Oiseau

je tourne la serrure , et à ce moment le cœur palpitant je découvre toutes ces pages vierges rayées finement qui attendent mon écriture d'écolière ….. Le première page est décorée d'un style oriental et d'un champs de mille fleurs , un superbe oiseau domine l'espace il semble attendre ma plume pour transcrire tous les petits et grands secrets que je vais pouvoir écrire dans ces pages immaculées. Au centre de ce décor féérique, deux volets cartonnés s'ouvrent et se ferment à volonté , ils

envahi la Terre qui serait devenue froide et sèche. De nombreuses espèces pourraient avoir disparu, dont l’homme … Seules survivraient les plus robustes. Voici 2 espèces pouvant être de cette époque : • Le Caracoureur : Le Caracoureur est un oiseau de proie qui ne vole pas, comme l’autruche du temps des hommes. Il pond des œufs. Il tue pour manger et a développé de grandes capacités de coureur. C’est le chasseur le plus rapide des prairies d’Amazonie, région très sèche mais froide.

vain, Le ciel s’illuminait d’un sourire divin. La lueur argentait le haut du mât qui penche ; Le navire était noir, mais la voile était blanche ; Des goélands debout sur un escarpement, Attentifs, contemplaient l’étoile gravement Comme un oiseau céleste et fait d’une étincelle. L’océan, qui ressemble au peuple, allait vers elle, Et, rugissant tout bas, la regardait briller, Et semblait avoir peur de la faire envoler. Un ineffable amour emplissait l’étendue. L’herbe verte à mes pieds

Une allée du Luxembourg Elle a passé, la jeune fille Vive et preste comme un oiseau : A la main une fleur qui brille, A la bouche un refrain nouveau. C'est peut-être la seule au monde Dont le coeur au mien répondrait, Qui venant dans ma nuit profonde D'un seul regard l'éclaircirait ! Mais non, ma jeunesse est finie... Adieu, doux rayon qui m'as lui,  Parfum, jeune fille, harmonie... Le bonheur passait, il a fui ! Gérard de Nerval (Odelettes) A une passante La rue assourdissante autour

commencer. Peut-être l'absence de véhicules, qui encombraient habituellement la chaussée de jour comme de nuit. Ou même, plus choquante, la terrible absence de personnes. Aucun signe de vie à des kilomètres à la ronde. Pas même le piaillement aigu d'un oiseau perché sur une antenne. Rien. Pas de son. Pas de mouvement. Mais le pire restait à venir. Lorsque mes yeux se dirigèrent vers le ciel, je crus à un cauchemar, à une sorte de mauvaise blague organisée par je ne sais qui ou je ne sais quoi. Toujours

chouette peut pivoter sa tête à 270°. Ses yeux, bien qu'imposants avec leurs disques faciaux arrondis qui recouvrent la moitié de la tête, ne lui permettent de bien voir que sur un faisceau de 70° sur un champ de vision total de 180°. L'ouïe de cet oiseau est très développée, elle fait de lui un grand chasseur. Ses oreilles situées asymétriquement (l'oreille droite est plus haute que l'oreille gauche) captent les variations de temps d'arrivée des ondes sonores de ses proies, lui permettant ainsi de

choses : vivre jusqu’à 300 ans, être un poisson ou un oiseau…mais cela reste impossible. Pourtant, tout impossible n’est pas de même nature : il y a l’impossible qu’on peut qualifier de logique (A ne peut pas être non-A en même temps) et l’impossible réel à savoir ce qui semble d’abord impossible au regard des lois de la nature. Il était impossible de passer une heure sous l’eau, pour un homme, il y a 800 ans, de même que voler comme un oiseau pouvait se révéler très dangereux, Icare s’y est brûlé

qu'on ne l'y prendrait plus. Jura mais un peu tard, qu'on ne l'y prendrait plus. Jean de La Fontaine Jean de La Fontaine Livre premier – Fable 2 Livre premier – Fable 2 Mots difficiles • alléché : attiré • ramage : chant d’un oiseau • Phénix : Oiseau fabuleux au plumage doré, il était l’unique représentant de son espèce. Après un siècle de vie, il mourait consumé par le feu, et renaissait aussitôt de ses cendres. Il était donc considéré comme un symbole de l’éternité. Dans cette fable

vocabulaire théâtral : « planches », avec l’oiseau mis sous les feux des projecteurs, faisant une sorte de représentation devant les marins jouant le r^^ole de spectateurs. Il y a un passage du pluriel au singulier, le passage de « homme d’équipage », « oiseau » puis « compagnon » rendant l’oiseau plus familier au lecteur. Il en est de même pour le lieu avec un rétrécissement, passant de la mer, aux gouffres amers puis aux planches. II. Le poète s’assimile à l’albatros 1. En fait, ce poème n’est

terrasser tous ses rivaux ; mais il devait surtout avoir beaucoup d’esprit, être le plus magnifique des hommes, le plus vertueux, et posséder la chose la plus rare qui fût dans l’univers entier. » Nous pouvons voir le phénix qui est un mythe. Un oiseau imaginaire qui parle et qui n’a jamais existé qui fait partie du merveilleux. Le lecteur retrouve aussi le carde du merveilleux comme le palais, un lieu parfait propice aux merveilles. Nous retrouvons tout de même des exagérations et des hyperboles