Olfaction

état de réceptivité, sa dominance sociale. Quand l’ami sera parti, votre chien percevra votre ami dans le réel part sa trace olfactive, alors que vous ne pourrez vous en rappeler que par des images ou l’évoquer par des mots. Notre circuit de notre olfaction représente un tiers du poids total de notre cerveau mais notre culture supporte mal que nous flairions ! Chez certains Mélanésiens, il faut passer la main sous l’aisselle de l’ami qui s’en va, puis porter ses doigts à son nez pour lui signifier que

l'origine. À la sensibilité "générale" s'opposent d'autres sensibilités, desservies par des organes sensoriels particuliers. Certaines sont "téléceptives", c'est à dire liées à des stimulus dont la source peut être éloignée : vision, audition, olfaction. Le goût est, avec l'odorat, une sensibilité chémoceptive. Les sensibilités labyrinthiques renseignent l'organisme sur la position et les mouvements de la tête dans l'espace : elles représentent une sensibilité proprioceptive spéciale. UNE MÊME

se protège les yeux avec ses mains. Même observation sur un enfant prématuré de 6 mois de vie utérine, l’enfant prématuré de 6 mois voit car il peut suivre du regard une lumière. En général, étudier la vision in-utéro est difficile. Gustation et olfaction A partir de 3 mois in-utéro, le système gustatif semble fonctionnel. Si on injecte des éléments sucrés dans le liquide amniotique on constate que les mouvements de déglutition ↗. A contrario, quand on introduit des substances amères les mouvements

le lustrage de certains bonbons ce qui améliore leur esthétique (bonbon lisse et brillant) et les rend plus pratique (bonbon qui ne colle pas). Arômes. L’arôme est la sensation perçue par le système olfactif lorsque l’on mange (par rétro-olfaction). En effet, les arômes suivent une trajectoire passant à l’arrière du palais pour atteindre les fosses nasales. Le but des sociétés d’agroalimentaire est de reproduire, d’intensifier ces arômes. La législation européenne classe les arômes dans 5

messagers entre les individus d'une même espèce, transmettant aux autres organismes des informations qui jouent un rôle dans l'attraction sexuelle notamment. Le comportement sexuel:déroulement et organisation  Phase d’attraction  Rôle olfaction: phéromones Attractif sexuel  Emission dans urines, sécrétions vaginales  Phéromones mâles: androsténol et androsténone émis dans salive verrat  Récepteurs olfactifs: muqueuse olfactive, organe voméronasal  Communication animale et

respiratoire • Sacs et conduits alvéolaires Voies aériennes supérieures • Voies aériennes supérieures Voies aériennes supérieures – Fosses nasales – Pharynx – Larynx • Fonctions – Respiration – – – – Défense Déglutition Phonation Olfaction, goût Voies Aériennes Supérieures: Fosses nasales • Muqueuse respiratoire – très vascularisée – contient des cellules à mucus et ciliées Voies Aériennes Supérieures: Pharynx cornets • Conduit musculomembraneux • 3 segments: – nasopharynx

façon de s'informer sur le monde. La perception est donc un filtre de la réalité, car nos sens, limités en nombre, le sont aussi en capacité (par exemple, la vue humaine ne peut percevoir les infrarouges, l'ouïe humaine omet les ultrasons, notre olfaction est très limitée...). Donc, notre perception du monde n'est qu'une approche parmi d'autres possibles. Les expériences de psychologie expérimentale montrent que notre perception du monde n'est pas qu'un simple enregistrement passif du monde extérieur

du récepteurs |Types de récepteurs |Localisation |Type de sensations perçus | | | | |Audition, olfaction , gustation, | | | | |toucher, la pression, ta t°, la | | | |

phases : 1- L’interrogatoire : questions posées pour cibler les symptômes ressentis, le mode de vie… 2- L’ observation : examen visuel de la langue, du teint, inspection du regard, des cheveux, des ongles, du comportement du patient 3- Olfaction et Audition : odeur de l'urine, de l'haleine, écoute de la qualité tonale de la voix du patient 4- Palpation : des pouls, des points d'acupuncture... Ces quatre temps permettent au thérapeute d'observer les symptômes du patient, d'en faire

d’« échos qui de loin se confondent ». La correspondance, ou « l’unité », reste essentiellement « mystérieu[se] ». La deuxième tentative emploie implicitement l’expérience des synesthésies comme dans le poème « Correspondances ». Vue, toucher et olfaction se combinent pour accéder au-delà des apparences, pénétrer dans « Les miroirs profonds ». L’odorat est encore le sens le plus subtil pour se mouvoir dans ce monde des sensations. Les « senteurs de l’ambre » sont souveraines pour suggérer « La splendeur