Numération indienne

 Le peuple arabe a joué un rôle fondamental dans l'histoire des mathématiques : en reprenant les acquis des sciences grecques et indiennes et en les améliorant, il a permis le renouveau scientifique européen en algèbre comme en géométrie. Sans eux, toutes les découvertes des Pythagoriciens ou d'Euclide par exemple, auraient été perdues dans l'effondrement de l'Empire romain. Ils ont contribué grandement à l'histoire des mathématiques à travers d'éblouissants mathématiciens. Plusieurs phases sur

les transmettre à l'Occident. Entre le Xe et le XIIIe siècle, les astronomes arabes développèrent les travaux de Ptolémée , ils les complétèrent par des catalogues d'étoiles, des cartes célestes et des tables astronomiques calculées avec la numération indienne et le zéro, la trigonométrie et les principes de l'algèbre … Par la suite des nouvelles techniques se développèrent comme L'astrolabe .L’Occident renoua alors avec le savoirs grec grâce aux savants arabes. Des modifications ainsi se firent

régions corticales impliquées dans les estimations spatiales et quantitatives. 2ème partie : S. Dehaene se propose ensuite d'étudier plus en profondeur comment les Hommes sont parvenus à dépasser l'approximation et à concevoir des « systèmes de numération symbolique ». Les nombres 1, 2 et 3 étant des nombres que notre cerveau perçoit sans effort, le fait de les nommer est venu naturellement avec le langage. Pour dépasser cette limite de trois et compter à l'aide de nombres avancés, les hommes ont

l'usage et donc le concept étaient différents du nôtre, cf. Numération maya). Les inscriptions montrent qu’ils étaient capables de manier de très grands nombres. Le système mathématique de base 20 (vicésimal), c'est-à-dire à vingt chiffres élémentaires (nous utilisons un système de base 10, décimal), de même que leur méthode de positionnement graphique, leur permettait des calculs à l’infini. L’invention du zéro, bien avant les Indiens et les Arabes, a été révolutionnaire. Elle leur a permis de mener

Le système décimal est un système de numération utilisant la base) dix. Dans ce système, les puissances de dix) et leurs multiples bénéficient d'une représentation privilégiée.Le système décimal est largement le plus répandu.Il constitue les numérations : arabe, arménienne, chinoise, égyptienne, gotique, grecque, hébraïque, indienne, japonaise, mongole, romaine, tchouvache, thaï. Le système de numération à base 10 est un moyen de représenter les nombres avec 10 symboles. Selon sa place, le symbole

écrit et les principes de notre système de numération Encourager l’utilisation d’une verbalisation réfléchie des procédures, basée sur les mots de la numération (unités, dizaines,…, échange, groupement,…) INTRODUCTION Deux approches sont envisagées Utiliser un matériel adéquat afin de mettre en évidence le sens des algorithmes de calcul écrit : Verbaliser et schématiser l’action Associer la manipulation à l’algorithme chiffré Utiliser les mots de la numération Raconter l’histoire du calcul écrit Découvrir

technique pour représenter graphiquement leurs nombres :   I        V       X       L       C       D       M   1     5    10      50      100      500     1000   En réalité, ces graphismes ne sont pas les formes initiales des chiffres de cette numération. Ils ont été précédés en effet par des formes bien plus anciennes n'ayant rien à voir avec des lettres alphabétiques. Ce ne sont en fait que des modifications tardives de formes beaucoup plus vieilles. A l'origine, l'unité était représentée par

problèmes De la même manière, on peut réorganiser le programme de cycle 2 de la rubrique« Nombres et calcul » : - des compétences techniques à construire en numération et calcul; - des problèmes à résoudre, grâce aux opérations : cf. 1ère partie du cours, construction du sens des opérations. Compétences techniques – rappel : numération décimale CP - Connaître (savoir écrire et nommer) les nombres entiers naturels inférieurs à 100. - Comparer, ranger, encadrer ces nombres. -

différentes opérations mentales : • Les regroupements, les tris • Les appariements • Les sériations • La correspondance terme à terme • La conservation de la quantité continue, discontinue • L’énumération • L’itération • Les algorithmes • La numération • La résolution de problèmes Certains enfants explique-t-elle, ne parviennent pas à comprendre ce qu’est un nombre : incapable d’établir un lien entre le symbole et la quantité, il leur est impossible par conséquent de comparer deux valeurs,

CREATION DE MODELE WORD UN MODELE WORD : Est un trame de document realisé en fonction de demande précise ( en tete pied de page, numeration automatique, date..) Une fois creé ce modele ne peut plus modifier, un double clique sous son îcone permettra de generer une copie en toute mais en fichier word. L’extention dun fichier est : .dox l’extention est : .doxt MODE OPERATOIRE : ouvrir un document word, onglet fichier enregister sous se deplacer dans sa session à l’endroit desiré et nom de