Oléoduc Énergie Est

vivent dans ces régions. Vastes domaines agricoles (sylviculture, énergie) mis en valeur par les ouvriers chinois. Le traité de 2004 a permis à des Chinois d’aller travailler en Russie dans des usines russes. Les intérêts des Chinois de Heié sont d’avoir des salaires supérieurs à ceux de Chine et pour les Russes moins de contraintes sociales. Les relations commerciales entre les 2 Etats ont été multipliées par 5 : Armes, bois, énergie vers la Chine mais aussi des peaux (trafic), le caviar, la drogue

sous le contrôle de l'État - notamment en mettant en faillite Yukos et en emprisonnant son propriétaire milliardaire, Mikhail Khodorkovsky - et a repoussé les efforts des oligarques visant à démanteler le monopole de l'État sur les exportations par oléoduc. Il a utilisé la position dominante de la Russie dans le secteur du gaz naturel en Europe comme levier politique, notamment pour maintenir dans sa sphère d'influence d'anciens États soviétiques comme l'Ukraine et la Moldavie. La décision de Poutine

avant un autre enjeu important : le contrôle des transports des matières premières. Le transport des hydrocarbures se font tous par deux vecteurs, d'une part on trouve le transport maritime et d'autre part on trouve le transport effectué par les oléoducs et les gazoducs. Dans tout les cas les matières premières traversent des régions conflictuelles ou tout du moins qui sont soumises aux risques qui peuvent donc compromettre la sécurité de ces transports, et qui par conséquent menace les économies

sur l'environnement immédiat des sites exploités (fuites sous-marines sur les sites d'extraction offshore) le transport sur de très longues distances, coûteux en énergie et, lorsqu'il s'effectue par bâteau, peut avoir des conséquences catastrophiques sur l'environnement (marées noires, dégazage sauvages des pétroliers, fuites sur oléoducs), le traitement et l'utilisation, qui sont largement émetteurs de gaz à effet de serre et autres gaz polluants. De plus , la combustion du pétrole libère des particules

restreinte et ne s’applique qu’à des produits liquides et particuliers. Il représente cependant 12 millions de tonnes par an en France pour le transport sous gazoducs de produits tels que : ammoniac, éthylène, gaz carbonique, propylène, saumure, etc.. Les oléoducs quant à eux représentent en 1993 en France 4949 km et en Europe 12468 km pour 586,6 millions de tonnes déplacées. VI) Comparaison des différents modes de transport : Pour déplacer 5.000 tonnes sur 1.000 km par voie fluviale il faut 1.800 chevaux

vinaigre, se séparent assez bien. Ensuite, on réalise un traitement. L’eau est dépolluée avant d’être rejetée à la mer ou réinjectée dans le puits si besoin. Le pétrole et le gaz sont rendus moins corrosifs afin de ne pas trop endommager les gazoducs et oléoducs qui les achemineront jusqu’à terre. Le gaz va jusqu’en Europe via l’Ecosse alors que le pétrole est dirigé vers les Shetland où il sera pris en charge par des cargos. Une fois à terre, ils y subiront un traitement plus poussé dans des raffineries

exploratoires afin de chiffrer les réserves. Ces informations permettent de dresser un plan de développement du gisement, qui comprendra le nombre de puits à forer, le type de récupération envisagé, les débits de fluides, le coût des installations annexes (oléoducs, sites de traitement, etc.) ; en face, on tentera également d'évaluer les recettes, avec un prix du baril estimatif, un accord de partage avec le pays propriétaire… C'est l'équilibre financier, entre ces aspects, qui détermine la prise de décision

pétrolière : =>forages, prospection, raffinage, distribution… • Le pétrole structure l’espace économique : ZIPs • A l’origine de la croissance des échanges : =>1973 : pétrole = 1ère énergie échangée. 2) La success-story du pétrole. a. les causes du succès du pétrole. • Des qualités intrinsèques au produit : =>utilisations multiples dans des domaines variés : -bitume (construction

ne pas trop épuiser leurs réserves. Un autre point faible : la forte dépendance énergétique. Le pays consomme le quart de l’énergie mondiale et bien qu’il soit gros producteur de pétrole, de gaz, d’électricité, ils doivent importer massivement ces énergies. La balance énergétique américaine est déficitaire de 200 milliards de $ par an. La politique énergétique américaine s’oriente donc vers une relance de l’énergie nucléaire et la production de carburants d’origine agricole. 3. La maîtrise du territoire

du monde, avec la flotte la plus puissante du monde, avait à l'époque beaucoup de charbon et pas une goutte de pétrole. Cette décision a posé la problématique européenne pour le reste du siècle [4] . Du reste, alors que le gaz faisait partie des énergies motrices de la Révolution industrielle au XIXe siècle [5] , le pétrole n'était pas l'objet d'un emploi généralisé jusque lors. Les offensives britanniques de la Première Guerre mondiale en Irak et en Palestine visaient à occuper des territoires pressentis