Noyer

homme mort un double effroi me navre. J'ai pitié du tueur autant que du cadavre. Le mort tient le vivant dans sa rigide main. Le meurtrier prendra n'importe quel chemin, Il peut chasser ce mort, et le chasser encore, L'enfouir dans la nuit, le noyer dans l'aurore, Le jeter à la mer, le perdre, et, plein d'ennui, Mettre une épaisseur d'ombre entre son crime et lui ; Toujours il reverra ce spectre insubmersible. [...] Mais faut-il donc trembler devant l'avenir ? Certe, Il faut songer. Trembler

vois mon visage, mes yeux, mes mains, tout semble normal. Mais je suis diffèrent. Rien ne m'associe aux personnes qui m'entourent. Moi, je ne bouge pas et pourtant je suis envahi d'un grand sentiment de liberté en voyant ces individus qui semblent se noyer sous les contraintes. Mon regard passe du miroir aux Hommes sans cesse, cela m'obsède. Ce cycle répétitif me fait tourner la tête, tout s'accélère et me fatigue. Je ferme les yeux. Le noir. Le calme. Dans cet état de quiétude je parviens à enfouir

- Et quand ce fut fini, le prit sur ses genoux. La nuit était lugubre ; on entendait des coups De fusil dans la rue où l'on en tuait d'autres. - Il faut ensevelir l'enfant, dirent les nôtres. Et l'on prit un drap blanc dans l'armoire en noyer. L'aïeule cependant l'approchait du foyer Comme pour réchauffer ses membres déjà roides. Hélas ! ce que la mort touche de ses mains froides Ne se réchauffe plus aux foyers d'ici-bas ! Elle pencha la tête et lui tira ses bas, Et dans ses

turcs, qui tinrent son père prisonnier à Constantinople. L'éducation qu'il reçut ne fut pas très raffinée. Pas de grec ni de latin , il parla l'espagnol, l'italien et l'anglais, fut un excellent musicien et un poète prometteur. Il aurait failli se noyer trois fois dans la Seine dans sa jeunesse, ce qui fit qu'il eut une sainte horreur de l'eau, lui préférant les joies du vin et de la bonne chère en compagnie de la noblesse de l'époque dans les cabarets parisiens. Il rejoignit très vit la maison du

la mort, le normal est qu’il fasse tout pour s’en sortir comme justement persuader ses auditeur en plaisant a ceux-ci d’une quel qu’onc façon, c’est comme dire que les capitaine meurt avec leur bateau au moment d’un naufrage et quand il pense se noyer, pensez-vous vraiment qui vas rester là pour mourir avec son bateau ou vas-t-il pas tout essayer pour s’en sortir ? En conclusion, son erreur a vraiment été de ne pas vouloir plaire. Aujourd’hui un procès est plus du bien paraitre que d’exposer

|PRENOM : | | | | |ADRESSE : Eragny rue du bas noyer | | | | | |NOM

comme un récit I. Les différents mode d'expression A. Le récit (v. 1 à 25) - v.2 et 3 : Présentation du contexte, du cadre > insiste sur simplicité du logis. Détail réaliste v. 3 : le rameau béni > fait vivre le décor ; confirmé par l'armoire en noyer. Jugement moral avec " honnête " > contribue au pathétique et à la dénonciation. v. 12 à 15 : présentation de la grand-mère, gestes qui correspondent au récit. Interrompue par deux vers au discours direct > rapporte son émotion. - v. 16 et 17 :

guident le regard vers les voiles beiges du navire qui passe. Il est temps alors de découvrir les « détails » de cette scène quotidienne : près du bateau, devant le rocher, la mer se ride et deux jambes s'agitent : c'est Icare qui est en train de se noyer dans l'indifférence de l'entourage et de la nature. Icare, coupable de s'être approché un peu trop près du soleil, plonge et personne ne le remarque. Pas même la perdrix dont le regard vague et lointain rappelle celui du berger qui tourne le dos au

suivre dans ses propres rêves et dans le désordre de sa vie où, entre deux passions, viennent se mêler les liens mystérieux de l’enfance. Lia et Michel ont, en effet, une relation malaisée, orageuse, trouble et troublante, qu’ils essaient sans doute de noyer dans la peinture, la musique, les livres, l’alcool et les cigarettes. Ils s’efforcent en vain de la fuir, Lia en prenant un amant, Michel en épousant Catherine. Mais celle-ci doit lutter pour sa vie contre l’étrange amour de Michel, un amour enfermant

hommage à un moraliste de son temps : le Duc de La Rochefoucauld. Dans ce poème La Fontaine fait le portrait en évoquant le mythe de Narcisse mais revu à l'envers : alors que l'eau, telle un miroir, renvoie à Narcisse son image qui le pousse à se noyer. L'Homme et son image Un homme qui s'aimait sans avoir de rivaux Passait dans son esprit pour le plus beau du monde. Il accusait toujours les miroirs d'être faux, Vivant plus que content dans son erreur profonde. Afin de le guérir, le sort