Oedipe Héros Anti Héros

différemment. Pour définir l ‘épopée il faut remonter loin. Epopée vient d’un mot qui veut dire la parole. L’épopée c’est un genre narratif, on raconte une histoire. C’est un récit. Les premiers caractères que l’on a : c’est une narration de haut faits, les héros sont surhumains, ce sont presque toujours des hommes. A l’intérieur de l’épopée, il y a une interrogation sur la grandeur et la misère de l’homme. Il y a des conditions favorables dans une société à la naissance des épopées : il y a d’abords des

la réalité, il reprend des bribes de paroles ayant vraiment existées lors de l’attentat et il met en scène des personnalités de notre monde comme Ben Laden ou Bush. Il dénonce dans sa pièce le terrorisme et l’état du monde actuel et prend le parti anti-Bush. Si le théâtre est le reflet de la vie en rendant des personnages fidèles aux personnes réelles, il est aussi le reflet du monde. Les lieux et les décors, lors de la représentation, veulent rendrent la réalité des lieux. Le théâtre de boulevard

est de voir des hommes en action, de se laisser prendre au jeu, de feindre de croire à l’illusion, de faire enfin « comme si c’était vrai ». Parmi ces hommes en action, on aime à voir se débattre sur scène les héros tragiques. Qui n’a pas pris plaisir à tenter de résoudre l’énigme avec Œdipe dans l’Œdipe Roi de Sophocle ? Mais ce que le spectateur recherche avant tout dans la tragédie c’est l’expression de la passion : que ce soit la soif de vengeance et de justice réclamée par Electre ou la déclamation

(excursus Sisyphe : monotonie (pousser le caillou en haut puis il redescend)/Prométhée : idée d’action, de réagir (il défie les dieux en volant le feu sacré))· Le fils révolté, avide de liberté ;· Trois éléments obligatoires : la mort, la femme, le héros · Enorme succès (présentation succincte) : vers 1650, la pièce espagnole inspire des auteurs italiens dont les adaptations sont reprises par les troupes de la commedia dell’arte (cf. documents personnages (prises de co)) / à Molière en

est inséparable de l’organisation civique, de l’élaboration de la démocratie athénienne. C’est la période où, dans les cités grecques, s’institue le droit. Où sont fondés les tribunaux, composés de citoyens, chargés de porter des jugements. (…) Les héros mythologiques, célébrés comme des valeurs, sont désormais mis en question.3» Le moment tragique est celui où « une distance s’est creusée au cœur de l’expérience sociale, assez grande pour qu’entre la pensée juridique et politique, d’une part, les

je lui - arrache -les pattes - l’une - après - l’autre… » et elle le faisait . » Par l’intermédiaire de sa « jambe raide », Werner se double du personnage extra-textuel - mythologique - d’((Œdipe)), l’homme au pied enflé. Cette déficience au niveau physique désignant le caractère imparfait de l’Homme (Oedipe est une métaphore du genre humain). Ainsi, Ebrennac appartient à l’humanité à la fois belle et misérable. C’est un représentant de l’humanité avec sa force et avec sa faiblesse, dans tous les

Rougon-Macquart (L’assommoir, Germinal…) J inscrit ds une famille marquée par l’immaturité est l’instabilité de ses parents et ds un lingée d’alcooliq J s’incrit dans la continuité de ses ancêtres qui st des héros mais à l’envers : ê ordinR qui se dégrdent par la conso excessive d’alcool = ascendance anti-héroïq et avilissante (abasissante), Destin présenté ss un angle ironiq = parodie d’une lignée C. Une vis° traqiq de la famille L’acoolisme : un excès, une faute répétée de générat° en générat°

spectateur se libère de ses pulsions, angoisses et fantasmes en les vivant à travers le héros ou les situations représentées sous ses yeux. Le spectacle théâtral suscite ainsi émotion et réflexion. Ici encore la proximité des acteurs-personnages est une donnée clefs du processus, car elle invite le spectateur à s’identifier à certains d’entre eux , à vivre leurs aventures et leurs épreuves. Ainsi selon Aristote, le héros de la tragédie antique suscite terreur et pitié ; il provoque ce qu’il nomme une catharsis

permet d'interférer dans le monde des hommes, on peut représenter l'homme au travers du corps divin. La religion grecque est polythéiste avec une multitude de puissances divines que l'on classe généralement en 3 catégories, les dieux/déesses, les héros & puis les daimones des puissances qui peuvent être positives ou négatives ( se traduit par démon mais le sens aujourd'hui a pris une connotation négative. ) Le terme polythéiste apparaît chez un auteur juif, Philon d'Alexandrie avant IIème siècle

Les Travaux et les Jours  : on y trouve le mythe des 5 âges du monde : Âge d'or : bonheur, ni souffrance, ni maladie.Âge d'argent : prospérité gâtée par les sacrilèges.Âge de bronze : guerres et luttes privées.Âge des Héros : combats, grandeur et courage.Âge de fer : labeur : morale du travail, de l'effort pour échapper au malheur : culte du travail du champ.Sappho (VII-VIè siècles ACN)Première auteur féminine.Pindare (518-438 ACN)Eschyle (525-456 ACN) : tragédie grecque