Objectifs Du Fascisme

libéral. Dans le même temps, a la fin du XIXè, il y a un développement des syndicats qui chacun ont des revendications pour l’organisation du travail dans telle ou telle branche ou dans tel ou tel métier. En 1880, ces syndicats se regroupent avec un objectif commun: améliorer de manière générale les conditions de travail. Avec l'existence a la même époque de nombreuses crises économiques, il y a une radicalisation des conflits et une multiplication des grèves. Il germe alors dans l’esprit de ces syndicats

comprennent que l'industrialisation capitaliste va à l'encontre des buts mêmes qu'elle est censée poursuivre. Le monde ne sait comment s'en sortir. Le parlementarisme et la démocratie périclitent et certains croient trouver un salut en optant pour le fascisme ou d'autres formes de gouvernements "forts". Du combat idéologique mondial sortiront des solutions aux problèmes sociaux urgents qui se posent actuellement (crises économiques, chômage, guerre, désarmement, relations internationales, etc.). Or,

Soekarno et Ho-Chi-Minh en Août-sept 1945). Ces forces nouvelles (mouvement ouvrier, PC frères, combattants de libération Nale, forces progressistes, etc..) st automatiquement considérés comme des alliés objectifs de l’URSS et des pays européens du 2è camp. ✓ Enfin, la référence à l’anti-fascisme attribuée à l’URSS s’explique par le souvenir encore très récent de la 2è GM et s’apparente à rappeler le rôle central joué par la puissance communiste dans la lutte contre le nazisme. Ici l’alliance avec

faible minorité. Ce pacifisme a des réalisations concrètes dès l’immédiat après guerre, on peut penser à la Société des Nations introduite par le traité de Versailles en 1919 et constituée sur la base du dernier des Quatorze points de Wilson dont les objectifs sont le désarmement, la prévention des conflits, et le règlement des différends par la négociation. On peut toutefois noter que c’est ce même traité de Versailles qui prévoit cette organisation résolument pacifiste et qui inflige de lourdes réparations

Gramsci allait cesser de fonctionner. Que le moment sacré de la commémoration serait désormais interdit, - impossible même. Les oppositions manichéennes des précédents anniversaires se sont trouvées soudain vides de sens, privées de toute pertinence. Fascisme-antifascisme, orthodoxie et hérésie, pur et impur, - qui aurait encore osé prononcer ces mots, naguère si clairs et si compacts et dont le sable, 1. Cf. la première partie de cette « Introduction »in Antonio Gramsci, Écrits politiques, 1, pp

de nombreux passages comparables a la description de décors de cinéma, où le sang est mis en valeur en tant qu’outil visuel sans tenir compte du sentiment d’effroi qu’il dégage habituellement. Ainsi, page 33, le sang est évoqué sur un ton purement objectif, « il faisait beau sur les corps allongés et sur le sang » et neutre, le sang étant devenu un élément à part entière du paysage et ce, à maintes reprises dans le roman. De plus, le sang est au centre de divers jeux de contrastes et de lumières.

Jan Romein, qui écrivit un article au sujet du journal intitulé « Kinderstem » (« La Voix d'un Enfant »), publié dans le quotidien Het Parool le 3 avril 1946. Il écrivit que le journal « bégayé par la voix d'un enfant, incarne toute la cruauté du fascisme, plus que toutes les preuves que le procès de Nuremberg ait pu réunir9. » Son article attira l'attention d'éditeurs, et le journal fut publié en 1947, suivi d'une seconde publication en 1950. La première version américaine fut publiée en 1952 sous

Le concept d'État totalitaire a été forgé par le théoricien du fascisme italien, Giovanni Gentile, qui écrivait les textes de Mussolini ayant un contenu théorique. L'État totalitaire doit prendre le contrôle de la société toute entière et de tous ses secteurs, jusqu'à faire disparaître celle-ci, englobée dans l'État, devenu « total ». Le gouvernement a donc toute légitimité pour faire tout ce qui concerne les relations sociales, c'est-à-dire en pratique contrôler la vie des individus, ne leur laissant

qui cherche à prendre le pouvoir. Le 26 avril 1937 c’est un jour de marché à Guernica. La petite ville basque est la cible d’un raid aérien allemand. A la demande de Franco quatre escadrilles de la légion Condor bombardent la ville. Un des objectifs de ce raid était de tester La Légion Condor était une force aérienne allemande, envoyée par Hitler. L’objectif n’est pas militaire, le but est bien de tuer un maximum de civils car, dans la ville de Guernica, il ne reste que les femmes, les

charismatique : ce sont tous des facteurs qui lui permettent de semer le regard sur lui lorsqu’il est présent et ce, à chaque plan. Cependant, lorsqu’il est temps d’affronter la réalité, cet optimisme est mis à l’épreuve. Guido se donne donc un nouvel objectif, celui de donner espoir à son fils, Giosué. La quête de ce dernier est d’avoir le gros char d’assaut, une promesse faite par Guido lors de leur arrivée au camp de concentration. Chaque fois qu’il se montre, comme par exemple lorsqu’il sort de sa