Ombre

vivant Et de baiser sur cette bouche la naissance  De la voix qui m'est chère? J'ai tant rêvé de toi que mes bras habitués  En étreignant ton ombre A se croiser sur ma poitrine ne se plieraient pas Au contour de ton corps, peut-être. Et que, devant l'apparence réelle de ce qui me hante Et me gouverne depuis des jours et des années, Je deviendrais une ombre sans doute. O balances sentimentales. J'ai tant rêvé de toi qu'il n'est plus temps Sans doute que je m'éveille. Je dors debout, le corps

l’image de l’alcool qui coule en elle. Cet avachissement physique est caractéristique de l’anéantissement mental. En effet, c’est une des premières fois qu’elle se voit, et c’est à travers son ombre qu’elle se perçoit comme un être avachit, énorme, un monstre carnavalesque, un guignol. La description de son ombre révèle un excès des formes qui appuie justement sa difformité. « L’ombre faisait la culbute à chaque pas », cette phrase montre que la chute n’est plus seulement physiologique mais physique

énigmatique. En effet, cette femme traverse le poème en se réincarnant successivement. Tout d’abord, elle est décrite comme « La voyageuse » v.1 puis « la marraine de Dieu » v.5 , « jeune femme » v. 9 , « ambassadrice du salpêtre » v.10 , « dame sans ombre » v. 13 « belle inconnue » v. 17 et « cette femme » v. 23. Implicitement, elle incarne également la figure du « grillon » v. 27 : en effet, on retrouve cette ce grillon dans le conte de Pinocchio de Carlo Lorenzini, ce grillon incarne dans le conte

{draw:custom-shape} Le Colonel Chabert (1832) sujet rapide presentation extrait : premier portrait (genre descriptif) problematique : comment rendre réaliste le portrait d'un fantôme ? PLAN : I) portrait d'une ombre {text:list-item} L'introduction : 1 paragraphe I)Portrait d'une ombre ID : en quoi ce portrait est-il surnaturel ? un sujet d'étonnement: point de vue de Derville « stupéfait » « étonnement » le choc « demeure » « pendant un moment » vision partielle « entrevoyant

vivant Et de baiser sur cette bouche la naissance De la voix qui m'est chère? J'ai tant rêvé de toi que mes bras habitués En étreignant ton ombre A se croiser sur ma poitrine ne se plieraient pas Au contour de ton corps, peut-être. Et que, devant l'apparence réelle de ce qui me hante Et me gouverne depuis des jours et des années, Je deviendrais une ombre sans doute. O balances sentimentales. J'ai tant rêvé de toi qu'il n'est plus temps Sans doute que je m'éveille. Je dors debout, le corps

illustre la sagesse. Allégorie de la vérité – femme qui sort d’un puits (présence féminine) II- Ombre comme symbole de la mort et de l’obscurité « Le tournant » - l’ombre suggère une présence inquiétante dans le dessin. III- Renversement de l’image de l’ombre Remise en cause de la tradition : l’ombre comme symbole de vie et de protection et la lumière destructrice. « L’arbre-rose » - ombre protectrice : image d’un paradis terrestre dans lequel l’ombre devient le principe du locus amoenus

parlent, mais c’est tout bas ; Ils marchent, mais c’est pas à pas ; Ils volent, mais on n’entend pas Battre leurs ailes. Parmi tout ce peuple charmant, Qui se meut si nonchalamment, Qui fait sous son balancement Plier les branches, Quelle est cette ombre aux blonds cheveux, Au regard timide, aux yeux bleus, Qui ne mêle pas à leurs jeux Ses ailes blanches ? Elle arrive, et, fantôme ailé, Elle n’a pas encor volé ; L’effroi dont son cœur est troublé, J’en vois la cause : N’est-ce pas celui que ressent

qu'un bâton (=gnomon en grec), planté verticalement dans le sol, ne faisait aucune ombre sur le sol. Vue prise du fond du puits de l'ancienne Syène, ville située autrefois à côté de l'actuelle Abu Simbel, en Egypte. Eratosthène y aurait entreprit son étude de la circonférence de la terre. Il eut la présence d'esprit d’aller vérifier si, autour de midi, le 21juin, à Alexandrie, un bâton vertical jetait une ombre. L'expérience fut positive. Il se posa alors la question suivante: comment se fait-il

maudites et pour finir de la mort. D’ailleurs Phèdre sait que l’univers qui l’entoure est habité de forces agissant pour son propre malheur. Cette présence divine est matérialisée par des images d’ombre et de lumière, lumière du jour et du soleil, ombre des palais, des forêts et des domaines infernaux, ténèbres et embrasement qui se disputent l’esprit de la créature dans une lutte qui la dépasse. Un personnage passionné La passion que Phèdre éprouve pour Hippolyte domine toute sa vie, modifie sa

vivant et de baiser sur cette bouche la naissance de la voix qui m'est chère? J'ai tant rêvé de toi que mes bras habitués en étreignant ton ombre à se croiser sur ma poitrine ne se plieraient pas au contour de ton corps, peut-être. Et que, devant l'apparence réelle de ce qui me hante et me gouverne depuis des jours et des années, je deviendrais une ombre sans doute. O balances sentimentales. J'ai tant rêvé de toi qu'il n'est plus temps sans doute que je m'éveille. Je dors debout, le corps