On Peut Naître Vieux Comme On Peut Mourir Jeune

Joachim DU BELLAY   (1522-1560) Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage, Ou comme cestuy-là qui conquit la toison, Et puis est retourné, plein d'usage et raison, Vivre entre ses parents le reste de son âge ! Quand reverrai-je, hélas, de mon petit village Fumer la cheminée, et en quelle saison Reverrai-je le clos de ma pauvre maison, Qui m'est une province, et beaucoup davantage ? Plus me plaît le séjour qu'ont bâti mes aïeux

enfance et nos beaux jours flétris » Ce poème, intitulé « Où est donc le bonheur ? disais-je » fut écrit le 28 mai 1930 par Victor Hugo, célèbre auteur français né le 26 février 1802 à Besançon et mort le 23 mai 1885 à Paris. Il est considéré comme l’un des plus grands écrivains romantiques de la langue française, il nous le prouve avec ses différents statuts ; poète, romancier et dramaturge. Travailleur acharné, il a écrit les bonheurs et les malheurs de la vie avec puissance et simplicité.

semblent dénués d'humanité, Robinson reste, tandis que Vendredi s'en va. Subsistera l'espoir et une nouvelle série de bonheurs pour Robinson avec la venue d'un petit mousse, qu'il initiera à la vie sauvage. → Le Chef d’œuvre inconnu, Balzac, 1831 : Le jeune peintre Nicolas Poussin arrive à Paris en 1612. En quête d’un maître, il s’adresse à François Porbus et rencontre ainsi, par hasard, un peintre de génie mystérieux : Frenhofer. Celui-ci parfait avec une facilité déconcertante la toile de Porbus et

(recueil/triptyque) ); Editeur: Garnier-Flammarion ); Date de publication: 1988 ); Première édition: 1877 III. PREMIER CONTE: Un Coeur Simple A/ Résumé et description des personnages Félicité, une servante parfaite pour sa maîtresse, une jeune femme bonne mais peu expansive de la petite bourgeoisie de Pont-l'évèque (un bourg du sud de Honfleur) et est "[enviée] à Mme Aubain pendant un demi-siècle", bien qu'elle soit un peu simplette. Elle est totalement dévouée à celle-ci mais surtout aux

meurt ou s’endort ! LE PAPILLON   Naître avec le printemps, mourir avec les roses, Sur l’aile du zéphyr nager dans un ciel pur ; Balancé sur le sein des fleurs à peine écloses, S’enivrer de parfums, de lumière et d’azur ; Secouant, jeune encor, la poudre de ses ailes, S’envoler comme un souffle aux voûtes éternelles ; Voilà du papillon le destin enchanté :

SPANGENBERGER Arthur , HypokhâgneEXPLICATION LITTERAIRE « L’ARGENT » De « Nos vieux maitres… » à « ce temps-là. »Appréciation : INTRODUCTION -L’extrait soumis à notre étude est tiré de l’essai et pamphlétaire en deux parties écrit par Charles Péguy dont le titres est L’Argent. Cet essai fut originairement publié dans les Cahiers de la quinzaine en février 1913, avant que d’autres éditions entièrement

A cette heure de l'après-midi, le village était plongé dans la mort. Luciano Mascalzone déambula dans les rues étroites du vieux village endormi. La vieille bête s'arrêta net devant la maison des Biscotti et ne bougea plus. L'homme sauta à terre avec une étrange souplesse et frappa à la porte. Une femme d'une quarantaine d'années était devant lui. Elle l'observait comme on fixe le destin dans les yeux. Elle lui appartenait déjà. Puisque après quinze ans il était revenu et avait frappé à sa porte

idée d’objectif à atteindre en ajoutant « qu’il lui sera plus facile de mourir quand il aura terminé cette histoire». Toujours en guise d’introduction, il prend garde également à avertir le lecteur : « mon histoire n’est pas agréable à lire. […]Elle a un goût de non-sens, de folie, de confusion et de rêve, comme la vie de tout homme qui ne veut plus se mentir. » L’histoire d’Émile Sinclair, éminemment rétrospective, peut alors débuter. Le protagoniste commence par nous introduire dans les

d'une des plus anciennes formes littéraires. Elle a d'abord été un recours a l'expression d'une histoire des hommes ou des dieux au Moyen Age mais elle a beaucoup évoluée avec les époques; elle a connu de multiples mouvements et courants littéraires comme le baroque, la préciosité ou le symbolisme. Cette anthologie comprend 30 poèmes, classés par siècles, tous biens différents. J’ai choisi trois poèmes dans le XVème siècle, le siècle de la Renaissance. Tout d’abord, j’ai choisi celui de Charles d’Orléans

me donnais les airs d’être un fabuliste, il me demanda si j’aurais la complaisance de lui dire quelques uns de mes apologues.Je ne me fis pas presser, j’avais déjà de la confiance en lui. Je choisis promptement celles de mes fables que je regardais comme les meilleures ; je m’efforçai de les réciter de mon mieux, de les parer de tout le prestige du débit, de les jouer en les disant ; et je cherchai dans les yeux de mon juge à deviner s’il était satisfait. Il m’écoutait avec bienveillance, souriait