Oiseau de feu

donner une idée de se qu’il s’est passé avant la chute. b) J’ai choisi cette oeuvre car j’ aime bien la manière dont elle est peinte. Ce tableau illustre le moment dans le livre où Phaéton monte trop haut dans le ciel et mets feu aux cieux donc Jupiter doit éteindre le feu en créant un orage, ce qui affole les chevaux et les causes de s’échapper de leur harnais et donc Phaéton tombe de son chariot et dégringole vers le sol. La statue de Pygmalion (1786) Pygmalion priant Vénus d'animer sa statue

vers" "prosaïque" signifie "qui manque de noblesse, d'idéal, commun, vulgaire, terre à terre, banal"Relevés AVEC GUILLEMETS ET N° DE VERSprocédésinterprétationV1-6 Longue phrase de 6v Présentation du contexte qui a permis la rencontre“c’est un oiseau” v 9métaphoreLa grâce du vélo est aérienne. Le vélo prend vie.Bicyclette, Rue (v1 et 10), un dimanche à 6h, corridor, pavage, vélo, villageChamp lexical du quotidienCadre simplesoudainAdverbe entre virgules à la rimeMise en valeur d'un effet de suspense:

sépare G.A de ceux qu'il aime. le poème est constitué de 3 parties de haut en bas : 1.La colombe cette partie un poème est consacré au femme qu'il a aimé La colombe symbolise : l'amour (oiseau symbole de la déesse Aphrodite/ Vénus) la paix (colombe de la bible après le déluge) l'âme la pureté (oiseau blanc des symbolistes) →symbolise les lettres d'amour entre les poilus et leur fiancés (colombe) « douces figures poignardées » métonymie de la femme aimée La colombe par les noms des jeunes

taureau est le symbole de l’Espagne. Les couleurs noirs et blanches mettent en valeur la guerre, le bombardement et les cendres. L’animal parait féroce et agressif car il est en train d’écraser le soldat mort. La queue du taureau nous fait penser au feu car c’est le bombardement avec les bombes et les incendies. La femme avec est en train de crier. Sa langue pointue représente le cri strident. Dans des bras, elle porte son enfant qui est mort. Ses yeux ont une forme de larme. Cela évoque la tristesse

lancer le brûler, le torturer, mais fais attention tu es a l`intérieur. |   | Poème de:  Vansauvenel727 | | | | |   |   |   | j'aurai voulu être un oiseau bleu, un oiseau de feu, un oiseau de voyage, un oiseau de passage, mais on me retient ici, ou je gâche ma vie. |   | Poème de:  durou veronique | | | | | La police de l'amour a trouvé un coeur brisé en

secrètes Voltigeant dans un coeur souffrant, mais apaisé. L'une, dans les clartés rouges et violettes, D'un coucher de soleil, fend le ciel embrasé, Une autre comme un trait,plonge dans les eaux muettes Ou se suspend au flot lentement balancé. Nul oiseau vagabond n'a de plus longues ailes De plus libres destins, ni d'amours plus fidèles Pour le pays des flots noirs, cuivrés, bleus ou verts Et j'aime leurs ébats, car les mouettes grises Que berce la marée et qu'enivrent les brises Sont les grands

ANTHOLOGIE POÉTIQUE Charles Baudelaire « L'ennemi » Paul Eluard « Un oiseau s'envole » Victor Hugo « Crépuscule » Alfred de Musset « Nuit de décembre » Jacques Prévert « Les feuilles mortes » Arthur Rimbaud « Le dormeur du Val » Charles Baudelaire « L'ennemi », XIXè siècle Ma jeunesse ne fut qu'un ténébreux orage, Traversé çà et là par de brillants soleils ; Le tonnerre et la pluie ont fait un tel ravage, Qu'il reste en mon jardin bien peu de fruits vermeils. Voilà que j'ai touché l'automne des

perdre une seule, les cartouches qui en étaient tombées, et, avançant vers la fusillade, alla dépouiller une autre giberne (2). Là une quatrième balle le manqua encore. Gavroche chanta :Je ne suis pas notaire,C’est la faute à Voltaire ;Je suis petit oiseau,C’est la faute à Rousseau.Une cinquième balle ne réussit qu’à tirer de lui un troisième couplet :Joie est mon caractère,C’est la faute à Voltaire ;Misère est mon trousseau,C’est la faute à Rousseau.Cela continua ainsi quelque temps.Le spectacle était

beau. Il n'y a bête ni oiseau Qu'en son jargon ne chante ou crie : Le temps a laissé son manteau De vent, de froidure et de pluie. Rivière, fontaine et ruisseau Portent, en livrée jolie, Gouttes d'argent d'orfèvrerie, Chacun s'habille de nouveau Le temps a laissé son manteau. {text:soft-page-break} Ronsard (1524-1585) Sonnets pour Hélène (1578), II, 24 : Quand vous serez bien vieille, au soir à la chandelle, Assise auprès du feu, dévidant et filant, Direz

seule chose qui se rassure, avec une humilité très douce, c’est une omelette. Ah ! L’omelette ! Vos vapeurs ravissez. La chaleur du votre peau est comme l’étreinte d’une mère pendant un jour froid. Le plaisir : cela n’explique pas à vous. Comme un oiseau mythique, vous restez dans la tête pendant les rêves du matin. Puis, comme la magie, on peut vous créez ! Une idée de l’esprit ; une réalité dans la cuisine. On pourrait croire que, dans le passé, vous étiez une fleur, mais vous choisiriez être réincarner