Onction des malades

car il y avait un grand dîner de têtes et chacun s'était fait celle qu'il voulait. L'un une tête de pipe en terre, l'autre une tête d'amiral anglais, il y en avait avec des têtes de boule puante, des têtes de Galliffet, des têtes d'animaux malades de la tête, des têtes d'Auguste Comte, des têtes de Rouget de Lisle, des têtes de Sainte Thérèse, des têtes de fromage de tête, des têtes de pied, des têtes de monseigneur et des têtes de crémier. Quelques-uns, pour faire rire le monde, portaient

l'association au trône ou le sacre anticipé. Cette cérémonie du sacre est marquée par une étape appelée L'ONCTION : celui qui va sacrer le roi va prendre une huile sainte (le saint chrême) et faire un signe de croix sur le front du roi. En recevant cette onction, on reconnaît que le roi est le représentant de Dieu sur Terre. Une fois qu'il est sacré, il va augmenter son pouvoir sur l'église. Le devoir de protection doit aussi s'appliquer aux membres de l'église, puisqu'il a certain droit sur l'église, il

Abdeslam et de Lalla Zoubida, c’est un enfant unique et atypique. C’est également, un Fassi d’origine montagnarde. Souffrant de sa solitude, il aime beaucoup sa boite à Merveilles, contenant des objets mêlés. Il a un penchant pour le rêve. Il est souvent malade. Lalla Zoubida : La mère du narrateur. Elle a un teint d’ivoire, une bouche généreuse et un nez court Enhardi et flattée par ses origines, elle prétend être la descendante du prophète, et prend des airs de supériorité sur ses voisines. Elle croit

retirée, et il circulait dans la maison. Quand il descendait l’escalier, il appuyait sur les marches la courbe de son bec, levait la patte droite, puis la gauche ; et elle avait peur qu’une telle gymnastique ne lui causât des étourdissements. Il devint malade, ne pouvait plus parler ni manger. C’était sous sa langue une épaisseur, comme en ont les poules quelquefois. Elle le guérit, en arrachant cette pellicule avec ses ongles. M. Paul un jour, eut l’imprudence de lui souffler aux narines la fumée d’un

retirée, et il circulait par la maison. Quand il descendait l'escalier, il appuyait sur les marches la courbe de son bec, levait la patte droite, puis la gauche ; et elle avait peur qu'une telle gymnastique ne lui causât des étourdissements. Il devint malade, ne pouvait plus parler ni manger. C'était sous sa langue une épaisseur, comme en ont les poules quelquefois. Elle le guérit en arrachant cette pellicule avec ses63 ongles. M. Paul, un jour, eut l'imprudence de lui souffler aux narines la fumée d'un

retirée, et il circulait dans la maison. Quand il descendait l'escalier, il appuyait sur les marches la courbe de son bec, levait la patte droite, puis la gauche ; et elle avait peur qu'une telle gymnastique ne lui causât des étourdissements. Il devint malade, ne pouvait plus parler ni manger. C'était sous sa langue une épaisseur, comme en ont les poules quelquefois. Elle le guérit, en arrachant cette pellicule avec ses ongles. M. Paul un jour, eut l'imprudence de lui souffler aux narines la fumée d'un

et il circulait dans la maison. Quand il descendait l'escalier, il appuyait sur les marches la courbe de son bec, levait la patte droite, puis la gauche ; et elle avait peur qu'une telle gymnastique ne lui causât des étourdissements. Il devint malade, ne pouvait plus parler ni manger. C'était sous sa langue une épaisseur, comme en ont les poules quelquefois. Elle le guérit, en arrachant cette pellicule avec ses ongles. M. Paul un jour, eut l'imprudence de lui souffler aux narines la fumée d'un

et il circulait par la maison. Quand il descendait l'escalier, il appuyait sur les marches la 61 courbe de son bec, levait la patte droite, puis la gauche ; et elle avait peur qu'une telle gymnastique ne lui causât des étourdissements. Il devint malade, ne pouvait plus parler ni manger. C'était sous sa langue une épaisseur, comme en ont les poules quelquefois. Elle le guérit en arrachant cette pellicule avec ses ongles. M. Paul, un jour, eut l'imprudence de lui souffler aux narines la fumée d'un

est Childéric est destitué et envoyé dans un monastère. Lors de cette cérémonie, sont présent tous les grands personnages du royaume. C'est son baptême. Au cours d'une cérémonie religieuse, le roi reçoit des évêques, il reçoit une onction d'huile sainte. Cette onction symbolise l'origine divine du pouvoir. En 754,le roi a souhaité que ses deux fils : Charles et Carloman soit sacrés en même temps que lui, ce qui est fait. Ce sacre des fils sera une manière de rétablir assez vite l'hérédité. Pépin

 Ce capitulaire est prit avec l'accord des grands, il est destiné à régler la situation  d'un royaume en l'absence du roi. Le texte prévoit qu'en cas du décès d'un Conte son fils lui  succéderait provisoirement.  Or après son triomphe à Rome, Charles le Chauve tombe malade et son fils Louis le Bègue lui  succède. Les dispositions du capitulaire devaient devenir définitive en 880, et les Contes furent expressément  autorisé à désigner un parent comme successeur. C'est donc le gouvernement des compté qui  échappe complètement au roi