Ombre

2- Guillaume Apollinaire, Calligrammes, 1918, « Ombre » Ombre Vous voilà de nouveau près de moi Souvenirs de mes compagnons morts à la guerre L’olive du temps Souvenirs qui n’en faites plus qu’un Comme cent fourrures ne font qu’un manteau Comme ces milliers de blessures ne font qu’un article de journal Apparence impalpable et sombre qui avez pris La forme changeante de mon ombre Un Indien à l’affût pendant l’éternité Ombre vous rampez près de moi Mais vous ne m’entendez plus

avec Benjamin, Benjamin est tendre et affectueux et il est la neuve de Geronimo, Le Professeur Hier O’Glyph est un souris qui fait le tour du monde a la recherche de papyrus mystérieux, Ombre, Ombre est le mystérieux cousine de Sally Rasaussen (directrice de la gazette du rat et ennemie numéro un de Geronimo) Ombre est un rongeuse ravissant mais sans scrupule : elle est prête a tout pour s'enrichir spécialiste en déguisement elle connait tous les trucs pour passe inaperçu. Geronimo l`a connue a l`occasion

vivant et de baiser sur cette bouche la naissance de la voix qui m'est chère? _J'ai tant rêvé de toi que mes bras habitués en étreignant ton ombre à se croiser sur ma poitrine ne se plieraient pas au contour de ton corps, peut-être. _Et que, devant l'apparence réelle de ce qui me hante et me gouverne depuis des jours et des années, je deviendrais une ombre sans doute. _O balances sentimentales. _J'ai tant rêvé de toi qu'il n'est plus temps sans doute que je m'éveille. Je dors debout, le corps

| |lieu ou ils sont situés|v18 « une lampe »,v19 « frêle | | | | |très proches les unes |tissu », « flamme »,v20 « ombre de femme », | | | | |des autres. |v23 « beaux bras nus »v23 « cheveux », v26 | | | | |

Comment réagiriez-vous si cet étrange personnage vient vous proposer une bourse d'or infinie ? Il demande votre ombre en contrepartie. Peter Schlemihl a accepté et dans un an l'homme en gris viendra le retrouver pour un nouveau marché. L'étrange histoire de Peter Schlemihl est un récit fantastique classique du romantisme allemand du XIXème siècle où il est traité de vendre son âme (ombre) au diable contre une récompense qui, au lieu d'aider à l'intégration dans la société, ostracise celui qui a cédé

vivant Et de baiser sur cette bouche la naissance De la voix qui m'est chère? J'ai tant rêvé de toi que mes bras habitués En étreignant ton ombre A se croiser sur ma poitrine ne se plieraient pas Au contour de ton corps, peut-être. Et que, devant l'apparence réelle de ce qui me hante Et me gouverne depuis des jours et des années, Je deviendrais une ombre sans doute. O balances sentimentales. J'ai tant rêvé de toi qu'il n'est plus temps Sans doute que je m'éveille. Je dors debout, le corps

la mort. On peut ainsi lire au vers 2 l’euphémisme « Feuille morte » qui peut traduire l’arrivée de l automne, un cycle que s’achève, la fin de la vie, la mort d un homme. Au vers 6, «  Son ombre tombe dans le vide », « L ombre » qui est l’extinction d’une âme humaine qui devient ombre. Ce soldat meurt. Au vers 12, « Le monde s affaisse dans un trou » qui sous- entend la mise en bière d’une personne. Le mot trou renvoie l’image de la tombe, de l’enterrement d une personne

vivant et de baiser sur cette bouche la naissance de la voix qui m'est chère ?   J'ai tant rêvé de toi que mes bras habitués, en étreignant ton ombre, à se croiser sur ma poitrine ne se plieraient pas au contour de ton corps, peut-être.   Et que, devant l'apparence réelle de ce qui me hante et me gouverne depuis des jours et des années, je deviendrais une ombre sans doute.   Ô balances sentimentales.   J'ai tant rêvé de toi qu'il n'est plus temps sans doute que je m'éveille. Je dors debout, le corps

Fiche de lectureTitre : Entre deux mondesAuteur : Olivier NorekEdition : Michel LafonAnnée de parution : 2017Genre littéraire : thriller, roman noir, énigmeRésumé :Première partie « Fuir »Damas, Syrie. Un résistant au gouvernement de Bashar el-Assad est torturé. Adam en tant qu’agent infiltré au gouvernement ne se fait pas dénoncer par son allié torturé. Il discute avec Nora, sa femme ce qu’il se passe au travail et l’urgence de fuir le pays s’il se fait démasquer. Nora et Maya font leurs valises

force de rêver d’elle, [elle perd] sa réalité, devient une ombre, un fantôme. Desnos vit tellement dans ce désir impossible qu’il n’est plus apte au réel : j’ai tant rêvé de toi que mes bras habitués, en étreignant ton ombre, à se croiser sur ma poitrine, ne se plierait pas aux contours de ton corps, peut-être. On a l’impression que le poète envisage la mort pour retrouver celle qu’il aime. En effet, lui aussi souhaite devenir une ombre, un fantôme et ces termes connotent l’au-delà. Ainsi la