Opposition Belle Et Bête

sentiment amour + 2 fois décliné → circularité du poème→ AMOUR mot-clé du poème - ponctuation expressive + interjections lyriques - sentiment : la haine (v.2) → antithèse par rapport au mot « aime » (paradoxe lyrique,redondance) → antagonisme (=opposition) beauté/laideur ou amour/haine ← alliance des contraires (hugolien) + mètre utilisé → vers pairs (10) et vers impairs (5, rares) + mélange vers courts/longs, pairs/impairs → écho dans la forme - Alliance de beau/laid - l'anaphore → justification

cour n’apparaît que peu de fois directement dans les œuvres, on constate qu’elle a une influence importante sur les personnages et sur le déroulement de l’histoire, nous nous demanderons donc quelle est l’importance de la cour dans l’œuvre ? I- Opposition entre la cour et la province : 1) Des environnements différents On sait que Sainte Colombe habite le long de la Bièvre, un affluent de la Seine, « Il vivait (…) dans une maison qui avait un jardin qui donnait sur la Bièvre. Le jardin était

de chat, de poule ou d’insecte. Les fables, présentes un peu plus loin, ont pour thème essentiel la bêtise humaine. En la regardant de plus prêt, on se rend compte que l’homme n’est qu’un animal raté puisque dans le mot « bêtise », il y a le mot « bête ». Donc quoi de mieux pour la fontaine que de dénoncer les défauts de notre société a travers de vrais visages ? Plus la peine de se cacher derrière des animaux, il s’est moqué de nous bien des fois derrière leur poils et leur griffes, nous le savons

Dans notre monde moderne occidental, la relation entre l’Homme et la nature est souvent décrite comme singulière et contradictoire. Cette relation duelle partagée entre exploitation destructrice et amour met en avant deux visions qui s’opposent, celle de l’Homme comme être supérieur et maître de la Nature ou au contraire celle de l’homme partie intégrante de la Nature et vivant en étroite symbiose avec elle, vision portée au siècle dernier par le mouvement romantique Apparu en France

pinceau à badigeon dans le ciel tendre d’une immense toile » (l.29). Le narrateur, qui est omniscient, nous fait part des pensées des personnages « [les gardiens] retenaient des mots d’esprits » (l.33), parfois avec leur propre vocabulaire « c’était bête de ne pas écrire les sujets sur les cadres » (l.9). Ainsi l’on a une impression de naturel, leurs idées sont retransmises de manière brute. Nous pouvons accéder au point de vue des personnages. Grâce à cela, on s’aperçoit du contraste entre le musée

pauvres. Art poétique : « je ne vous ai pas demandé de penser ; je vous ai dit de regarder ». Annonce ensuite une révolution sociale. Chante le printemps. Chant final en faveur du peuple ! Les procédés d'écriture : Anaphore « En ceux qui » et opposition des classes sociales entre le début et la fin de ce long poème. Rime inclusive « pieusement/copieusement ». Néologismes « tricolorent, andromaquent , majusculent » et refonte de la syntaxe. On attendrait un verbe après l'expression en anaphore

protecteurs. Et décadence Le vent tourne, lorsque le roi décide d'afficher sa liaison avec une jeune femme, rencontrée lors d'un bal masqué en 1745 : Jeanne Poisson, future Marquise de Pompadour. En effet, celle-ci est fille de banquier, roturière, belle, intelligente, et se pique de se mêler de politique. Des pamphlets, dessins et rumeurs obscènes, entachent le règne de cette favorite « éclairée », (elle apportera son soutien à l'entreprise encyclopédique), qui finira le jour de sa mort, le 15 avril

décor. Les Nabis proclamment le retour à l'art religieux, à la mystique, à la légende, à l'allégorie et au rêve. Il est évident que le manifeste du Néo-traditionnisme, prônant une définition de l'art qui se devrait être idéiste, naquît d'une opposition et d'une certaine frustration vis à vis de son époque. Le manifeste en question est une réponse au matérialisme croissant provoqué par la révolution industrielle, et à l'art naturaliste reflétant cette évolution sans la remettre en cause

choses que sur les idées qu’on en peut avoir, ou par la simple impulsion de la nature »4. Plus personne, aujourd’hui, ne se contentera d’une simple cabane, d’une espérance de vie de 40 ans, de la seule sécurité alimentaire : tout le monde veut une belle maison, être en pleine santé à 70 ans, une nourriture savoureuse, etc. L’intelligence déplace notre horizon en même temps qu’elle nous fait avancer ; elle nous empêche de savourer simplement le présent et les plaisirs simples qui suffisaient amplement

Maupassant grand auteur du XIXème siècle, dénonce dans ses romans comme beaucoup d'auteurs réalistes, la misère du peuple (en opposition au mouvement romantique). Ainsi dans Bel-ami, publié en 1885, Maupassant décrit dans le chapitre III les conditions de vie de Duroy le personnage principal qui vit en plein coeur de la misère parisienne. C'est pourquoi l'auteur alterne la description du cadre de vie du personnage et son portrait. Nous pouvons nous demander quel est l'interêt de cette alternance