Observatoire international des prisons

de l'homme. Ainsi que la consécration internationale des droits de l'homme et des libertés publiques (Dernière section). Dans les rapports entre les pays, les conflits internationaux portent atteinte aux libertés publiques. Il y a des signes de consolidation de l'idée de libertés publiques et des droits fondamentaux, il y a l'amorce de mécanismes qui en assurent la conservation. Elle se fait à l'échelon international général, et aussi à l'échelon international général, région européenne, ici la consécration

détenues et sur l’activité des établissements publics de santé qui les prennent en charge permettrait de réajuster périodiquement l’offre de prévention et de soins en fonction des besoins. G adsp n° 44 septembre 2003 dossier 17 La santé en prison Contexte et genèse d’une réforme En 1994, la prise en charge sanitaire des détenus est transférée de l’administration pénitentiaire au service public hospitalier. Cette réforme répond à la volonté d’améliorer l’accès aux soins des détenus et de

juge aux affaires matrimoniales. La loi du 29 juillet 1994 créer la première loi bioéthique, la loi du 15 novembre 1999 créé le PACS, la loi du 30 juin 2000 concerne la prestation compensatoire, la loi du 6 février 2001 concerne l'adoption internationale. Celle du 3 décembre 2001 protège le conjoint survivant, celle du 22 janvier 2002 est relative aux accès à leurs origines des personnes adoptées et des pupilles de l'état. La loi du 4 mars 2002 relative au nom de famille, la loi du 26 mai 2004

Maintien de l'ordre et charité commandent les réactions. La prise en charge a varié entre une réponse privée (individuelle avec l'aumône, ou par les institutions religieuses) et publiques (assistance, répression, enfermement dans des hôpitaux ou des prisons). Janvier 1790 : création du comité d'extinction de la mendicité[1] Fin du XVIIème et XVIIIème siècle : la pauvreté reste constituée par les marginaux mais aussi par l'immense majorité de la population agricole Au XIXème siècle, le pauvre

RELIGIONS ET RELATIONS INTERNATIONALES Introduction Les croyances religieuses sont les principaux facteurs de conflits et des relations internationales. Les religions font l’histoire à différents niveaux comme acteurs spécifiques et aussi avec les idéologies, cultures ( Choc des civilisations, HINTINGTON, 1993 qui répond à FUKUYAMA en 1992. Ce n’est pas la fin de l’histoire mais le choc des civilisations. Les religions sont acteurs en tant qu’institutions et qu’acteur relationnel. A LIRE

L’approche de Catterall en est un bon exemple. Ce fléau est partout, certes ; même dans les systèmes les plus performants du monde. Cependant, bien que servant d’obstacles à la mobilité sociale, le décrochage scolaire libère quand même le jeune de la prison que l’école lui constitue depuis des années. Cette période de décrochage parait aussi formatrice au jeune. Formé par les expériences quotidiennes de la vie, il est porté à prendre conscience de son état. Il apprend ainsi beaucoup de choses dans la

Transport et mobilité durable 23 DÉFI 6 Conservation et gestion durable de la biodiversité et des ressources naturelles 27 DÉFI 7 Santé et développement durable 31 DÉFI 8 La responsabilité sociale du sport 35 DÉFI 9 Défis internationaux en matière de développement durable 40 Note méthodologique sur l’élaboration de la Stratégie 44 Annexes 47 Introduction 5 A lors qu’augmentait le niveau des connaissances et des préoccupations liées à l’avenir de l’humanité

sociale, il existe différentes possibilités de prise en charge gratuite, notamment par les centres départementaux de dépistage et de préventions sanitaires. • Les pathologies mentales • Elles sont répertoriées dans la classification internationale des maladies (CIM-10) et le diagnostic and statical manuel of mental disease (DSM), ces répertoires, les plus utilisés, proposent des critères pour faciliter leur diagnostic Epidémiologie de ces pathologies : d’après l’observatoire mondial

initialement adopté au départ une législation assez répressive contre l’usage de cannabis. Mais désormais, certains, comme les Pays-Bas ou l’Espagne l’ont assoupli, tandis que d’autres, comme la Suisse, envisagent la légalisation.  Trois conventions internationales ont été établies en 1961, 1971 et 1988, pour lutter contre le trafic de stupéfiants. La convention de 1988 est extrêmement répressive, puisqu’elle réprime la détention ou l’achat de drogue pour usage personnel, sans faire de distinction entre

point par point, à ceux des Khmers rouges. 1. Il s’agissait, là aussi, de crimes contre l’humanité, perpétrés, en outre, dans un contexte d’agression étrangère et doublés, par conséquent, de crimes de guerre (en violation plus évidente des lois internationales). 2. La recherche des responsabilités menait directement aux États-Unis et à leurs alliés. 3. Ces crimes étaient idéologiquement inutilisables étant donné l’identité des vrais responsables. 4. Pour la même raison, y mettre un terme était particulièrement