Noyer

rompant avec Bob et Randy. Lorsque Ponyboy rentre très tard, Darry se met en colère et le frappe. Ponyboy s‘enfuit et rencontre Johnny. Comme ils errent dans le quartier, Bob, Randy, et trois autres Socs ivres les confronte. Les SOC essayent de noyer Ponyboy dans une fontaine et Johnny est terrifié alors il poignarde Bob, le tuant accidentellement. Ponyboy et Johnny retrouvent Dallas, qui leur donne de l'argent et une arme chargée et leur dit de se cacher dans une église abandonnée. Ils y restent

donc l’eau, représente le danger et est toujours oppressante sauf pendant les flashbacks présents en forme de petits films car c’est avant le secret. L’eau est un danger pour la mère qui a failli se noyer dans la piscine, pour le père qui a essayé de se suicider dans la mer, pour Louis qui a failli se noyer dans la mer et pour un chat que Louis et son père ont failli tuer en l’aspergeant d’eau. Concernant le jeu des acteurs, tous les acteurs ont bien joué, certains mieux que d’autres. Martin

précise les qualités du décor à l'aide de quatre adjectifs descriptifs qui se complètent : " propre, humble, paisible, honnête " (vers 2). Bientôt ces notations seront plus complètes : un " portrait " constitue la seule décoration ; une " armoire en noyer ", l'essentiel du mobilier ; une cheminée apporte un peu de chaleur. Convaincu de la simplicité, de l'honnêteté et du pacifisme, bref de l'innocence de ces gens, le lecteur adhérera plus facilement, tout à l'heure, au discours violemment anti-bonapartiste

espère qu’ainsi ses problèmes disparaissent. « Là, dans ce verre, qu’elle se forçait à boire qu’elle vidait avec frénésie, ses souffrances, ses douleurs, tout son horrible présent allait se noyer, disparaitre. ». Et comme elle tous les alcooliques l’espèrent, juste pour remarquer qu’à la fin essayer de noyer leurs problèmes ne sert à rien parce qu’ils peuvent nager. IV. Conclusion Ce passage du roman « Germinie Lacerteux » de Jules et Edmond Goncourt représente, selon moi, les caractéristiques

J’avais juste envie d’écrire.Cela fait bien longtemps que j’ai envie d’écrire. Je me sens comme vide, sans âme, seul, une solitude qui déchire mon être chaque jour un peu plus. Peut-être qu’écrire m’aidera à aller mieux, ou pas. L’art d’écrire est quelque chose de passionnant, savoir écrire est la plus belle des qualités. Je ne sais sûrement pas le faire mais bon j’en avais envie alors je me lance. J’ai tellement de sujets sur lesquelles écrire pourtant devant cette page blanche rien ne me vient

basse de plafond, un petit de fer, quelques uns avec édredon rouge. Des couvre-pied bleu. Une armoire de noyer à porte pleine. Une table de toilette. Deux chaises.» tandis que le roman il a écrit «C’était une cellule mansardée, […] meublée d’un petit lit, d’une armoire de noyer, d’une table de toilette et de deux chaises.» Dans ces deux extrait nous retrouvons les mots «mansardée «, «armoire de noyer», «une table de toilette «et «deux chaises «. Zola, en écrivant son œuvre, n’a fait que recopier les

basse de plafond, un petit de fer, quelques uns avec édredon rouge. Des couvre-pied bleu. Une armoire de noyer à porte pleine. Une table de toilette. Deux chaises.» tandis que le roman il a écrit «C’était une cellule mansardée, […] meublée d’un petit lit, d’une armoire de noyer, d’une table de toilette et de deux chaises.» Dans ces deux extrait nous retrouvons les mots «mansardée «, «armoire de noyer», «une table de toilette «et «deux chaises «. Zola, en écrivant son œuvre, n’a fait que recopier les

l'encombrement des choses » qui l'agressent. Reverdy, lui, souffre du « dur », de l'« absence », du « néant » et parle de l'« entaille » qui le blesse (v. 12). Les deux poètes semblent écrasés : le pronom personnel « me », répété, est l'objet du verbe « noyer » pour le premier ; le « je » du second est sujet de verbes d'état ou lié à des antithèses (v. 1-2), à une négation (« Je ne suis nulle part »), qui indiquent son malaise. 2. Deux êtres qui se distinguentToutefois, les deux poètes diffèrent, dans

et « l’aïeule » qui revient plusieurs fois aux vers 12, 20 et 41 pour la désigner. Il énonce également la pauvreté de cette grand-mère à plusieurs reprises en décrivant son foyer comme étant « humble » v.2 mais aussi avec « son armoire en noyer » v.19, le noyer étant un bois qui ne coûte pas très cher. Hugo décrit également sa solitude au vers 42 « Que vais-je devenir à présent, toute seule ? » mais également au vers 44 où la mort de sa fille est exprimée « Je n’avais plus de sa mère que lui ». Il

regard vide, elle achète pour noyer le complexe de la pauvreté. Je consomme pour exister. Je marque ma réussite par mon achat (marqueur social) même si cela se fait au détriment de mon bonheur et de ma santé.  C'est un regard critique sur la société de consommation et sur l'American Way Of Life (mode de vie américain). Cette femme qui veut se mettre en valeur (elle fait l'effort de faire des bigoudis pour se rendre plus belle) se met en danger (surpoids) pour noyer son désespoir par de la surconsommation