Nuit des Molières

Molière, Dom Juan, I, 1 : l’éloge du tabac Texte étudié SGANARELLE, tenant une tabatière : Quoi que puisse dire Aristote et toute la philosophie, il n’est rien d’égal au tabac : c’est la passion des honnêtes gens, et qui vit sans tabac n’est pas digne de vivre. Non seulement il réjouit et purge les cerveaux humains, mais encore il instruit les âmes à la vertu, et l’on apprend avec lui à devenir honnête homme. Ne voyez-vous pas bien, dès qu’on en prend, de quelle manière obligeante on en use

d’admissibilité : exploitation pédagogique d’un ou plusieurs textes d’auteurs de langue française (durée de l’épreuve : cinq heures, coefficient : 3) – B0 N°30 – 27 juillet 1995. Le sujet Après avoir analysé la scène 1 de l’acte I d’Amphitryon de MOLIERE (1668), vous en proposerez une exploitation pédagogique destinée à une classe de Lycée professionnel dont vous préciserez le niveau en le justifiant. 2.1.2. Rapport sur l’épreuve 2.1.2.1. Remarques sur les copies D’une manière générale le jury

retrouve dans la réalité. Le décor d’abord. Comme le montre la didascalie de l’extrait de On ne badine pas avec l’amour : « Devant le château », il s’agit de faire comme si l’on était devant un château. De même avec les nombreux décors du Dom Juan de Molière, le spectateur est convié à un déplacement imaginaire d’espaces en espaces : palais, bord de mer, forêt, etc. La plupart du temps, les décors du théâtre sont donc là pour créer une illusion. Les costumes aussi. Ainsi le personnage de Dubois-Dupont

que les mots, la mise en scéne elle aussi joue un rôle important. Au début d'une pièce, c'est une nécessité au théâtre, reconnue depuis Molière, d'avoir à obtenir le silence et l'attention du public. Pour cela, il n'est pas rare de voir les acteurs entrer en scène sans prononcer un mot, très lentement ou, au contraire, en dansant comme au début de Tartuffe de Molière, où les personnages sont poursuivis par Madame Pernelle qui les menace et les rappelle à une attitude plus digne.De ce point de vue, le

Le théâtre est depuis l’Antiquité un art reconnu et très populaire. Cela peut s’expliquer par la spécificité de ce genre. En effet, celui-ci se démarque par ces spectacles donnés au grand public. Molière, un dramaturge du XVIIe siècle, extrêmement connu de par son talent et ses pièces, affirme que le théatre n’est fait que pour être vu. On peut donc se demander si le théâtre ne sert qu’à être vu. Dans un premier temps, on verra que le théâtre a été conçu pour être vu et en second temps on verra

répétition de mots, de situation où d’actions qui doivent susciter le rire chez le spectateur. Molière utilise ce procédé dans « Le bourgeois gentille homme » où Monsieur Jourdain répète les voyelles afin de les apprendre. « A,A », « A,E,A,E », « A,E,I ,I, I, I » il montre ainsi un personnage ridicule, qui veux apprendre l’orthographe pour imiter la noblesse alors qu’il n’est qu’un bourgeois. Molière montre ainsi, aux nobles de la cours du roi, un Bourgeois avec une grande bêtise seulement pour

s'enchaîner de différentes manières : I- LA JUXTAPOSITION : On dit que deux propositions sont juxtaposées, lorsqu'elles se suivent  et sont séparées par une virgule (ou un point-virgule). Exemple : 'je me meurs, je suis mort, je suis enterré.' (L'avare, Molière) II- LA COORDINATION : deux propositions coordonnées sont reliées entre elles par une conjonction de coordination (mais - ou - et - donc - or - ni - car).  Exemple : 'Je pense donc je suis' (Descartes) III- LA SUBORDINATION : une proposition subordonnée

c’est-à-dire de la vivacité. Cette fonction est particulièrement évidente à la représentation, où l’affrontement peut se traduire par des injures (entre Sganarelle et sa femme dans Le Médecin malgré lui de Molière, par exemple) ou par des mouvements ou des coups (dans Les Fourberies de Scapin de Molière) : il y a de l’action et de l’animation sur scène, surtout si la représentation exploite toutes les ressources de la dispute (cavalcades, jets d’objets, hurlements, etc.). Ce sont parfois des joutes, non

Dom Juan de Molière Claudé Cyril 1ère ES PLAN :  Présentation de l’auteur page 1  Résumé de l’œuvre page 4  Historique de la pièce page 5  Étude psychologique des personnages principaux page 6  Choix d’un thème développé page 6  Choix d’un passage page 7  Opinion personnelle page 7  Présentation de l’auteur. Sa vie : 1622 15 janv.: naissance à Paris de Jean-Baptiste Poquelin, fils de Jean Poquelin et de Marie Cressé, des bourgeois aisés

à acheter : 1eres ES et L Memnon ou la sagesse humaine et Candide : Voltaire La Princesse de Clèves : Mme de la Fayette Dom Juan : Molière Manon Lescaut : L’Abbé Prévost L’Ile aux esclaves : Marivaux Les fleurs du mal : Baudelaire 1ère S L’ingénu et Candide : Voltaire Les fleurs du mal : Baudelaire Dom Juan : Molière La peste : Camus 1ère L uniquement + : La nuit de Valognes : EE Schmitt – Lambeaux : Charles Juliet Le plus bel amour de Don Juan dans les diaboliques : Barbey d’Aurevilly ALLEMAND