Oceano Nox

Timide, il nia ce sursaut. | |Hasard repu, tel, le magicien à morte me lit. Un ignare le rapsode, lacs ému, mixa, mêla : | |Hep, Oceano Nox, ô, béchamel azur ! Éjaculer ! Topaze ! | |Le cèdre, malabar faible, Arsinoé le macule, mante ivre, glauque, pis, l’air atone (sic). Art sournois : si, médicinale

d'esprit de celui que l'on appelle l'homme au semelles de vent. Cependant, ces aspect ne se trouvent pas dans tout les poèmes. Ainsi, comme dans ce texte, la nature est favorable de même, elle peut être défavorable et fort dévastatrice comme dans le Oceano Nox de Victor Hugo.

symboles du monde économique et social que l’auteur refuse et dont il est d’ailleurs « insoucieux ». ← Pour le poète, cette violence n’a rien à voir avec la vision mortifère des océans propagée par les romantiques, comme le montre l’allusion à « Oceano nox » de Hugo, que Rimbaud conteste indirectement (structure « Qu’on appelle… » + opposition « dansé » et « victimes »). Le poète conteste ainsi la vision romantique, par la violence. ← La volonté du poète de s’éloigner de ce monde est marquée par

pour moi sera comme la nuit.Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe,Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur,Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombeUn bouquet de houx vert et de bruyère en fleur. Les rayons et les ombres (1840) Oceano Nox Oh ! combien de marins, combien de capitainesQui sont partis joyeux pour des courses lointaines,Dans ce morne horizon se sont évanouis !Combien ont disparu, dure et triste fortune !Dans une mer sans fond, par une nuit sans lune,Sous l'aveugle

en s’en allant, négligemment jeté Cette faucille d’or dans le champ des étoiles Les rayons et les Ombres (1840) Oceano nox Le 16 juillet 1836 , Hugo a assisté au déchaînement de l’océan sur les falaises de Saint-Valéry. Marqué par cette force , il compose un poème de quarante huit vers dont le titre est tiré d’un vers de l’Enéide de Virgile « ruit oceano nox » (la nuit se rue sur l’océan) Auquel le poète Tristan Corbière répondra, en marin fier des risques du métier. Oh 

Charles, je te sens près de moi... Ô gouffre ! l'âme plonge et rapporte le doute Ô mes lettres d'amour, de vertu, de jeunesse Ô Rus Ô soldats de l'an deux ! ... Ô souvenirs ! printemps ! aurore ! Ô temps ! si l'on pouvait dans ton urne profonde Oceano nox Oh ! dis ! pourquoi toujours regarder sous la terre Oh ! je fus comme fou... Oh ! n'insultez jamais une femme qui tombe ! Oh ! pour remplir de moi ta rêveuse pensée Oh ! quand je dors... Oh ! qui que vous soyez, jeune ou vieux, riche ou sage On

le surréalisme, chez andré breton, la conception de la révolte violente : Dictée de la pensée, en l’absence de tout contrôle exercé par la raison, en dehors de toute préoccupation esthétique ou morale.) rouleurs de victimes : référence à hugo « oceano nox » (Vous roulez à travers les sombres étendues) poésien en hommage aux marins morts : s’attaque au poéte le plus respécté, encore en vie à l’époque. la violence de la mer achève de libérer le bateau. C. Mer libératrice tout ceci se fait grâce

Poète est semblable au prince des nuées Qui hante la tempête et se rit de l’archer ; Exilé sur le sol au milieu des huées, Ses ailes de géant l’empêchent de marcher. Charles Baudelaire (1861) Oceano Nox Oh ! Combien de marins, combien de capitaines Qui sont partis joyeux pour des courses lointaines, Dans ce morne horizon se sont évanouis ? Combien ont disparu, dure et triste fortune ? Dans une mer sans fond, par une nuit sans lune, Sous

Robert Gélis|Portrait de l’autre 10|||| Louis Guillaume|Cavalcade 8|Ulysse 8||| Eugène Guillevic|J’ai vu le menuisier 6|Un marteau 6|L’ogre 4|| Nazim Hikmet|Le globe 10|||| Victor Hugo|Demain dès l’aube 12|Les Djinns 50|Océano Nox 30|J’aime l’araignée 30| |La chanson de Gavroche 10|Mes vers fuiraient… 8|Le Pêcheur 12|| |Chanson de grand-père 12|Jeanne au pain sec 30|Voici que la saison décline… 10|| Solange Innocent|Pluie 4|||| Jean-Louis Jacob|La

Djinns) - Les Feuilles d'automne (1831) (Ce siècle avait deux ans…) - Les Chants du crépuscule (1835) (Les Semailles) - Les Voix intérieures (1837) (A Eugène, vicomte H.) - Les Rayons et les Ombres (1840) (Fonction du poète - Tristesse d'Olympio - Oceano Nox) - Les Châtiments (1853) (O Soldats de l'an deux ! - Souvenir de la nuit du 4 - L'expiation : « Il neigeait…/Waterloo ») - Les Contemplations (1856) (Demain dès l'aube… - A Villequier - Le Mendiant - Ce que dit la bouche d'ombre) - La Légende des