Obélisque du Latran

montée, deux volées latérales en courbe conduisent à une terrasse délimitée par une balustrade ; de cette terrasse, deux dernières volées latérales débouchent sur la place de la Trinité-des-Monts, formant elle aussi une terrasse avec en son centre un obélisque. ▪ Fontaine de Trevi. Rome est important lieu de fête, d’où architectures éphémères. Importance représentations diplomatiques et surenchère entre ambassade. Jean-Nicolas Servandoni (1695 – 1766), architecte et peintre doit sa renommée internationale

midi, au moment du solstice d’été, le Soleil à Syène (aujourd’hui Assouan) se trouve à la verticale car il ne donne aucune ombre (Syène se situe presque directement sur le tropique du Cancer). A Alexandrie, se servant de l’ombre projetée par un obélisque, il mesura à la même date et au même moment l’angle que faisaient avec la verticale les rayons du Soleil. Connaissant la distance entre Syène et Alexandrie, il fut ainsi capable par des calculs trigonométriques de déterminer la circonférence de

rapport avec les proportions du personnage. La prédelle est le nom donné à la partie basse du tableau ; elle a une vocation éducative en faisant connaître aux fidèles la vie de St François. Ici, 3 scènes : le rêve du Pape Innocent III, une pièce du Latran où la perspective et la profondeur sont particulièrement bien étudiées avec une structure à point de fuite, St François parlant aux oiseaux Giotto n’aura pas vraiment d’héritiers directs à Florence ; il faudra attendre le début du 15ème siècle. _

qu'on ne constatait rien de tel à Alexandrie. Le fait, qui aurait convaincu ceux qui n'auraient pas cru en la circularité de la terre, fut aussi perçu comme offrant en outre la possibilité de mesurer sa circonférence. Connaissant, la hauteur d'un obélisque dressé à Alexandrie, Eratosthène mesura la longueur de l'ombre que celui-ci projetait à terre, le 21 juin à midi. Il obtint ainsi un triangle ; et l'angle que faisait le sommet de l'obélisque avec l'extrémité de l'ombre donnait la fraction de circonférence

Vatican, Bramante pour Saint Pierre et Michel-Ange pour son tombeau). La planification grandiose du pape Sixte V (1585-1590) vient faciliter la circulation entre les basiliques (strada Popolo vers Ste Croix e Jérusalem) et créer un décor urbain (obélisques, fontaines et monuments) qui ouvre la voie de la Rome baroque. Le regain d’intérêt à Rome pour les monuments antiques amène les humanistes du XVè s. à critiquer ceux qui détruisent les œuvres d’art et les monuments anciens sous prétexte que 15

diffusent dans tout l'Europe et tentent de faire revivre les triomphes impériaux romains. C'est 1515, à Florence que pour la première fois l'on voit apparaître les premières entrées avec celle du pape Léon X mêlant arcs triomphants, colonne trajane et obélisques. En 1549, l'arc de triomphe devient un type obligatoire de décoration dans les villes. Elles sont l'occasion de faire des aménagements comme c'est le cas de Rome en 1536 Les artistes et les humanistes s'unifient pour ces réalisations. Elle prennent

en les étendant à toutes les sociétés secrètes, présentes et à venir, qui concevraient des projets hostiles à l'Eglise et aux souverainetés civiles. Les serments prêtés par les affilés sont déclarés nuls, en vertu de la décision du IIIe Concile de Latran qui déclare qu' « il ne faut point appeler serments, mais plutôt parjures, tous les engagements contraires au bien de l'Église et aux institutions des Saints-Pères. « Rien n'est d'ailleurs aussi touchant que l'affection du Pape pour les « Princes

ire [colère] que la soif lui passa. » La furia bretonne donna la victoire aux hommes de Beaumanoir. « On n’avait point auparavant, passé cent ans, ouï rapporter chose pareille », s’extasie Froissart. La colonne des Trente En 1819, on érigea un obélisque composé de trente blocs de granit sur le lieu du combat, à Guillac (Morbihan). La colonne des Trente est désormais classée monument historique. © Eyrolles Pratique Sources : Ballade de la bataille des Trente, chanson de geste composée au XIVe siècle

la magnificence que le temps permettait. Elle devait nécessairement s'introduire chez les possesseurs des grandes terres. Dès longtemps auparavant les évêques ne marchaient qu'avec un nombre prodigieux de domestiques et de chevaux. Un concile de Latran, tenu en 1179, sous Alexandre III, leur reproche que souvent on était obligé de vendre les vases d'or et d'argent dans les églises des monastères, pour les recevoir et pour les défrayer dans leurs visites. Le cortège des archevêques fut réduit

toute la magnificence que le temps permettait. Elle devait nécessairement s'introduire chez les possesseurs des grandes terres. Dès longtemps auparavant les évêques ne marchaient qu'avec un nombre prodigieux de domestiques et de chevaux. Un concile de Latran, tenu en 1179, sous Alexandre III, leur reproche que souvent on était obligé de vendre les vases d'or et d'argent dans les églises des monastères, pour les recevoir et pour les défrayer dans leurs visites. Le cortège des archevêques fut réduit, par