Odalisque

1780 et mort en 1867 était un peintre français. Il fut formé à l'académie de Toulouse, puis monta à Paris en 1796 pour étudier sous la direction de David, un peintre néoclassique. Ses principales œuvres sont La Grande Baigneuse (1808) et La Grande Odalisque (1814). Il remporta le Prix de Rome en 1801 et parti en Italie. Pensionnaire de la Villa Médicis pendant 4 ans, il découvrit Raphaël, la peinture antique mais également les mythes grecs. Et c’est en Italie qu’il fit sa première étude sur le mythe

leur empreinte. Sixte Quint, qui règne de 1585 à 90 a le temps d'élaborer un projet très moderne. Il crée de longues avenues rectilignes, des places en pattes d'oie (la Piazza del Popolo), et des constructions urbaines telles que des fontaines et odalisques. Paul V (1605-1621) achève la construction de la basilique Saint Pierre, notamment la façade sur le parvis et le palais du Quirinal, ex résidence pontificale. On peut noter aussi la place Navone, aménagée à partir de 1644 et la place Saint Pierre

l'idéal féminin. L'oeuvre semble donc être une sorte de caricature à l'encontre par exemple du Bain turc d'Ingres où les courbes généreuses abondent. Cela se confirme par les femmes centrales qui ressemblent très fortement, par leur position, à des Odalisques allongées que l'on aurait relevé à la verticale, effet accentué par les drapés. Mais les femmes marquent aussi par leurs visages, en particulier les visages de droite « dont les déformations évoquent les lésions atroces de la syphilis »(Rubens)

dessinateur français néo-classique, qui représente le courant symboliste de mysticisme au cours du 19ème siècle. Né le 29 aout 1780 à Montauban et décédé le 14 janvier 1867 à Paris. Connu pour de grandes oeuvres comme "La Grande Baigneuse" ou "La Grande Odalisque", Ingres a également peint le tableau « Œdipe et le Sphinx » en 1808, actuellement exposé au musée du Louvres à Paris comme huile sur toile. Cette oeuvre réprésente une partie de l'histoire du mythe d'Oedipe : Œdipe est le fils de Laïos et Jocaste

pastel, papier, tissu, reproductions imprimées, photographies et carton sur bois, 39,3 x 52,7 cm Factum I, 1957 Huile, encre, crayon, pastel, tissu, journal, reproductions imprimées et papier imprimé sur toile, 156,2 x 90,8 cm Odalisk, Odalisque, 1955-1958 Huile, aquarelle, crayon, pastel, papier, tissu, photographies, reproductions imprimées, journal, métal, verre, oreiller, poteau en bois et lampes sur structure en bois avec coq empaillé, 210,8 x 64,1 x 63,8 cm

cours après mon ombre, De la pensée aux mots, Synthèses. Mouvements littéraires : aucun Courant littéraire : aucun Dans ce texte j’ai relevé le champ lexical de la durée J’ai aussi relevé une anaphore 6) Titre : Cénotaphe Recueil : Odalisque Sous le portique ancien d’un grand temple oriental Repose l’or du temps et son précieux visage Entre les pampres roux d’une vigne sauvage, Dont les mèches de feu exhalent le santal. Le sable des allées et son miroir fatal Dévorent les années

ici une critique de Léonard de Vinci qui recherchait à représenter les hommes dans leurs proportions parfaites (l’homme de Vitruve) ? Raysse, lui, est un réaliste qui a notamment revisité une œuvre d’Ingres, La grande Odalisque, qu’il a rebaptisé : Made In Japan, La grande odalisque. Il ne reprend de la peinture originale que le portrait de l’odalisque qu’il a photographié puis agrandit. Il y appliquera des couleurs complémentaires – le rouge et le vert – ainsi que des morceaux de tissus et des perles

 La reproduction proposé est une photocopie du tableau La Grande Odalisque. Oeuvre fixe en deux dimensions, elle est une peinture maîtresse de l'artiste Dominique INGRES. Peinte en 1814, elle est actuellement exposée au musée du Louvre au milieu de bien d’autres chefs-d’œuvre. C'est une huile sur toile, mesurant 91x162 cm à l'echelle humaine. Etant une peinture figurative, un portait nu, l'oeuvre se regarde de face de manière à bien comprendre le message du tableau. Cela dit, qu'elle est son

abondance excessive (pléthorique). -une apothéose : grand final, grandiose. - un exode : départ forcé de beaucoup de gens. - un hymne = un chant nationale // une hymne = chant à la louange de Dieu. - un apogée : sommet de la puissance. - une odalisque : femme de chambre esclave qui était au service des femmes dans les harems, dans l’Empire Ottoman. Par extension, désigne toute les femmes d’un harem. - une évanescence : qualité de se qui disparait graduellement. - le surfaçage : préparation

1910). Alternent dans l'évolution du peintre des recherches éblouissantes sur la lumière — les années de Nice —, sur la | |couleur (les Natures mortes à la Danse), sur l'architecture et la bi -dimensionnalité du tableau (Vue de Notre-Dame, les Odalisques), les | |compositions monumentales, hautement stylisées (Danse I et II, 1931-1933). L'œuvre trouve son apothéose dans les papiers découpés des | |dernières années, formes épurées sculptées à même la couleur dans un lyrisme serein et éblouissant