Organisation Empire Romain Du 1er Au 3ème Siècle

visions s’opposent, ont été développées par de nombreux philosophes : 1ère vision développée par Postulat : l’homme est bon par nature, est enclin à l’amour, au partage, à l’abnégation. Cette vision est rapporté par Sénèque, philosophe stoïcien du 1er siècle de notre air, qui fut à la fois précepteur de Néron nous indique « homo homini res sacra » ce qui signifie que l’homme est une chose sacré pour l’homme. Sénèque prône la bonne conduite, l’absence de violence, la résilience, la capacité à pardonner/partager

d'une des leges Barbarorum (qui mettent par écrit les coutumes germaniques) source directe auteur: le Roi des Lombards Rotari ("à la chevelure rousse") contexte historique: les Lombards représentent la 3ème vague d'invasions, proprement dite. Puisqu'ils ne veulent pas "s'intégrer" aux Romains, ils veulent absolument sauvegarder leurs coutumes. Ils mettent donc par écrit (en latin mais termes germaniques subsistent)leur coutumes dans des Pactus (ou leges barbrorum). Ceux-ci garderont une très profonde

284 marque début du règne de Dioclétien durant lequel sont entreprit des réformes qui modifient le visage de l’empire romain. Ces réformes sont avt tout administratives : on découpe le territoire de l’empire en circonscriptions car celui-ci est immense et donc ingouvernable. En effet, la distance entraine la lenteur des ordres, c’est le 1er ennemi des vastes empires. On coupe donc l’empire romain en deux pour permettre de rapprocher les centres de pvrs des provinces. Une partie orientale et un occidentale :

l’antiquité, les juristes romains définissaient la justice comme l’art du bon et de l’équitable. Justice au sens institutionnel: c’est l’ensemble des institutions judiciaires dont la fonction est de rendre la justice par le respect du droit. La distinction entre droit privé/droit public existait déjà ainsi à l’Empire romain. Un historien romain du nom de Tite Live (-59/17) prétendait que « la loi des 12 tables était déjà la source de tout le droit privé et public ». De plus, les romains sont les inventeurs

où il y a une société, il y a un droit. » Cela soulève des questions : * Qu’est-ce que le droit ? * Peut-on le définir ? * Existe-t-il une ou plusieurs définitions du droit ? La plus connue : par un juriste romain « Ulpien » -> milieu du 3ème siècle : « le droit est l’art du bon et de l’équitable » : -> construction de l’esprit à partir d’un fait social, le droit n’est donc pas scientifique. Plus on avance dans le temps, plus on a de définition du droit. L’origine

période. D – Echanges et ouvertures : le rôle des façaces maritimes et des voies fluviales. Une mer méditéranée, une mer du nord, l'océan atlantique. Les 2 mers = facteur de civilisation, développement. En premier temps méditérannée, empire romain, mer de civilisation. Mer du nord aussi, peuples baltiques. 2 mer de civilisation (au nord mer du nord, sud méditérannée) La banane bleue s'étend entre ces 2 mers. Processus d'urbanisation. Arc atlantique : L'europe se structurerait en

Introduction : Les héritages européens des conceptions du pouvoir. Trois héritages fondamentaux ont influencé l’identité politique et les droits de l’Europe : L’héritage du droit romain La pensée chrétienne Conception germanique du pouvoir. I) La conception romaine du pouvoir : un pouvoir impersonnel. Les romains ont dégagés la notion d’état ce qu’ils appelaient la respublica. L’expression se traduit du latin par chose publique, c'est-à-dire la chose qui appartient à l’ensemble des citoyens

de la vie (La phusis (grec) : la nature, la physique de la vie en société). La rigueur des conclusions donnait bien l’impression que le droit était une science. L’expression «  un droit naturel » est issue de cette première conception. - 17ème siècle : cette idée est remise en cause. La réflexion scientifique se transforme : monde atteint par la « passion des mathématiques ». Les mathématiques deviennent d’utilisation générale : changement d’une réflexion qui se modèle différemment. Certains

la république romaine = elle a donc utilisé des outils du passé. En général le droit en tant que sciences n’aime pas beaucoup les révolutions, les changements soudains et abrupts. Le but du droit est toujours de régler les relations humaines de façon stable, durable et prévisible. Le droit est opposé aux révolutions. Le système juridique actuel est fondé dans le droit ancien. En ce qui concerne le droit public : antiquité grecque / droit privé : droit romain. On doit aux romains la naissance de

société. Chacune de ces définitions révèle ensuite les préoccupations des juristes au fil du temps, il conviendra donc d'en un premier temps d'examiner ces définitions. D'un point de vue chronologique, cet examen s'étendra de Rome jusqu'au 20ème siècle. A partir de ces définitions on envisagera ensuite les finalités du droit tant d'en une perspective historique que contemporaine. Section 1 : Les définitions du droit Depuis l'antiquité grecque et latine, jusqu'à aujourd'hui, les définitions