Obus

Si je mourais la bas de Guillaume Apollinaire Si je mourais là-bas sur le front de l’armée Tu pleurerais un jour ô Lou ma bien-aimée Et puis mon souvenir s’éteindrait comme meurt Un bel obus sur le front de l’armée Un bel obus semblable aux mimosas en fleur Et puis ce souvenir éclaté dans l’espace Couvrirait de mon sang le monde out entier La mer les monts les vals et l’étoile qui passe Les soleils merveilleux mûrissant dans l’espace Comme font les fruits d’or autour de Baratier Souvenir

L'explosion d'un obus met à jour des squelettes de soldats tués plusieurs mois auparavant. Alban vomit. L'explosion d'un obus les recouvre de terre. Étienne est coincé. Ses jambes ne lui obéissent plus. Il sent la terre se répandre sur son visage. Il pense à ses camarades, à sa tante qui s'évanouira en apprenant la nouvelle, à Marie-Pierre. Il crie encore, de plus en plus haut. Finalement, Gaspard le dégage. Malgré l'ordre de repli du capitaine, Étienne donne l'ordre de rechercher Alban. Les obus pleuvent

péjorative de la guerre, on peut le voir dès la ligne 23 « rien que du feu et puis du bruit », « mais alors un de ces bruits comme on ne croirait jamais qu’il en existe », là on voit que le bruit prend une grande partie, il fait surement allusion aux obus qui explosent comme il le dit de nouveau à la ligne 25 « plein les yeux, les oreilles, le nez, la bouche » . On voit que le bruit perturbe beaucoup l’auteur « le bruit est resté longtemps dans ma tête », « les bras et les jambes qui tremblaient » l27

(terre, pentes boisées), - scène de combat de la 1ère guerre mondiale (trou béant (tranchée ?) avec flammes, fumées des incendies, d'épais nuages qui pourraient s'apparenter à des nuées de gaz toxique et des faisceaux lumineux aux retombées des obus.) + titre du tableau (Verdun...). Brève biographie de l’auteur : À l'âge de 17 ans, Félix Vallotton entre à l'Académie Julian, dont les ateliers sont fréquentés par de nombreux artistes post-impressionnistes ainsi que par les Nabis1. En moins de

COMBATTRE A) La vie dans les tranchées. Conditions très difficiles! (Froid, faim, soif, manque d'intimité, rats, poux, cadavres en décompositions qui entraînent des maladies, manque d'hygiène.) B) Armes plus efficaces et plus mortelles. Nouveaux obus, canons, lances-flammes & gazs (dû au progrès de la chimie). No man's land: espace meutrier où les soldats sont à découverts. Ils doivent le traverser pour atteindre les tranchées ennemis et tuent à l'arme blanche/mains nues les soldats adversaires

hanche et meurt. Kantorek : Ancien professeurdes soldats. Behm : A hésité à entrer dans la guerre. Il meurt très tôt d’un coup de feu dans les yeux. Kemmerich Franz : Camarade de Paul. Haie Weshus : prend un obus dans le dos.Katzinsky : meurt d’une balle dans la tête et d’un obus dans la tête. 40 ans, dur roublard. Gerard Duval : typographe tué par le personnage principal C’est la vie de ce navigateur au long cours qui refusa l’argent et la gloire pour préférer l’aventure en mer que

Le 21 Février 1916, il est 7H15 du matin, lorsque l’armée Allemande fait donner l’artillerie sur les lignes Française sur Verdun même les 1 er obus tombent a 8H15. Les deux tiers de l’armée française combattent à Verdun. Des combats particulièrement durs.  Les poilus qui en réchappent peuvent jouir de quelques moments de répit à l’arrière- pour 4 jours de combat , deux jours de repos - et se refaire - dans la mesure du possible - un moral. Ce n’est pas le cas des troupes ennemies jamais relevées

fut assiégée durant la guerre de Bosnie-Herzégovine dans les années 1990. Dans la ville, la guerre a laissé de nombreuses traces visibles sur toutes les façades d'immeuble qui portent des traces d'impacts et de réparations de fortune. Les marques des obus dans les chaussées, sont quant à elles précieusement conservées. Le siège reste lui aussi omniprésent dans les conversations. Entre 1992 et 1995, la capitale de Bosnie-Herzégovine a subi un siège de plus de mille jours qui a fait près de 10 000 morts

esquiver d'éventuelles torpilles. Des sillages furent entre aperçus mais aucun coup au but de ces terribles engins fut recensé. La capacité opérationnelle du Saint Louis n'était en rien blessée. Mais une demi heure plus tard... une salve de lourds obus percuta l'avant du croiseur. C'était le Graf Spee qui venait de placer un coup au but de ses pièces principales, tirant hors de portée du croiseur français qui ne put riposter. L'impact secoua le navire et la tourelle B "Oran" du croiseur fut touchée

-Texte B - Guillaume Apollinaire, " Si je mourais là-bas...", Poèmes à Lou (1915) Si je mourais là-bas sur le front de l'armée Tu pleurerais un jour ô Lou ma bien-aimée Et puis mon souvenir s'éteindrait comme meurt Un obus éclatant sur le front de l'armée Un bel obus semblable aux mimosas en fleur Et puis ce souvenir éclaté dans l'espace Couvrirait de mon sang le monde tout entier La mer les monts les vals et l'étoile qui passe Les soleils merveilleux mûrissant dans l'espace Comme