Oligurie

acidobasique, ainsi que la glycémie, et si nécessaire, de corriger ces paramètres. En cas de taux trop bas de sel dans le sang, l’administration d’une solution de glucose sans sodium peut aboutir à une chute brutale de la tension artérielle et à une oligurie. Il est recommandé de ne pas administrer du sang total par la même ligne veineuse car il y a risque de pseudo-agglutination. Il est également recommandé de ne pas administrer les solutions si elles ne sont pas limpides ou si elles contiennent des

solliciter la famille - Surveillance de la diurèse Bio : - créat - urée Clinique : - pli cutané - contenu de la bouteille - urines DEC (interstitiel) DIC (plasmatique) Déficit en eau et Na Pli cutané, hypotension orthostatique, oligurie Concentration des urines Tachycardie Biologiquement : Ö hématocrite, Ö protidémie, Ö urée, Öcréatinine, Ö rapport VIP osmol, Ø natriurèse Déficit en eau Soif, perte de poids, sécheresse des muqueuses, fièvre ++, tble

général, une fièvre à 38° = un pouls à 100, une fièvre à 40° = un pouls à 140 Valeurs physiologiques Nouveau-né: 130-150 Adulte: 70-80 3.Signes urinaires Il y a souvent une diminution de la diurèse due à la déshydratation, se traduisant par une oligurie et une concentration urinaire.4.Signes respiratoires Lors d'une infection, le système nerveux autonome entraine une augmentation de la fréquence respiratoire (polypnée), qui favorise la déperdition de chaleur. 5.Signes digestifs Il y a toujours

garder les urines. Prévoir Bocal (étiquette - 2,5 l), urinal bassin. Mesure le matin après première miction (toujours à la même heure). Si poche : vider régulièrement, noter, additionner. Noter et comparer (entrées et sorties ) Oligurie : diminution du volume urinaire quotidien. Anurie : disparition de la diurèse. Polyurie : augmentation du volume urinaire quotidien. Pollakiurie : besoin fréquent d’uriner avec diurèse normale. Dysurie : difficulté à uriner. Cystite : douleurs

* …Ou pas ! * Tachycardie +++ * Signes d’hypoperfusion d’organe -Cutanée * Augmentation TRC * Marbrure (inconstant, selon mécanisme) -Respiratoire * Polypnée superficielle : augmentation FR * Dyspnée -Rénale * Oligurie <0,3 à 0,5 ml/kg/h -Neurologique * Obnubilation, confusion, agitation, coma… * Signes d’hypoxie : * Lactates * Chutes sv0xygène Les différents chocs : * Chocs hypovolémiques * Chocs obstructifs * Chocs cardiogéniques

répondu à la conclusion, sur la base des fiches de mesure et Stéphane Sébastien , a fait valoir que : D'abord sur la machine : il est impossible , en l'absence d' indications à-dire avant 02h00 Que Sebastian était positif , 2 Si Stephen avait oligurie oligurie 3 heures , 1 heure de Sebastian était en avance, 3 dans le corps : Stéphane était de 37 ° Que Que de 9-6 heures, tandis que Sebastian était déjà tombée à 34 ° 3 dans la même équipe , de sorte que le temps réel de la mort Sebastian apparaît devant

enzymes hépatiques (TGO, TGP, LDH, CPK), bilirubine sérique, TP prolongé (Un syndrome hémorragique), hypoglycémie profonde difficilement réversible Atteinte rénale: insuffisance rénale bénigne lésion rénale avec élévation de la créatinine, hématurie, oligurie (ou anurie). L’évolution est courte, rapidement fatale, dépassant rarement 24 heures après l’apparition des signes neurologiques, exceptionnellement 48 heures.   DIAGNOSTIC Diagnostic biologique: • • • Glycémie Réserve alcaline

SEMIOLOGIE DIGESTIVESEMIOLOGIE DIGESTIVE Douleurs abdominales aiguesSERVICE DE GASTRO-ENTEROLOGIE Hôpital Hassan II , Agadir 2020-20211Présenté par SAYOUTI Abdou-LatifMédecin externe2Vaste sujet………….3PLANIntroductionDéfinition-EpidémiologieDiagnostic positif Anamnèse Examen cliniqueExamen complémentaireQuelques douleurs abdominales typiques et leurs caractéristiques sémiologiquesEtiologies des douleurs abdominale aigues selon le siège Prise en charge thérapeutiqueConclusion44Latif

infection (hyperthermie), douleur ex : calcule dans la vésicule biliaire. Digestif = douleur abdominal, vomissement, trouble du transit, météorisme (ventre gonflé), syndrome infectieux (péritonite ?), NFS, CRP, procalcitonine (diagnostic différentiel), oligurie ( si elle va plus faire pipi) Atrophie ou hypotrophie : diminution du volume de l’organe qui entraine l’incapacité de l’organe à assurer son rôle. Cytolise : destruction naturelle ou pathologique des cellules. Necrose : mort définitive d’une cellule

réaction de l’artère au produit injecté risque d’entrainer une ischémie ou une nécrose du membre. 6) Le patient présente les signes d’un état de choc : choc hémorragique (Extrémités froides et cyanosés, marbrures cutanées au niveau des genoux, oligurie, pupilles réactives) Actions IDE / - Surveillance paramètres/ scope le patient, monitorer la pression artérielle et mesurer la diurèse - Vérifier le cathéter artériel est fonctionnel (permet le suivi permanent de la pression artérielle. La surveillance