Obus

croissance que les craintes d'effondrement économiques furent oubliée par tout le monde. Le Canada a dû adopter de nouvelles mesures politiques pour encourager et éviter de ralentir le nouveau système économique, l’économie de guerre. En 1914, le comité des obus fut créé. Leur but, était d’obtenir des contrats de fabrication de munition pour l’artillerie britannique, et il créa une toute nouvelle industrie sans aucune difficulté vue la forte demande. Aussi, le Canada décida d’aller aider sa ‘’mère patrie’’

industrielle : les progrès technologiques et l’armement s’adapte aux tranchées, tels que la mitrailleuse, le lance-flamme ou encore le « gaz moutarde », une arme chimique incapacitante et mortelle. Viennent s’ajouter les bombardements des avions et les obus, ce qui crée rapidement une ambiance d’horreur et de désespoir sur le champ de bataille. De nombreux soldats craquent : certains se mutilent volontairement une main pour être rapatriés, d’autres se mutilent en groupe. Mais ils finissent toujours par

guerrier au cours des deux guerres mondiales. Les tueries se font de plus en plus meurtrières puisque l’armement ne fait qu’évoluer : de plus en plus de chars d’assauts sont mis à disposition des soldats, ainsi qu’une nouvelle artillerie de pointe (obus NO 106, création des premiers canon antiaérien, des mortiers …), de nouvelles tactiques de combats ( tir de barrage, tirs de contre batteries, mis en place d’observateur… ), le développement fulgurent de l’aviation, celle des sous marin ou encore

« nettoyeurs de tranchées ». Mais la violence anonyme des bombardements est responsable de 70% des morts de la guerre. Près d’un combattant sur deux a été blessé au moins une fois, certains amputés ou atrocement défigurés (les gueules cassées). Les obus atomisent les corps de centaines de milliers de soldats que leurs familles ne pourront jamais retrouver. Les troubles psychologiques provoqués par le trauma du champ de bataille –l’ « obusite »- sont d’autant plus graves que la psychiatrie de guerre

partie dû à l’industrialisation et à la modernisation de la guerre avec l’apparition de nouvelles armes plus efficaces qui rendent le passage dans le « no man ’ s land » encore plus périlleux (mitrailleuses, gaz de combats, artillerie longue portée, obus, l’aviation…). De plus on remarque un cadavre à la bouche ouverte d’où jaillit un vers et à la peau parsemées de pustules qui évoque les conditions d’hygiène abominables dans lesquelles ont vécu les poilus dans les tranchées. Ce cadavre tend la main

est étoilé par les obus des Boches La forêt merveilleuse où je vis donne un bal La mitrailleuse joue un air à triples-croches Mais avez-vous le mot         Eh ! oui le mot fatal Aux créneaux Aux créneaux Laissez là les pioches Comme un astre éperdu qui cherche ses saisons Cœur obus éclaté tu sifflais ta romance Et tes mille soleils ont vidé les caissons Que les dieux de mes yeux remplissent en silence Nous vous aimons ô vie et nous vous agaçons Les obus miaulaient un amour

s, mais lorsqu’il fut commandé au front il remarqua qu’il n’arrivait plus exercer aucune autorité sur sa compagnie et qu’il ne pouvait rien contre les obus et les balles perdues comme il l’avait cru auparavant.C’est un ancien facteur. -Kropp: C’est un ancien camarade de classe de Paul. C’est un penseur . -Tjaden: Il est un ami de Paul et un ancien camarade de cours. Il pisse au lit et à cause de l’attitude d’Himmelstoss face à cela, il a une haine envers ce caporal. Mais il y a aussi Müller

par guillaume apollinaire en 1915 est extrait du recueil Poèmes à Lou. Ce poème à été écrit pendant la guerre, en effet on retrouve beaucoup le champ lexical de la guerre «si je mourrait là-bas sur le front de l’armée » « un obus éclatant sur le front de l’armée » « un bel obus » « couvrirait de mon sang » « tes cheveux sanglants » « le fatal giclement de mon sang sur le monde ». Le poète s’adresse à Lou sa bien-aimée sous la forme d’une lettre : en bas du poème est indiqué, le lieu et la date. Il

décapités et déchiquetés par les bombardements. Ceci expliquerait que les obus « fusants » (v. 5) soient si visibles dans toute leur trajectoire. Il est vrai qu'Apollinaire y est sensible parce qu'il était lui-même artilleur. Car le mouvement du poème suit le trajet de ces armes, dont les différents usages du mot « rose » évoquent les étapes. La première strophe voit leur montée, pleine de « grâce » (v. 4). En effet ce sont des obus qui éclatent en l'air, au-dessus de leur objectif, et non en le frappant

décapités et déchiquetés par les bombardements. Ceci expliquerait que les obus « fusants » (v. 5) soient si visibles dans toute leur trajectoire. Il est vrai qu'Apollinaire y est sensible parce qu'il était lui-même artilleur. Car le mouvement du poème suit le trajet de ces armes, dont les différents usages du mot « rose » évoquent les étapes. La première strophe voit leur montée, pleine de « grâce » (v. 4). En effet ce sont des obus qui éclatent en l'air, au-dessus de leur objectif, et non en le frappant