Octosyllabe

apostrophe insultante v 19 -contraste noirceur napoléon/abeilles lumineuses (Tibère + Charles 9) -abeilles scandalisées d’être prises comme symbole par un être cruel (imposteur). Napoléon= vice, abeilles= vertu III. Un merveilleux épique -octosyllabe brève= rythme précipité suggère charge guerrière, série de verbes à l’impératif « envolez-vous » « ruez vous » « tourbillonnez » « percez-le ». Sommet avec « acharnez vous ».Ton incite à la violence - dernière strophe = accusation sévère pour ceux

la toute puissance du Grand Furet qui, dès lors et à jamais, même s'il profite de sa liberté toute neuve pour disparaître, existe en tant que divinité, de transcendance que le texte rétablit dans légitimité en la nommant : Sredni Vashtar. Cet octosyllabe rend compte de la tonalité épique qui imprègne les pensées de l'enfant ; il est remarquable par son rythme binaire et ses assonances et semble conclure l'hymne guerrier psalmodié par Conradin comme si l'auteur faisait plus qu'employer le style indirect

: « épandre », « regretter », « chanter », « mourir ». La succession des alexandrins et des trois vers octosyllabiques, nous donnent une image de la structure du texte de Musset : les alexandrins énoncent les actions faite par le poète et les octosyllabes en résument le sens : « Du poète ici-bas voilà la passion », « Voilà son bien, sa vie et son ambition. » L’alternance d’alexandrins et d’octosyllabes est faite de façon régulière et elle exprime tout comme dans le texte de Baudelaire, le décalage

à l'imparfait "voyait" "rallait" "marchait" Contre rejet, v12 + parallélisme pour comparer petit et grand "un rat des plus petit/voyant un éléphant des plus grand" b) Une anecdote rythmé Musicalité, allitération en [S], alternance alexandrins-octosyllabes => vers hétérométrique ("se croire personnage est fort commun en France". rythme plaisant grâce a l'emplois de ponctuation adapté. II- La dénonciation de l'orgueil a) La présence du moraliste Emploi 1er pers du pluriel "donnons" "nous" "nôtre"

une déclaration de haine d’un homme plaintif à une femme qui le tient sous l’emprise de la passion. Nous allons voir que ce poème couvert d’un propos hostile qu’il est en réalité un témoignage amoureux. Le poème est composé de six quatrains en octosyllabe avec des rimes croisées. Baudelaire utilise sa poésie pour s’exprimer. Ce poème est à première vue une déclaration de haine. Le poète s’adresse directement à Jeanne Duval notamment au vers 7 avec le tiret. Quand il s’adresse à elle il n’utilise

en haut : " colombe poignardée " : celle-ci a les ailes déployées. 2ème dessin : " le jet d'eau " avec à sa base un bassin. Mais il est tout à fait possible de réécrire le texte comme un poème traditionnel. La seconde strophe ne comporte que des octosyllabes et les rimes sont classiques (donc la lecture ne pose pas de problème particulier à l'oral). Douces figures poignardées chères lèvres fleuries Mya Mareye Yette et Lorie Annie et toi Marie Où êtes-vous ô jeunes filles Mais près d'un jet d'eau

syllabe est un groupe formé de consonnes et de voyelles qui se prononcent d’une seule émission de voix Le e muet peut ou non être prononcé en fonction du nombre de syllabes que l’on souhaite dans le vers. 12 syllabes = alexandrin 8 syllabes = octosyllabe 10 syllabes = décasyllabe 7 syllabes = heptasyllabe 9 syllabes = ennéasyllabe 4. La strophe Le poème peut être soit - Continu : suite ininterrompue de vers de différentes longueurs, différentes rimes… - En strophes 1 vers =monostique

font par la tendresse. Hypallage au vers 13 : Sur ta vie et sur ta jeunesse. Le complément circonstanciel de lieu se rapporte à « Je veux régner » le poeme est composé de quatre stophes; deux quatraines et deux tercets, les vers sont des octosyllabes et le système de rimes utilisé est celui des rimes suivie. On remarque au dernier de chaque tercets que le son “-oi” est repris au debut et a la fin du ver, comme une rime; “soir” et “froid” au vers 11; “moi” et “effroi” au ver 14.

rivalisant avec Marot, vont faire rêver sur les beautés du corps de leurs belles amies réduit à l'absolu d'un détail qui devient monde. FORME Le blason ne suit pas de règle fixe. A l'époque de Marot, il est généralement bref, en rimes plates, en octosyllabes ou décasyllabes. D'habitude, on s'adresse directement à la partie du corps célébrée en empruntant le modèle rhétorique de l'apostrophe. THEMATIQUE En fait, 4 tons différents peuvent être empruntés : - le ton sensuel et voluptueux, - le ton

apparaît à la première guerre mondiale. Un mouvement dont lequel les artistes veulent se libérer des règles de la raison et de la morale et s’ouvrir à l’univers du rêve et de l’inconscient. Poème consacré à la femme. Ce sont deux ci sains. Un octosyllabe avec des rimes irrégulières. Anaphore de « elle » dans 5 vers qui montre la présence de femme, qui insiste sur la femme. Après chaque élément d’anaphore, on retrouve le 1er pers ac des adjectifs possessifs exprime la fusion entre les deux protagonistes