Octosyllabe

courtisant par exemples le singe (v.20-25).La morale de l histoire nous apprend qu il ne faut pas trop dévoiler ces opinions et qu il ne faut pas trop en faire au risque de se faire remarquer La Fontaine utilisent des alexandrins et des octosyllabes, le récit est au passé simple. La fontaine utilise plusieurs discours ( indirect et indirect libre )

des strophes et des vers : Nombre de vers | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | Nom de la strophe | distique | tercet | quatrain | quintile | sizain | Nombre de syllabe | 5 | 6 | 7 | 8 | 10 | 12 | Nom du vers | pentasyllabe | hexasyllabe | heptasyllabe | octosyllabe | décasyllabe | alexandrin |

un œuf. Son expérience démontre non seulement que sa femme est naïve, mais qu'elle ne peut pas s'empêcher, sans réfléchir, de propager une rumeur qui est ensuite amplifier par les autres femmes. La fontaine utilise différentes longueur de vers (octosyllabe, décasyllabe, alexandrin) de façon à rendre le récit vivant. ? I - La mise en scène d'unesituation grotesque L'idée du mari de faire croire à sa femme qu'il « accouche d'un œuf » est grotesque car doublement contradictoire (confusion absurdes

début et la fin de l'exemplum (vers 34-35), on observe des rimes plates et à chaque fois, le passage à l'étape suivante est enjambé sur un point. L'alternance octosyllabes alexandrins rythme le texte. « La perte d'un époux ne va point sans soupirs » (vers 1) est un alexandrin « Entre la veuve d'une année » (vers 5) est un octosyllabe. Elle ne suit aucune règle précise. Cette écriture en vers libres rend le texte plus souple et sa lecture plus aisée. Ainsi grâce au procédés de versification

charogne  « vous  serez  semblable  à  cette  ordure/à  cette  horrible  infection »,  « moisir  parmi  les  ossements »,  lui  projetant une image inexorable et répugnante de sa propre mort.  La forme poétique qui  fait  alterner  alexandrins  et  octosyllabes  peut  surprendre  par  le  fait  qu’elle  semble  bien  traditionnelle par rapport à l’étrangeté du contenu des vers.   Le  poème  de  Lautréamont  est  lui  aussi  provocateur  notamment  par  le  thème  choisi.  Le  pou  est  évoqué  de  façon 

principaux exemples de littérature satirique de cette bourgeoisie sont Le Roman de Renard et Les Fabliaux, dont on fait l´analyse à continuation. LE ROMAN DE RENARD Le Roman de Renard est un ensemble de 27 récits, appelées branches, écrits en vers octosyllabes par différents auteurs entre la fin du XII siècle (1175) et la première moitié du XIII siècle. Ce recueil, avec ses « suites », comprend une totalité de plus de 100.000 vers. On voit dans ce célèbre roman l´inspiration classique, surtout celle

les seuls 2 premiers vers : 1 alexandrin (6/6) + 1 octosyllabe. Tout est très explicatif : les deux points du vers 1 et « de toi » mis en relief dans le gallicisme (=construction ou emploi propre à la langue française) : « c’est de toi que » de même que « et voilà » qui souligne l’enchaînement. Suit un mouvement expansif, expédié également avec beaucoup de célérité (= rapidité dans l’exécution); le vers 4 fait écho au vers 2 ; ce sont 2 octosyllabes, le rythme est semblable, un peu plus ample dans

met en relief la prétention du paysan. Le rythme des vers – en majorité des octosyllabes – est alerte. Le deuxième « acte » prend la forme d’une démonstration par l’expérience : c’est alors la nature qui donne une leçon au paysan (v. 20 à 31). Le rythme des vers – en majorité des alexandrins – est plus ample et plus posé. Les vers 32 à 35 se présentent comme la conclusion de l’anecdote. Le rythme des vers (octosyllabes) redevient alerte. Cette structure donne à la fable la forme d’une démonstration

les deux octosyllabes « un agneau se désaltérait / dans le courant d’une onde pure » forment un ensemble harmonieux qui présente un cadre bucolique. L’imparfait « se désaltérait », duratif, montre la joie qu’il goûte à étancher sa soif. L’hypallage « une onde pure » permet d’attribuer à l’adjectif une connotation morale à la rivière qui se poursuit sur l’agneau , symbole de pureté aussi. Quant au loup, il est présenté sur deux vers de longueur différente, un alexandrin et un octosyllabe : « Un loup

française et à ses multiples prises de position contre le Second Empire de Napoléon III. C’est un poeme hétérométrique composé de 13 strophes elle-même composé de 4 vers. Dans cacune de ces strophes on remarque une alternance entre alexandrins et octosyllabes. Les rimes sont croisées. Dans ce poeme Victor Hugo medite sur son passé a travers des paysages qu’il aperçoit durant son exil sur l’ile de jersey. Problématique : En