Baisse de l’offre 2. La monnaie Les formes de la monnaie Monnaie fiduciaire Les pièces et les billets émis par la banque centrale Monnaie

d‟ores et déjà organisés ou sont en passe de l‟être. L‟économie sociale (ES) que nous considérons comme « classique » est, comme on le sait, en réalité une conception d‟origine française partagée partiellement chez quelques uns de nos plus proches voisins. Comment s’articulent ES et entrepreneuriat social ? Pour répondre à cette question, il faut distinguer clairement les entreprises sociales – de forme associative, coopérative ou de statuts classiques - de l’entrepreneuriat social. Au-delà de leur choix

nature et les causes des fluctuations du « cycle des affaires » - qui procure le cadre intellectuel de la réflexion de politique économique. Rien d’étonnant à cela car la crise de 1929, la reconstruction de l’après-guerre, mais aussi l’échec des économies planifiées ont démontré que les gouvernements pouvaient avoir une influence bénéfique ou négative – aussi bien par leur intervention que par leur absence d’initiative - sur le cours des choses. Comprendre par quels mécanismes réagit le « circuit

Cette citation résume la position des classiques quant au rôle de la monnaie dans l'économie, celle de sa neutralité. La monnaie désigne l'ensemble des actifs liquides qui permettent d'effectuer le règlement d'une transaction. Les autorités monétaires mesurent différents agrégats pour évaluer la quantité de monnaie en circulation dans une économie, le plus large étant M3, la masse monétaire. Le terme « neutre» renvoie au vocabulaire des classiques et des néoclassiques, à l'idée de monnaie

hiérarchisé” Un document produit en version numérique par Jean-Marie Tremblay, bénévole, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi Courriel: jean-marie_tremblay@uqac.ca Site web pédagogique : http://www.uqac.ca/jmt-sociologue/ Dans le cadre de: "Les classiques des sciences sociales" Une bibliothèque numérique fondée et dirigée par Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi Site web: http://classiques.uqac.ca/ Une collection développée en collaboration avec la Bibliothèque Paul-Émile-Boulet

révolutions industrielles, qui grâces à des découvertes, se traduisent par des périodes de croissances. L’innovation est le résultat du progrès technique. C’est la mise en place de nouvelles combinaisons productives permettant la production de nouveaux biens et services ou de biens améliorés, de nouveaux procédés et de nouvelles organisations productives. C’est ainsi que nous pouvons nous interroger sur l’influence de l’innovation sur la croissance économique ? Soit comment peut-elle être source de croissance 

Concepts économiques fondamentaux Introduction : La place de l’économie dans les sciences sociales Deux grands groupes d’approche: - Les économistes standards qui étudient l’économie pure - Les économistes hétérodoxes qui étudient la socio-économie. Keynes (hétérodoxe) a beaucoup étudié les spéculations financières. 16-17ème siècle : A cause des arrivées de métaux précieux d’Amérique, l’économie s’effondre et apparaissent de nouveaux systèmes de valeurs et de nouveaux équilibres politiques

« stérile ». Elle comprend les artisans et les commerçants. Pour eux ils ne créent pas de valeurs, car ils ne font que transformer la matière. Il n’y a pas de création de valeurs. 4) Les physiocrates vont représenter la première vision modélisée d’une économie à travers ce qu’il appelle le tableau économique. Ils retracent ce que les différentes classes échangent entre elle. Les différents flux de monnaie. Première fois qu’on retrace des échanges chiffré, des flux de biens a une autre branche pour voir