Opposition De La Foi Morale Et La Foi Servile

pensée révoltée et demanderont de comptes au dieu d’amour lui-même. Nietzsche tiendra Dieu pour mort dans l’âme de ses contemporains. Il s’attaquera alors, comme Stirner son prédécesseur, à l’illusion de Dieu qui s’attarde, sous les apparences de la morale, dans l’esprit de son siècle. Mais, jusqu’à eux, la pensée libertine, par exemple, s’est bornée à nier l’histoire du Christ (« ce plat roman », selon Sade) et à maintenir, dans ses négations mêmes, la tradition du dieu terrible. Tant que l’Occident

Empire : L’empire romain se divise en 2 grandes phases : le haut-empire qui dure jusqu’au 3e siècle (période du principat), et le Bas-Empire qui se perpétuera jusqu’en 476 en Occident, avec le dominat. * Principat : le princeps cumule une autorité morale, l’auctoritas, une autorité tribunienne, puisqu’il a lesa qualités permanentes (sans précision de temps ou de lieu) de tribun et dl’imperium proconsulaire. * Dominat : le pouvoir impérial devient une fonction sacrée. Devenu monarque absolu

Empire : L’empire romain se divise en 2 grandes phases : le haut-empire qui dure jusqu’au 3e siècle (période du principat), et le Bas-Empire qui se perpétuera jusqu’en 476 en Occident, avec le dominat. * Principat : le princeps cumule une autorité morale, l’auctoritas, une autorité tribunienne, puisqu’il a lesa qualités permanentes (sans précision de temps ou de lieu) de tribun et dl’imperium proconsulaire. * Dominat : le pouvoir impérial devient une fonction sacrée. Devenu monarque absolu

politique, presque totalement indépendante à l’égard du pouvoir central, impérial qui s’affaiblit. b.L’opposition tranchée des catégories sociales. Lorsqu'on étudie la structure d'une société ce qui est important c'est qu'il n'y est pas une opposition trop tranché des catégories sociales il faut donc une classe moyenne importante Rome avant d’être un empire fut une république, c’est au temps de celle-ci que Rome a bâti sa puissance. La force de la république était la constitution d’une classe

le bonheur, l'amour, le respect et la dignité. On voit que l'argent est devenu le centre d'intérêt parotut ou il y a des échanges donc le pouvoir de tout s'accaparer mais ce pouvoir est aussi une corruption de l'homme qui perd toutes ses valeurs morales. Dans les sociétés ou la valeur première est l'argent, on peut croire que tout peut être achetés, les objets comme les personnes. On achète tout aussi bien un terrain qu'un joueur de football, le silence d'un témoin, la conscience d'un homme politique

d’Europe occidentale, et le plus riche seigneur de son royaume : il bénéficie d’un important prestige à l’intérieur et à l’extérieur du royaume. • Louis IX dit Saint-Louis (1223-1270), rend la justice sous son chêne, il accroît le rayonnement moral de la monarchie. Ses successeurs auront aussi une forte personnalité. • Philippe IV le Bel (1285-1314), s’oppose à la papauté, au pape Boniface VIII. Ce conflit aboutit à la proclamation des libertés de l’Eglise de France mais aussi à l’autonomie

d’Europe occidentale, et le plus riche seigneur de son royaume : il bénéficie d’un important prestige à l’intérieur et à l’extérieur du royaume. o Louis IX dit Saint-Louis (1223-1270), rend la justice sous son chêne, il accroît le rayonnement moral de la monarchie. Ses successeurs auront aussi une forte personnalité. o Philippe IV le Bel (1285-1314), s’oppose à la papauté, au pape Boniface VIII. Ce conflit aboutit à la proclamation des libertés de l’Eglise de France mais aussi à l’autonomie

puissant d’Europe occidentale, et le plus riche seigneur de son royaume : il bénéficie d’un important prestige à l’intérieur et à l’extérieur du royaume. Louis IX dit Saint-Louis (1223-1270), rend la justice sous son chêne, il accroît le rayonnement moral de la monarchie. Ses successeurs auront aussi une forte personnalité. Philippe IV le Bel (1285-1314), s’oppose à la papauté, au pape Boniface VIII. Ce conflit aboutit à la proclamation des libertés de l’Eglise de France mais aussi à l’autonomie du

différents problèmes, selon des règles diverses avec plus ou moins le sens démocratique. III/ L’évolution du droit Il existe des rapports entre droit et morale, ce sont des rapports très étroits. On peut constater que la morale est en constante évolution. Si la morale évolue le droit doit donc s’adapter. Ces notions de justice, de morale sont différentes d’une société à une autre, d’une époque à une autre. Peut-on envisager un droit immuable ? Qui serait figé et n’évoluerait plus. Oui puisque

consensuels ne sont pas formels. Par conséquent, au lieu d’être assujetti à des conditions de forme ils ne sont soumis qu’à des conditions de validité. A l’exception du mutuum, les contrats réels et consensuels sont tous des contrats de bonne foi par opposition au contrat de droit strict. Ils ne sont plus régis par le vieux principe d’interprétation stricte. Ces nouveaux contrats sont soumis à un système d’interprétation plus libre qui permet au juge de rechercher l’intention au juge. Les contrats