Opalka

beaucoup ressentiront de la compassion pour cette artiste qui semble avoir beaucoup souffert. Ce qui me plait dans cette œuvre est qu’elle renferme de nombreux symboles qui caractérisent son mal-être. IV Œuvres liées, références, etc 1) L’artiste Roman Opalka(1931-2011) est un artiste franco-polonais qui commence son « œuvre unique » en 1965 lorsqu’il décide de peindre des nombres dans l’ordre croissant , en commencant par 1. 2) L’œuvre de 1 à l’infini Cette œuvre ne laisse tout d’abord pas penser que

considéré comme un miroir tendu à sa génération ou comme un répertoire désenchanté d'évènements récents de notre expérience collective ; il soulève, notamment, les problèmes de la relation entre vérité et simulation, entre prose et poésie. Roman Opałka (né le 27 août 1931, mort le 6 août 2011 à Rome) est un peintre franco-polonais. Depuis 1965, il peint des lignes de nombre en ordre croissant sur des toiles, « les détails », afin d'inscrire une trace d'un temps irréversible. Arrivé au nombre "1

aspect de relief au tableau (petits amas de peinture). > rappel du travail de Opalka Olivier Mérijon L’artiste a réalisé des séries de toiles blanches qui, dans une multitude de rythmes, de chemins, de lignes, de cassures, de reliefs, de courbes et d’obliques, captent, retiennent ou renvoient la lumière du blanc. Cy Twombly - sans titre - 1970 Himalaya - Gerhard Richter - 1968 Détail - Roman Opalka - 1972 - Le blanc et le noir Les deux non-couleurs opposées se rencontres

conceptuel » : il se préoccupe avant tout de la pensée de son œuvre, il consacre plus d’importance au fond de l’œuvre, à son sens,qu’ à sa forme, à son apparence. Exemples d’artistes conceptuels de cette période : Stanley Brown, Patrice Robin, Roman Opalka… III/ Contexte de réalisation de l’oeuvre | -Contexte historique: Ce monument a été construit un an après la chute du ‘’mur de Berlin’’, le pays est réunifié et la chute du mur entraine une fort prise de conscience des évènements passés.

vivant, donc j'étais encore vivant. Ce travail invite le visiteur à se situer sur l'échelle du temps, de mesurer sa propre existence, comme face à un mappe monde, "je vis là", dans cette partie du monde et avec On Kawara, dans cette partie du temps. Opalka, 1965-infini. Détail 1-35327, 196x135 cm / photo. "Statement d'Opalka, 1972. Ma proposition fondamentale, programme de toute ma vie, se traduit dans un processus de travail enregistrant une progression qui est à la fois un document sur le temps

dure . Roman Opalka Artiste : Roman Opalka est né le 27 août 1931, de parents polonais. Il est diplômé de l'Académie des Beaux-Arts de Varsovie et professeur d'Art à la Maison de la culture de Varsovie (1958-1960), ré-installé en France depuis 1977. Il meurt en vacance en Italie le 6 août 2011, à l'âge de 79 ans. Contexte ; En 1965, à Varsovie, Roman Opalka attend son épouse dans un café. Celle-ci tarde à arriver. Ce temps mort lui

l’ensemble des hommes. Son œuvre s’inscrit à la fois dans un désespoir face à la fuite du temps et dans la forte affirmation de la fonction de l’artiste, celle de lutter contre l’oubli et la mort. Classer Christian BOLTANSKI Sophie CALLE Roman OPALKA Processus On KAWARA inaugure la série des Date Painting le 4 janvier 1966. Chaque jour, il écrit à la peinture acrylique blanche sur une toile monochrome (bleue, grise, rouge ou verte) la date à laquelle il réalise ce tableau, dans la langue

Kokoschka / Georges Grosz / Emil Nolde / Egon Shiele / Chaïm Soutine/ Otto Dix. Troisième oeuvre C:\Users\geris\AppData\Local\Microsoft\Windows\Temporary Internet Files\Low\Content.IE5\YCXYCCHN\thumb-Roman-OPALKA--Autoportraits--1965[1].jpg Titre de l'oeuvre : autoportrait auteur: Roman Opalka années: ici de 1965 1986 cf1: http://www.paris-art.com/marche-art/amelie-von-wulffen/Von%20Wulffen-Am%C3%A9lie/4326.html cf2: http://lapremiereporte.canalblog.com/archives/2007/01/04/3592467.html cf3:

Iron -Peace and fascism Brochures de propagande pétainistes – Madagascar ; Djibouti Tract de propagande française : L’Alsace – 1914-1918 Tract de propagande anglo-américain (RAF) – Madagascar – 19391945 Brochures de propagande gaullistes Roman Opalka, série Détails, début 1965, travail encore en cour. (peinture et performance) art officiel sous Staline (Sculpture monumentale) Léonard de Vinci, Victoire de Stalingrad (œuvre commandée par François Mitterrand) (architecture) Gilles Barbier

du Lycée Chases, 1988, assemblage, 180 x 200 cm : la mémoire individuelle et collective, archivage, le portrait-monument ▪ Raphaël GOLDCHAIN, Autoportraits de la série « terre familiale », 1999-2001, 101,6 x 76,2 cm : généalogie ▪ Roman OPALKA, OPALKA, 1965/I-infini (détails n° 2662596 et n° 5466435), 30,5 x 24 cm : le portrait dans la durée ▪ Robert MAPPLETHORPE, Autoportrait, 1988 : vanité, autoportrait posthume. UNE TYPOLOGIE SOCIALE : TÉMOIGNAGE : ▪ Nan GOLDIN, Self Portrait in