On Dit Volontiers Hegel

Peut-on tout pardonner? « Vous l’avez appris, il a été dit : Œil pour œil, dent pour dent. Mais moi je vous dis de ne pas résister au méchant. Si quelqu’un te frappe sur la joue droite, présente-lui l’autre aussi. […] Vous l’avez appris, il a été dit : Tu aimeras ton prochain et tu pourras haïr ton ennemi. Mais moi je vous dis : Aimez vos ennemis, faîtes du bien à ceux qui vous haïssent, priez pour ceux qui vous maltraitent et vous persécutent. Vous serez ainsi les fils de votre Père du ciel,

s’avère beaucoup plus difficile. ( problème central : Or, pourquoi semble t-il si difficile de définir l’art ? ● explicitation du problème : -1- En fait, nous nous trouvons bien souvent face à une sorte de cercle vicieux. Par exemple, on dit que l’œuvre d’art incarne la volonté esthétique d’un artiste, lequel est créateur d’une œuvre d’art. Or, il est difficile de saisir le sens de ces termes puisqu’ils se définissent les uns en fonction des autres (en effet, l’artiste est défini à partir

de nombreuses corrections de détail, mais je n'ai pu faire disparaître le désordre. Je ne veux pas me défendre en invoquant l'exemple de grands écrivains qui ont été blâmés pour ne pas avoir su composer ; Arthur Chuquet, parlant de J.-J. Rousseau, dit : « Il manque à ses écrits l'ensemble, l'ordonnance, cette liaison des parties qui constitue le tout [1]. » Les défauts des hommes illustres ne sauraient justifier les fautes des hommes obscurs, et j'estime qu'il vaut mieux expliquer franchement d'où

à la façon dont il se comporte. On parle beaucoup aujourd'hui du « mental » d'un sportif pour désigner les dispositions d'esprit qui jouent un rôle essentiel, pense-t-on, dans ses performances ou ses contre-performances. Le champion qui déçoit dit volontiers que « c'est dans sa tête que cela ne va pas » et à ses yeux, curieusement, c'est une sorte d'excuse. C'est la raison pour laquelle, sans doute, on a substitué le mot « mental » à celui de « moral », que l'on employait autrefois dans les mêmes

donc à reprendre. Reprenons donc. L’objet de la poétique, disais-je à peu près, n'est pas le texte, considéré dans sa singularité (ceci est plutôt l'affaire de la critique), mais l’architexte, ou si l'on préfère l'architextualité du texte-(comme on dit, et c'est un peu la même chose, « la littérarité de la littérature»), c'est-à-dire l'ensemble des catégories générales, ou transcendantes - types de discours, modes d'énonciation, genres littéraires, etc. - dont relève chaque texte singulier. Je dirais

Ce qui devient également décisif dans la littérature, c’est l’expression, le langage. Une œuvre est évaluée selon son mode d’expression. Il n’y a plus de hiérarchie des genres liée aux objets représentés. On remarque chez Balzac une citation qui dit, dans Madame Bovary, « Yvetot vaut Constantinople », ce qui signifie que le romancier peut être un grand artiste sur un objet médiocre. Le grand art ne se définit pas par l’objet mais par la forme. Rancière remarque aussi le passage du primat de la

souffrance est trop forte, comment est-il possible de laisser place, dans le champ de la conscience, à la réalisation de ce que nous sommes? L'étymologie du mot, tripalium, rappelle la torture subie. Dans les sociétés antiques, le travail manuel est volontiers laissé à l'esclave qui n'a ni le statut de citoyen, ni parfois même le statut d'homme. Comment peut on associer dès lors ce qui prive du statut d'humain et la saisie de la conscience de soi qui constitue le propre de l'individu qui réalise qui il

battant et systématiquement basées sur l'énumération ou l'opposition. Langage 19 où l'on voit qu'Alain savait être « classique » quand il le désirait. — Et puis : « Le paradoxe humain, c'est que tout est dit et que rien n'est » compris » (I-438), bien plus fort que ne serait : « Tout est dit et rien n'est compris, c'est le paradoxe humain », où l'on supprimerait les deux que, — ou encore : « II n'y a qu'une méthode pour inventer, qui est d'imiter » (M-545), phrase qui accroche bien plus que

sa nature. Le rôle du philosophe est donc de déterminer différentes tâches : d’abord de déterminer la source du savoir humain (i.e. pourquoi l’homme peut-il savoir tout ce qu’il sait), l’étendue de l’usage possible et utile de tout savoir, autrement dit, que peut-on connaître avec certitude ? et enfin les limites de la raison humaine ou, que peut-on ne pas savoir ? PHILOSOPHIE II : LA CONSCIENCE : INTRODUCTION : « avoir conscience de… » = savoir ; « Perdre/ reprendre conscience » = perception

 4  2. Scène 3, tableau V : la confrontation idéologique entre Hugo et Hoederer .............................................................. 7        INTRODUCTION    En quoi ce genre théâtral est‐il un bon outil pour parler de politique? Sartre dit bien que sa pièce n’est pas  politique, mais qu’elle est sur la politique. Saint Just comme épigraphe : « Nul ne gouverne innocemment ».    Les Mains sales est une pièce d’actualité : à la date où elle est jouée, elle pose quelques unes des questions