Nouvelle

LE PETIT CLOWN Quarante-deux, quarante-quatre… Pardon Madame, merci Monsieur ! Cinquante, cinquante deux… Voici nos fauteuils. Face à la piste. C’est bien, n’est-ce pas ? Tu aurais préféré avoir plus de recul ? J’y penserai la prochaine fois. Mais dis-moi, comment fais-tu pour passer autant de temps à la salle de bains ? Oui, oui, je m’occupe de mes affaires. Bon, quatre-vingt fois deux pour les places, plus cinq pour le programme, plus encore les glaces. Je devrais m’en tirer à environ… Elle et

* Un mot * * Le réveil affichait 9 heures. En cette fraîche matinée de mars, les automobilistes ne cessaient de passer devant l’immeuble où logeaient le jeune couple et leur fils de deux ans, ce qui provoqua le réveil de ce dernier. La mère de famille étant partie travailler, c’est le père qui dut se lever pour s’occuper de son fils, bien que ce fut son jour de congé, jour qu’il attendait depuis deux semaines avec impatience. L’humeur du jeune homme était au plus bas : il avait prévu de

À la première séance, J’ai eu des crampes aux jambes après les premières 15 minutes j’étais essoufflé. Durant mes premières 18 minutes se ma dernière séance, je me sentais about de soufre et essouffler mais, c’est à cause d'un changement de programme. À la première séance, J’ai eu des crampes aux jambes après les premières 15 minutes j’étais essoufflé. Durant mes premières 18 minutes se ma dernière séance, je me sentais about de soufre et essouffler mais, c’est à cause d'un changement

Berthe-Marie-Pauline MORISOT (1844-1895) Jeune fille dans le parc 1888-1893 Peinture, toile, peinture à l'huile ; Musée des Augustins, Toulouse Le narrateur ayant acheté un tableau, représentant une femme, tomba amoureux de celle-ci. C’était un matin de noël, les fenêtres étaient bloquées par la neige, et dehors il faisait très froid. J’habitais dans un endroit isolé prèset n’ayant rien à faire chez moi, je décidai d’aller au marché du

Il ne savait pas trop ce qu’il faisait là, cherchant sans doute son chemin dans ce labyrinthe de galeries. Néanmoins, il gardait un vague souvenir de la soirée d’hier. Il faut dire que son mal de tête l’aidait à s’en rappeler. De vagues lambeaux de souvenirs remontaient à la surface. Une soirée, de l’alcool, des amis, de la musique à fond… Mais avant, comme après, c’était le trou noir. Et puis, d’ailleurs où se trouvait-il ? Et que faisait-il dans cet endroit…pour le moins étrange ? Des sculptures

C’était une de ces froides matinées de décembre. Je découvris que j’avais contracté une grave maladie. Suite à ça le père supérieur m’expulsa du séminaire dans lesquels j’étais rentré avec l’aide de l’abbé Michou. Il s’était aperçut de ma vive intelligence et de mes aptitudes à décliner rosa. Mais cette ordre d’expulsion été surtout motivé par la découverte de mes malles pleines d’ouvrages « contraires aux bonnes mœurs ». Dans l’après midi je fus enfin arrivé a la destination qui m’avait été exigeais

Le pire Frisson Le narrateur est entre chez un brocanteur. Le marchand lui demande s’il va lui acheter quelque chose. Je voudrais une figurine, un objet quelconque qui put me servir de serre-papier, car je ne puis souffrir tous ces bronzes de pacotille que vendent les papetiers, et qu’on trouve invariablement sur tous les bureaux. J’hésitais entre un dragon de porcelaine tout constelle de verrues, la gueule ornée de crocs et de barbelures, et un petit fétiche mexicain

l’on me répondit que personne ne savait de quoi je parlais. -et avons-nous retrouvé Pierre et Jean ? ainsi que cette chose demanda Georges -non jamais, étais ce peut être le fruit de notre imagination je ne sais pas mais je n’eus jamais plus de nouvelle de mes deux compères -quel mystère -Georges regarde dehors ! Il fait jour nous allons pouvoir rentrer chez nous. » Paul et Georges sortirent de la cabane pour retrouver leur chemin dans la forêt. Derrière eux il y avait une silhouette étrange

mois, 12 jours et quelques heures Je marche. Je marche au bord de la route. 6 h 45, 0°, un vent glacial traverse mon jeans, mes tennis, mon manteau. J'ai l'impression d'être nu. Cette journée va être différente, je ne sais pas pourquoi, une nouvelle rencontre peut être. J'ai un sentiment bizarre. Quelque chose va se passer... J'ai froid. Heureusement que je suis bientôt à l'arrêt de bus... Au fait, je ne me suis pas présenté. Je m'appelle Pierre, j'ai 13 ans, 7 mois, 12 jours et quelques heures

où l’ambigu se disputer à l’absurde. Le tueur passant dans une salle ou se dénombrer une incroyable quantité de miroirs et se dit que la petite taille de cet homme était à l’opposé de la grandeur de son ego. Il marcha tranquillement regardant une nouvelle fois cette extravagante collection de miroirs. Il avait plus de temps cette fois si : pourquoi se presser quant le crime ne serai découvert que trop tard et que la police ne le poursuivait pas. Il savait que cell-ci surveillait cette demeure comme