Objet et image

Julien DECOLLOGNE DESS Image Numérique et Interactivité Septembre 2003 Mémoire de stage L’augmentation du réel par le virtuel, vue d’ensemble des différentes techniques de compositing 2D et 3D. Faculté des Sciences Centre d’études supérieures scientifiques - Antenne d’Epinal 2, avenue Pierre Blanck 88000 Epinal Tél : 03 29 29 61 59 Fax : 03 29 29 61 53 Mémoire de stage L’augmentation du réel par le virtuel, vue d’ensemble des différentes techniques de compositing 2D et 3D. S

effectuant un rapport. La formation d'une image nette pour un œil normal Pour une personne dont la vue est normale, la vision d'un objet à l'infini est d'emblée nette et se fait sans effort : l'œil est au repos. Par contre, la vision d'un objet proche nécessite un effort de mise au point. Question 3 : Utiliser ses connaissances 3-1 Une personne dont la vue est normale regarde un objet à l'infini. Où se forme l'image dans son œil ? 3-2 Pour conserver une image nette, quand l'objet devient proche, comment

TRAVAIL DE POWERPOINT 1 – Il s’agit de la barre d’outils de mise en forme classique, telle qu’on la retrouve dans la majorité des logiciels de traitement de texte. 2 – Barre d’outils standard permettant l’enregistrement, l’impression, l’insertion des objets… L’une de ces commandes (flèche vers la gauche : voir ci-dessous) est particulièrement utile. Elle annule les dernières actions réalisées (jusqu’à 20 par défaut). La flèche vers la droite permet de refaire ce qui vient d’être annulé. Ces commandes

Clés biographiquesPhilosophe anglais (image 1), il annonce la philosophie nominaliste. Ses idées vont à l’encontre de l’opinion des philosophes du Moyen Âge, et il se fait accuser d’hérésie, le convoquant à un procès qui durera 4 ans. Il écrit plusieurs textes politiques contre le Pape. | 1. Portrait de Guillaume d'Occam ConceptionLa philosophie de Guillaume D’Occam, contraire à celle des thomistes, est basée sur le fait qu’il n’existe d’Universaux (image 1), mais seulement des êtres singuliers

sources lumineuses ponctuelles créent certes des ombres mais différentes de celles créées par la source naturelle car les sources artificielles étant trop proches des objets, les rayons sont donc fort divergents. Une ombre dépend de l'angle d'incidence des rayons solaires, et donc de la hauteur du soleil. C'est pourquoi pour un même objet l'ombre peut fort changer en fonction de la source lumineuse ( qu'elle soit naturelle ou artificielle, étendue ou en un point ) et de sa position ( fixe ou mobile)

Exercices Exercice n°1 : La distance focale d'une lentille convergente de centre optique O est 4 cm. Un objet AB de longueur 2 cm est placé perpendiculairement à l'axe de la lentille à 10 cm devant celle-ci. Le point A est situé sur l'axe optique. La lumière se propage de gauche à droite. 1°) Sur un schéma à l'échelle 1 / 1, placer les points F, F', A et B. 2°) Calculer [pic]. 3°) Déterminer graphiquement l'image A'B' de AB ; caractériser l'image obtenue. 4°) En déduire graphiquement

de quoi les opposer ? Voir quelle notion est principale, voir laquelle s’articule à l’autre ce qui nous permettra de définir et l’une et l’autre notion à partir toujours d’une notion principale. Intro : « Ce que nous disons être réellement une image, un semblant, demande l’Etranger d’Elée dans le Sophiste de Platon en 240b, c’est ce qui sans être réellement non existant, n’existe pas cependant. » Ce que met en évidence l’image c’est le paradoxe du réel : le semblant, le reflet de ce qui existe

formation des images I - La vision 1°/Conditions de visibilité d'un objet On distingue les sources primaires de lumière qui produisent leur propre lumière et les sources secondaires qui diffusent la lumière émise par une source primaire. (ex : le soleil produit sa propre lumière, donc c'est une source primaire. La lune en revanche est une source secondaire de lumière comme elle diffuse celle qui est émise par le soleil.) Un objet est visible s'il émet de la lumière ou s'il est éclairé par une source

menu affichage Ce menu permet entre autres de régler le zoom, ou l’affichage des autres marques du document à savoir : les règles, les caractères spéciaux, les barres d’outils etc. Le menu insertion Ce menu permet d’inclure des objets dans la diapositive. Ces objets sont entre autres les zones, les images, les sons, les vidéos, les numéros de page, les symboles etc. Le menu format Ce menu permet de faire des jeux de couleurs et de formes sur les zone (de texte, d’images, de sons etc.) et sur

............................... 34 III.B. UNE TROISIEME IMAGE DEVOILEE ..................................................................................................................................................... 36 III.B.1 LE MONTAGE .................................................................................................................................................................................. 36 III.B.2 L‟IMAGE-CHARNIERE – UNE LECTURE DYNAMIQUE.......................