Onde sur une corde vibrante

creva le l'ombre. La ciel. Une bousculade clarté s'épandit par gerbes, par torrents, bouchant tous les trous, débor- dant ses à travers les taillis, du sol scintilla dans un La lumière, se haussant cimes, gagna les vergers, les fermes, ondées magnifiques. Le ensoleillement par-dessus les éclaboussant Tespace de ras de rosées. couvrit d'une blondeur vermeille une large étendue de pays. Maintenant, bruits des nids. la rumeur s'augmentait de tous Un frémissement les ailé battait

qui s'accrochait encore à sa peau après le bain. Elle entendait vaguement, de très loin, la musique s'échappant du salon de sa mère. Quand elle souleva le panneau de la fenêtre et écarta l'écran de la moustiquaire, elle souriait. Jeune et agile, vibrante d'une joyeuse anticipation, elle lança ses jambes par-dessus le rebord et chercha du pied un point d'appui dans le treillage sous la glycine. L'air était épais comme du sirop, et elle emplit ses poumons de son chaud parfum sucré en descendant. Une

l'analyseur. Cette condition de déviation du sens de vibration de la lumière est remplie si le matériel observé possède une structure anisotrope. En effet, dans un corps anisotrope, la lumière polarisée qui y pénètre est modifiée en deux composantes vibrant à angle droit l'une par rapport à l'autre. De plus, l'anisotropie est responsable du fait que ces rayons traversent la structure avec des vitesses différentes. On dit que cette structure possède deux indices de réfraction ou encore qu'elle est biréfringente

murmurant: «Ah! fichtre!... Ah! fichtre!...» La jeune fille; dans la chaleur de serre qui tombait des vitres, venait de rejeter le drap; et, anéantie sous l’accablement des nuits sans sommeil, elle dormait, baignée de lumière, si inconsciente, que pas une onde ne passait sur sa nudité pure. Pendant la fièvre d’insomnie, les boutons des épaulettes de sa chemise avaient dû se détacher, toute la manche gauche glissait, découvrant la gorge. C’était une chair dorée, d’une finesse de soie, le printemps de la chair

tressaillaient plus, avait jeté, dans un mouvement d’impatience irraisonnée, un zut énergique qui s’adressait autant à la veuve indifférente qu’aux bêtes insaisissables. Maintenant, il regardait le poisson capturé, son poisson, avec une joie vibrante d’avare ; puis il leva les yeux vers le ciel, remarqua que le soleil baissait : « Eh bien ! les enfants, dit-il, si nous revenions un peu ? » Tous deux tirèrent leurs fils, les roulèrent, accrochèrent dans les bouchons de liège les hameçons nettoyés

lignes ne tressaillaient plus, avait jeté, dans un mouvement d’impatience irraisonnée, un zut énergique qui s’adressait autant à la veuve indifférente qu’aux bêtes insaisissables. Maintenant, il regardait le poisson capturé, son poisson, avec une joie vibrante d’avare ; puis il leva les yeux vers le ciel, remarqua que le soleil baissait : « Eh bien ! les enfants, dit-il, si nous revenions un peu ? » Tous deux tirèrent leurs fils, les roulèrent, accrochèrent dans les bouchons de liège les hameçons nettoyés

lignes ne tressaillaient plus, avait jeté, dans un mouvement d'impatience irraisonnée, un zut énergique qui s'adressait autant à la veuve indifférente qu'aux bêtes insaisissables. Maintenant, il regardait le poisson capturé, son poisson, avec une joie vibrante d'avare ; puis il leva les yeux vers le ciel, remarqua que le soleil baissait : Eh bien ! les enfants, dit-il, si nous revenions un peu ? Tous deux tirèrent leurs fils, les roulèrent, accrochèrent dans les bouchons de liège les hameçons nettoyés

lignes ne tressaillaient plus, avait jeté, dans un mouvement d’impatience irraisonnée, un zut énergique qui s’adressait autant à la veuve indifférente qu’aux bêtes insaisissables. Maintenant, il regardait le poisson capturé, son poisson, avec une joie vibrante d’avare ; puis il leva les yeux vers le ciel, remarqua que le soleil baissait : « Eh bien ! les enfants, dit-il, si nous revenions un peu ? » Tous deux tirèrent leurs fils, les roulèrent, accrochèrent dans les bouchons de liège les hameçons nettoyés

porte fermée qui m’attend Ŕ le cul-de-sac tant redouté Ŕ mais un trou noir ! Le puits de l’ascenseur. Abandonné, vide et condamné comme le reste du bâtiment. Autrefois ma cachette. À présent ma tombe. - 12 - Je continue de courir, tête baissée ; une onde de soulagement me gagne. Il existe une sortie. Pas pour survivre, mais peut-être pour vaincre. Non, non, non ! C’est moi qui parlais dans ma tête ! Je voulais sortir d’elle, m’extraire ; mais nous étions désormais indissociables. On courait, ensemble

imperceptiblement — mais il jeta un vrai coup d’œil. Elle regarda son reflet et vit la façon dont il se contracta encore plus. Même s’il n’émit aucun son, il pencha la tête en avant et la secoua lentement, le désespoir émanant par vagues de lui. Une onde triomphale parcourut Isa en comprenant ce qui se passait. Il mourait de désir pour elle. Il était incapable de lui résister. Elle prit encore plus son temps pour enfiler un minuscule slip — guère plus grand que le string qu’elle venait d’enlever —