Oreo

date. Résultat, l’exploitation l’emporte sur l’exploration : les produits relativement standardisés – de marque – transitent par des circuits établis. Comme l’a reconnu Ross Johnson, alors PDG de Nabisco, «un beau jour, un génie a inventé le biscuit Oreo, nous ne faisons que vivre de son héritage». Dans ces secteurs, le marketing est roi, épaulé par la finance, et le style managérial préféré des dirigeants ressemble plus à celui du cuistot d’un établissement de restauration rapide qu’à celui d’un chef

nor::bro do cons&i11ers :mmicipaux à {lire dans ln COITJUDe ~ale de Doyen exorcice de FOUBban. -Ordo~ùlce nO 59/67 du 27 NOVG3bre 1959 port~nt cr8ntion des cO~1unes rur~les ~oyen èo exercico dans ln r2G~on BnDoUD (J.O.C. 1959 p. 1668) 1960 :-Orèo~nce nO 60/19 du 22 Févrior 1960 re12tive ntlX pou- voirs de tutello exerc,]o sur lus CO!:JDunos du CaDeroun pc.r le Ministre de l'IntGrieur et ses dG10GQGS (J.O.C. nO 1402 du 5 Octobre 1960) -Ducrot nO 60/202 du 2 Novecbre 1960 d8t8rnL~~~t les pouvoirs

YoCrunch (Produits Laitiers Frais – États-Unis), leader du segment de yaourts avec toppings, garnitures sucrées ou croustillantes superposées que la société fabrique notamment au travers d’accords de licence avec des marques telles que M&Ms et Oreo. Cette acquisition permet à Danone (i) d’accélérer son ambition de développer la catégorie du yaourt aux États-Unis, en diversifiant notamment les modes de consommation du yaourt des Américains, et (ii) de bénéficier du savoir-faire unique de YoCrunch