Octosyllabe

risque d'un combat entre les animaux. Tout, dans ce récit, est dirigé vers l'action : contraste/confrontation entre le loup et le chien les verbes d'action : « il rencontre », « l'attaquer », « le mettre en quartiers » vers courts (octosyllabes) séries d'enjambement qui donne une impression de vitesse (Vers 5-7) effet de suspense : situation indécise, le loup étant trop faible pour venir à bout du chien, il pose des questions à ce dernier [ « Que me faudra-t-il faire ?» (V.22) »

de la fable, la légende des "Levantins" est pleine d'une gravité que font ressortir les allitérations en [a] et [(] qui donnent un coté litanique au récit (vers 1 à 4). Ces allitérations pesantes contrastent avec le rythme rapide donné par les octosyllabes. Ce contraste, de même que l'utilisation des rimes croisées peut être interprété comme le prélude à une duplicité du personnage. De plus on peut observer l'utilisation du terme " ici-bas " au vers 2 qui amorce l’isotopie de la religion.

chemin montant, sablonneux malaisé » v1), mais aussi des octosyllabes (« Six forts chevaux tiraient un Coche » v3) moins nombreux. L'hétérométrie, c'est à dire la variété de la longueur des vers, permet au poète de jouer avec le rythme du texte. Ainsi, les deux premiers alexandrins « Dans un chemin montant, sablonneux, malaisé/ Et de tous les côtés au soleil exposé » provoquent un effet d'attente et de contraste avec le troisième vers, un octosyllabe « Six forts chevaux tiraient un Coche », qui porte

et à nouveau des octosyllabes) Ainsi plus les vers sont court plus le texte est rapide. Au vers 9 jusqu’au vers 32 on retrouve de nouveau un ralentissement c’est la longue tirade du chien. Du vers 33 au vers 42 c’est l’accélération du rythme, lors du dialogue final où le rythme se précipite. Au vers 42 on retrouve du présent de narration qui dynamise le récit. Cela peut s’apparenter à de la poésie où le récit n’est pas monotone. Il y a ici 3 métriques différentes (octosyllabes/décasyllabes/alexandrins)

La versificationJusqu’au XIXème siècle, poésie et vers sont presque synonymes. A l’époque romantique, la liberté grandit. Pour autant, la poésie régulière n’a jamais cessé d’être pratiquée. Formes fixes et formes libresFormes fixes :· Les poèmes à forme fixe reposent sur une division en vers et en strophe.· Jusqu’au XIXème, les plus utilisées sont les suivantes : La ballade  : 3 strophes et un envoi (une demi-strophe) L’ode  : poème lyrique, chanté à l’origine et

de montrer les relations monarque-sujet. Ce thème a été emprunté à Absténius qui a écrit 200 fables en prose latine à la fin du XVe siècle. Cette fable comprend 55 vers dont les 4 derniers contiennent une morale, tantôt en alexandrin, tantôt en octosyllabe. Nous montrerons en quoi la fable est une forme efficace pour critiquer la cour. 1 – Un titre révélateur On observe que le nom et le complément du nom ne vont pas ensemble car les obsèques sont réservées aux humains. Le titre est révélateur

Le mètre ou le vers est nommé en fonction du nombre de syllabes qu’il contient. ATTENTION : ne surtout pas parler de « pied » qui est la mesure poétique latine ! 5 = un pentasyllabe 6 = un hexasyllabe 7 = un heptasyllabe 8 = un octosyllabe 9 = un ennéasyllabe 10 = un décasyllabe 11 = hendécasyllabe 12 = un alexandrin     3) LA RIME La rime est le phénomène de répétition du même son en fin de vers. Il existe 3 dispositions de rimes : - Plates : AABB« Ephémère

par « le Ciel » (v.2), c’est à dire les dieux, afin de « punir les crimes » (v.3) et qu’elle peut tuer beaucoup et très vite pour envoyer les victimes aux enfers : « Capable d’enrichir en un jour l’Achéron » (v.5). Les deux premiers vers sont en octosyllabe qui donne un rythme boiteux et lourd afin de nous mettre directement dans une situation angoissante. On trouve aussi un champ lexical de mots négatifs tout au long de cette première partie tels que « mal », « terreur », « fureur », « punir »,  « crimes »

pas forcément un écrit en prose, bien au contraire : les premiers romans sont écrits en vers, principalement en octosyllabes, et, dans un premier temps, « mettre en romanz » signifie « traduire » du latin en langue romane. Traditionnellement, on associe les débuts du roman à deux œuvres majeures, tirant leur inspiration de la matière antique : Le Roman de Thèbes (1155), écrit en octosyllabes à rimes plates, et Le Roman d’Alexandre (1170-1180), dont la particularité est d’être écrit en vers de douze

sensibilité et aux sentiments. - "Impromptu" est un texte très court qui présente une définition de l'art poétique. Ecrit en 1839, il parait en 1852 dans un recueil intitulé Poésies nouvelles. - Ce poème a une forme brêve, 12 vers (alexandrins & octosyllabes) et donne une définition de la poésie dans laquelle le terme "impromptu" dénote une particularité. - En effet, ce texte pose le problème de l'inspiration, mais aussi de la difficulté du travail poétique. I) Un impromptu a. composition du texte: