Nuit Doctobre

Conte de Noël « Un sourire qui vaut de l’or » Il était une fois un vieux berger qui aimait la nuit, son silence, son ciel parsemé d’étoiles. Ces étoiles, il les connaissait par leur nom. En les regardant, il disait souvent à son petit fils : “Il va venir.” - Quand viendra-t-il ? demandait l’enfant. - Bientôt! Les autres bergers riaient. “Bientôt! … Tu répètes cela depuis des années !” Mais le vieux berger ne les écoutait pas. Une seule chose l’inquiétait, son petit-fils aussi commençait à douter

Angle de vue cadrage et angle de vue On note que les jeunes femmes est cadrée en pied et vu en contre-plongée dans une position quasi aérienne comme intégré aux éléments naturels a présent je voudrais a présent abordé le point de la technique picturale. Les couleurs, la lumière, le mouvement. Il s’agit d’un portrait effectuer en plein aire. Le tableau est dominé par des tons pastel et des transparences blanches aux reflets délicats renvoyaient par la lumière d’un jour d’été, le foulard bleu, l’embrelle

C'est pourtant simple, c'est un jeu, tous les matins au réveil on te donne 86400 dollars, avec pour seule contrainte de les dépenser dans la journée. Le solde non utilisé étant repris quand tu vas te coucher, mais ce don du ciel ou ce jeu peut s'arrêter à tout moment, tu comprend ? alors la question est : que ferais tu si un tel don t'arrivait? je répondis spontanément que je dépenserais chaque dollar à me faire plaisir , et à offrir quantité de cadeaux aux gens que j'aime. et même a ceux que

...Ce n'est pas le canon du noir vendémiaire, Ni les boulets de juin, ni les bombes de mai, Qui font la haine éteinte et l'ulcère fermé. Moi, pour aider le peuple à résoudre un problème, Je me penche vers lui. Commencement : je l'aime. Le reste vient après. Oui, je suis avec vous, J'ai l'obstination farouche d'être doux, Ô vaincus, et je dis : Non, pas de représailles ! Ô mon vieux coeur pensif, jamais tu ne tressailles Mieux que sur l'homme en pleurs, et toujours tu vibras Pour

Il est évident que Nelligan et Baudelaire partagent la même vision de la poésie dans leurs poèmes « Clair de lune intellectuel » et « Élévation ». À première vue, on voit clairement que les deux auteurs partagent le même gout pour le thème de la pensée. C’est une poésie qui permet à nos auteurs de s’évader dans un tout autre monde. En effet, on peut voir que Nelligan explique comment sa pensée évolue, voyage, et ce à l’aide d’allégories. On peut facilement remarquer l’une d’entre elle notamment

arriver à ce défi donc il étais d un bon humeur. Après plusieurs jours, il a eu plus a manger, il a vu personne depuis deux jours et c etait pour cela qu’il a commencé de se sentir seul. De ce fait, il a douté d arriver à son but. Mais pendant la nuit quand il s était couché par terre dans un fôret noir il a eu un rêve très spécial. Il a rêvé que les étoiles tombent par terre pour éclater le monde. Mais comme sa village était sur un montagne, c était évidant que les étoiles n y tomberont pas car

Spleen -------> analyse Le ciel, la terre et la pluie representent une prison. Le ciel est le plafond, qui etant si bas, semble etouffer l’âme du poète. La terre est le plancher, alors que les gouttes de pluie sont les barreaux de la prison. 1) Le termes qui traduisent un rétrécissement de l’espace sont : ciel bas et lourd; couvercle; …pèse sur l’esprit; traînées; prison; barreaux. 2) Sensation auditives : cloches; affreux hurlement; gémissement; sans tambour, ni musique; Sensation visuelles

------------------------------------------------- Chapitre3 LES OMBRES. I. Découverte dans la salle de classe. 1°) TP de la maison de M. Martin. Grâce au TP de la maison de M. MARTIN, on a pu prévoir et vérifier expérimentalement la position et la forme des ombres dans le cas d’une source ponctuelle (dont les rayons partent du même point). Les ombres sont des zones de l’espace que la lumière n’atteint pas. Ce TP nous a permis de noter qu’une source lumineuse ponctuelle et un objet opaque

|Les occurrences de la mer |Les occurrences du soleil | |Partie I: |Partie I: | |«L’établissement de bains du port(p.32), nous avons nagé |«Il commençait à chauffer mes pieds(p.23), il commençait à peser sur| |ensemble(p.33), le bureau donne sur la mer(p.42), l’eau était tiède |la terre

Tout commença par un beau matin de printemps. Il faisait beau dehors. Oh oui, il faisait très beau. Je men souviens encore, la neige qui fond, les oiseaux qui chantent , ma voiture toute propre. C’était une vrai belle journée. Celle qui donne le sourire lorsqu’on se lève le matin et que nous voyons le beau ciel bleu. Il fallait que je remette un travail en français avant 18 heure cet après-midi. J’avais toute la semaine de relâche pour le faire, mais j’ai mieux aimé dormir et relaxer que faire mon