Observatoire français des drogues et des toxicomanies

ont tendance à s’y limiter, se privant ainsi des richesses incommensurables de ce qui est produit ailleurs et qui circule principalement en anglais. Troisième et dernière observation. Même si je ne maîtrise pas suffisamment les subtilités du système français de formation des 1. O’Neill M. De la santé scolaire à la santé des jeunes : vers un nouveau rôle pour l’infirmière en santé communautaire ? L’infirmière canadienne, 1982, vol. 24, n° 6 : p. 14-18. enseignants pour être en mesure de poser un jugement

trois niveaux: préventif, curatif et médico-social. Cette approche transversale est à envisager pour tous ses champs d'activité, ses acteurs et les lieux d'exercice pour une bonne appréhension de la santé de l'enfant. Le système socio-sanitaire français en matière de santé des enfants repose sur quatre piliers : • la Protection Maternelle et Infantile, • la Santé scolaire, • les médecins hospitaliers et libéraux. Le manque d'attractivité des deux premiers et les problèmes démographiques déséquilibrent

la priorité est accordée à la reconstruction du pays. Par ailleurs, de nombreux jeunes hommes, que l’on retrouve principalement comme auteurs de délits, ont été victimes de la guerre. La délinquance enregistrée est à bas niveau et progresse peu. La drogue n’a pas encore refait son apparition. Les politiques publiques relèvent de réponses répressives et de techniques policières. Au tournant des années 1980, les premières émeutes urbaines, l’augmentation des crimes et délits enregistrés par les services

GOULLET I MOS CLES : Cannabis Neuropsychologie Troubles cognitifs Neurobiologie RESUME: Le cannabis est la drogue la plus utilisée dans le monde. C’est aussi celle que la médecine connaît le moins. Les dégats que cause le cannabis semblent être sous estimés et pour beaucoup ignorés.Ainsi avons nous choisi de synthétiser au mieux les dernières publications sur cette drogue en nous donnant les connaissances nécessaires neurobiologiques et anatomiques indispensables pour la maitrise du sujet

année, le garde des Sceaux et le ministre de la Santé, constatant que « ces avancées [notables] s’avèrent insuffisantes au regard des pathologies nouvelles et particulièrement complexes auxquelles l’administration pénitentiaire doit faire face [toxicomanie, VIH, tuberculose, hépatites B et C] », demandent au Haut Comité de la santé publique (HCSP) de « rechercher et proposer les modalités du dispositif de prise en charge sanitaire des détenus le mieux à même de répondre aux particularités présentées

décision individuelle ? 1 15 17 25 25 27 28 30 31 31 32 33 33 34 35 38 43 44 46 46 47 48 50 50 52 55 55 55 57 59 Introduction 1 Une approche expérimentale du comportement des usagers de drogues 1.1 Introduction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.2 Les décisions des usagers de drogues . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.2.1 Les approches sans modèle économique . . . . . . . . . . . . 1.2.2 Les approches économiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.3 Cohérence des

Direction régionale des Affaires sanitaires et sociales Nord – Pas-deCalais ; - M. le Professeur Parquet et M. le Docteur Bacquaert, Institut régional de Biologie et de Médecine du sport Nord – Pas-de-Calais ; - M. le Docteur Escande, Généralistes&Toxicomanie 59/62 ; - Mme Mathys et M. Leclercq, Centre régional d’Education physique et sportive Nord – Pasde-Calais ; - M. Sépiéter, Caisse régionale d'assurance maladie Nord –Picardie ; - M. le Docteur Frimat, Institut de Médecine du Travail du Nord de la

notamment : • les lieux d’écoute pour des adolescents, parmi lesquels les points d’accueil et d’écoute jeunes (PAEJ) (49) qui sont des instances de proximité prenant en compte le mal-être et agissent dans la prévention du suicide, de l’usage de drogues (50) ; ils ont vocation à être associés aux maisons des adolescents ; • les centres de planification familiale peuvent jouer un rôle important auprès des jeunes dans la prévention, non seulement à propos de la sexualité ou des comportement à risques

communication Georges ALCARAZ, psychiatrie, psychothérapie, service de psychiatrie adultes, Hôpital Necker, Paris Pierre ARWIDSON, Institut national de prévention et d'éducation pour la santé (Inpes, ex CFES), Vanves François BECK, Observatoire français des drogues et des toxicomanies, Paris Ivan BERLIN, pharmacologie, hôpital de La Pitié-Salpêtrière, Paris Louis FRANCO, médecine générale, Nancy Karine GALLOPEL, socio-économie, UMR CNRS 6585, université de Rennes I, Rennes Gilbert LAGRUE, pneumologie, tabacologie

psychiatriques et les addictions a été menée de mars à décembre 2009 auprès de 859 personnes sans logement en Ile-de-France. Ses objectifs étaient d’une part « d’estimer la prévalence des troubles psychiatriques ainsi que la prévalence des addictions (alcool, drogues, médicaments détournés de leur usage), d’autre part d’analyser leurs parcours sociaux, médicaux et comportementaux et de les relier à la situation de rupture sociale ». Prévalence des troubles psychiatriques et addictions « Au niveau national, l’enquête