Nucléosynthèse primordiale

qui est brutalement entré en expansion, se refroidissant. En ralentissant (refroidissement) une partie de cette énergie est devenue de la matière sous forme d'atome de deutérium (hydrogène lourd : 2H), d'hélium 4 et de lithium 7 : c'est la nucléosynthèse primordiale. Des nuages de gaz d'hydrogène se sont concentrés sous l'impulsion de la gravitation, prenant la forme de galaxies et d'étoiles. Lorsqu'une sphère de gaz atteint une certaine densité, une réaction de fusion nucléaire devient possible, fusionnant

faites au terme de déductions et de suites d’expériences compliquées, utilisant parfois un matériel et un langage plus compliqué encore. Pour eux qui sont dans leur élément, c’est limpide, mais pour monsieur tout le monde… Si je vous parle de nucléosynthèse primordiale, de découplage des neutrinos, de cosmologie quantique, ça vous dit quelque chose ? Pour moi c’est de l’hébreu. Et pourtant ces termes font partie de l’explication du mécanisme du Big bang, théorie de l’origine de l’univers approuvée scientifiquement

premièrement proposée par Georges Lemaître, chanoine catholique belge, en 1927. En effet, ce dernier plaça les trois grand piliers cette théorie : la première, comme quoi l’Univers est en constante expansion ; la deuxième qu’il y a lieu d’une nucléosynthèse primordiale (théorie d'astrophysique qui permet d'expliquer la présence de certains atomes qui ne peuvent exister à l'intérieur d'étoiles.) et qu’un faible rayonnement fossile baigne l’Univers. Elle fut après étudiée en détails par Georges Gamow,

qu'Aristarque tenait pour correct, ce qui aboutirait à 8 rayons terrestres pour la distance Terre-Lune. Voir Aristarque. ↑ Neugebauer, loc. cit. ↑ cf. Des grandeurs et des distances du Soleil et de la Lune. ↑ cf. sciences grecques. ↑ , comme la nucléosynthèse primordiale par exemple ou encore la baryogénèse. ↑ Lancée par la NASA. ↑ (en) D.N. Spergel et al., Wilkinson microwave anisotropy probe (wmap) three year results : implications for cosmology. [archive] soumis à Astrophys. J., prépublication disponible

est en effet la matière restante après l'annihilation réciproque des masses de matière et d'antimatière, dans les premiers instants de l'univers. De même, si la vitesse d'expansion initiale de l'univers avait été plus faible, la phase de nucléosynthèse primordiale aurait duré plus longtemps. Si elle avait duré quelques millions d'années au lieu de quelques minutes, notre univers serait aujourd’hui entièrement constitué d'atomes lourds. Un univers de métal, stable et stérile. De manière générale,

collisions entre les particules. Lors d’une collision, deux noyaux peuvent se coller ensemble, fusionner et ainsi former un nouveau noyau. C’est une réaction nucléaire, une réaction de fusion*. La formation de ces nouveaux noyaux est appelée la nucléosynthèse*. Pour que deux noyaux fusionnent, ils doivent se rapprocher. Or, ils sont de même charge positive. Il y a donc une répulsion coulombienne* entre ces noyaux. Pour pouvoir fusionner, les noyaux doivent se transmuter. 1. La transmutation

qui est brutalement entré en expansion, se refroidissant. En ralentissant (refroidissement) une partie de cette énergie est devenue de la matière sous forme d'atome de deutérium (hydrogène lourd : 2H), d'hélium 4 et de lithium 7 : c'est la nucléosynthèse primordiale. Des nuages de gaz d'hydrogène se sont concentrés sous l'impulsion de la gravitation, prenant la forme de galaxies et d'étoiles. Lorsqu'une sphère de gaz atteint une certaine densité, une réaction de fusion nucléaire devient possible, fusionnant

peuvent se former : des deutérons (noyaux d’hydrogène lourd ; association d’un proton et d’un neutron), puis des noyaux d’hélium lorsque des deutérons captent un neutron et un proton... Cette période dure quelques minutes et porte le nom de nucléosynthèse primordiale. Au delà, la température est trop basse pour que d’autres noyaux puissent apparaître; l’Univers est formé principalement de noyaux d’hélium 4 et de quelques noyaux légers d’hélium 3, de deutérium et de lithium 7. ATOMES ET MOLECULES APPARAISSENT

d'antimatière. L'univers que nous connaissons est en effet la matière restante après l'annihilation. De même, si la vitesse d'expansion initiale de l'univers avait été plus faible, la phase de nucléosynthèse, ensemble des processus qui conduisent à l'apparition des éléments chimiques constituant la matière de l'Univers, primordiale aurait duré plus longtemps. Si elle avait duré quelques millions d'années au lieu de quelques minutes, notre univers serait aujourd’hui entièrement constitué d'atomes lourds. Un univers

est en effet la matière restante après l'anihilation réciproque des masses de matière et d'antimatière, dans les premiers instants de l'univers. De même, si la vitesse d'expansion initiale de l'univers avait été plus faible, la phase de nucléosynthèse primordiale aurait duré plus longtemps. Si elle avait duré quelques millions d'années au lieu de quelques minutes, notre univers serait aujourd’hui entièrement constitué d'atomes lourds. Un univers de métal, stable et stérile. De manière générale,