Ordre militaire

DE FAÇON DÉSÉQUILIBRE. Vichy, enjeu de mémoire. 1995: Chirac reprend la thèse de l'appui volontaire de l' Etat Français à la mise en place de la solution finale dans un discours. Régime né de la défaite de Juin 1940 devant les nazis. Déroute militaire conjuguée avec la chute d'un régime républicain; l'histoire de Vichy s'inscrit dans la conjoncture courte de la débâcle qui a suscité le désespoir d'une nation et a permis la prise de pouvoir d'un clan politique hostile à la poursuite de la guerre

guerre, nous pourrions bien la perdre, et avec elle l’ensemble de notre crédibilité de « démocratie occidentale ». Qui parle de guerre dit les morts et les blessés, les estropiés et les victimes civiles, ici bien plus nombreuses que les victimes militaires. Il n’est pas de guerre sans victimes, en dépit de ce que l’on veut nous faire croire. Faire la guerre implique de tuer, souvent, et de mourir, parfois. On ne fait donc pas la guerre innocemment, et l’on ne la fait pas par hasard ; du moins ne le

perception de la France dans l'historiographie militaire brésilienne 15 2. Les Archives militaires brésiliennes 19 2.1. Arquívo histórico do Exército (AHEx) 20 2.2. Centro de documentação do Brasil contemporâneo (CPDOC) 26 2.3. Museu histórico do Exército (Musée historique de l'armée de terre) 28 3. Le modèle français : quelle place dans l'armée brésilienne ? 29 Chapitre 2 L'influence française dans la construction des modèles militaires brésiliens (1880-1906) 36 Introduction 37

et cavaliers vont vers l’est) et les couleurs chatoyantes. « La disposition des troupes est harmonieuse et simple, conviant le spectateur à imaginer la bonne organisation dont cet ordre témoigne. Faire la guerre serait en effet aussi simple que participer à une revue militaire. Les défilés et revues militaires encourageaient les naïfs à se porter volontaires. » Dans le texte de Rimbaud, on est loin de tout ça. Tout d’abord, parce qu’il n’y a pas de bataille et que l’Empereur est loin de faire

B : Oui, j'ai combattu à Kisangani et à Mbandaka? Avant que nous n'atteignions Kinshasa. Véronique : As-tu tué dans ta carrière militaire, si oui, combien de personnes ? B : Bien sûr que oui, j'ai tué. Mais je ne peux dire combien; des tas sûrement (rire). Je ne rate jamais mes cibles en général... Mais il faut dire que j'ai tué uniquement sous ordre de l'Armée. Véronique : Quel sentiment as-tu éprouvé en le faisant ? B : C'était soit tuer, soit me faire tuer. Véronique :

Rien n’est fait pour sauver les juifs du génocide. Les Etats-Unis refusent de bombarder les camps de la mort ou les voies ferrées qui y conduisent. La priorité est donnée aux opérations militaires. L’assassinat des juifs se poursuit jusqu'à la fin de la guerre. Si les opération d’extermination prennent fin sur ordre de Himmler en novembre 1944, les massacres continuent avec l’évacuation des camps lors des « marche de la mort ». Le bilan est terrible, certaines communautés juives, comme celle de Pologne

Opposition PICROCHOLE GRANDGOUSIER/GARGANTUA Organisation, tactiques militaires Les troupes picrocholines apparaissent comme totalement désorganisées. Lors du siège de la Roche Clermaud, Picrochole ne dirige pas son armée, ne prend aucune décision et l'abandonne à son sort : “ Ce pendent l'assault continuoit, les gens de Picrochole ne sçavoient si le meilleur estoit sortir hors et les recepvoir, ou bien guarder la ville sans bouger”. Son armée, sans réel chef, est marqué par la précipitation

mauvaises nouvelles. Le flotte japonais qui était supposer d’être le défense primaire d’ile était détruit dans le bataille des marianes. Kuribayashi, furieux avec le gouvernment pour ne pas lui informer commence a créer un nouveau plan de défense. Il ordre les soldats d’arreter avec le fortification des plages et commence a creuser les tunnels dans les caves. Les autres officiers, confuser, démande pourquoi, Kuribayashi répondre avec un commentaire sur le capacité industriel des États-Unis et que l’armée

armées allemandes, en envahissant la France, ne doivent pas s’arrêter à Paris, mais infléchir leur marche vers l’Est, refoulant les forces françaises vers la frontière, où doit les attendre l’Etau des armées allemandes postées plus au Sud. Les plans militaires français en prévision de la guerre sont loin d’être aussi ambitieux, mais ils présentent une qualité commune essentielle : la priorité faite à l’offensive. Durant toutes les années d’avant, qui suivent 1871, les stratèges français réfléchissent

renfort des fiancer américains et anglais retire à l'allemagne tout désir de victoire. Dans La Suite août, les forces allemandes refluer en bon ordre, mais avec de maladroit pertes, sur l'ensemble du façade franco-belge. En septembre, l'état-major allemand fait savoir à l'empereur que la offensive est perdue. Mais ni Guillaume II, ni les supérieur militaires ne veulent assumer la poste de la défaite. à décaniller de septembre, une séquelle d'offensives de l'entente sur les fronts d'orient et d'italie