Organisme divers d'administration centrale

organes de contrôle (conseils d’administration, conseils de surveillance) et les dirigeants souhaitent, en effet, conforter leurs réflexions par l’intervention d’une analyse indépendante, objective et faible. L’audit stratégique est appelé à répondre à ce type de demande, à condition de préciser : - Qu’il ne s’agit pas d’un « audit de direction »; celui-ci est en effet circonscrit aux activités de l’audit interne. Aujourd’hui, que sous la forme de synthèses de divers audits opérationnels ou de

(HERSTATT (1974), BARINGS (1995), YAMAICHI SECURITIES (1996)) et l’effondrement du système financier mondial a davantage montré les lacunes dans la procédure de Gestion des risques de crédit. C’est pour cette raison que les gouverneurs des banques centrales des pays du G 10 ont décidé de mettre sur pied les normes pouvant régir la gestion des risques d’où la naissance du comité de Bâle en 1974. Dans notre contexte, le Cameroun, nous avons assisté à la fermeture de nombreux EMF tels que

FCFA. Suite à de nombreuses modifications (augmentation ou numéraire) du capital les années suivantes, il est porté à l000.000.000 FCFA, puis à 1.180.000.000 FCFA respectivement le11mai 1990 et le 22 mars 1995. Le 22 Février 1996, le conseil d’administration (CA) décide de porter le capital à 1.578.000.000 FCFA. Ensuite, le 30 Juin 2003, le capital est porté par incorporation de réserve à 2.500.000.000. Devenu ORABANK le 10 Octobre 2011 il dispose actuellement d’un capital de 15.135.740.000

2 Partenaires du CIAS - Le CDG (Centre De Gestion) des Landes qui s’occupe des fonctions public et territoriale, de la gestion du personnel et des collectivités locales (l’embauche d’une personne est directement signalée à cet organisme) mais aussi il s’occupe de la prévention des risques du travail. - Le Conseil général. Il décide du coût des services du CIAS pour chaque bénéficiaire. - L’ALPI (Agence Landaise Pour l’Informatique) qui installe tout les logiciels

Tableau 21:Serveur Proxy 78 Tableau 22:Application Gestion Financière 80 Tableau 23:Switch Central d'accès / Distribution 82 Tableau 24:Routeur Voix IP 84 Tableau 25:Firewall Frontal en HD de la gamme Huwaei 86 Tableau 26:Salle serveurs 88 Tableau 27:Serveur Base de données DBSB 91 Tableau 28:Serveur Proxy (Authentification d'accès Internet) 92 Tableau 29:Application Gestion Financière 93 Tableau 30:Switch Central d'accès / Distribution 95 Tableau 31:Routeur Voix IP 96 Tableau 32:Firewall Frontal en

Diagnostic général INTRODUCTION I- Les Carences de l’Administration 1) 2) L’absence d’une vision commune et partagée d’un programme De réforme administrative La concentration excessive des services, des pouvoirs de décision et des moyens au niveau central de la faiblesse des moyens et du Rendement au niveau des services extérieurs La multiplication excessive des structures administratives Situation de l’Administration dans le monde rural La problématique de l’éthique dans l’administration La problématique

qui nous permettrons de mettre en évidence l’efficacité économique et la justice sociale liée cette politique. Enfin dans un dernier temps nous présenterons une vision critique du système fiscal français, à travers plusieurs exemples appuyés par divers théories. I. LES BASES DE LA FISCALITE La politique fiscale relève d’un choix de société. Que ce soit du choix de l’assiette, du taux et des modalités de recouvrement des impositions de toutes natures, l’Etat, au travers du parlement

L'Unité de Traitement du Renseignement Financier Conformément aux recommandations du GAFI, la loi relative à la lutte contre le blanchiment de capitaux a prévu la création d'une Unité de traitement du renseignement financier qui constitue l'instrument central du dispositif de lutte contre le blanchiment de capitaux. a) Bref aperçu sur l'Unité Selon la loi 43-5 cette unité est rattachée à la primature. Elle est chargée principalement : * de recueillir et de traiter les renseignements liés au blanchiment

et réalisations du Groupe AL OMRANE pour lesquelles œuvrent l’ensemble des employés qui demeurent mobilisés pour être à la hauteur des défis et motivés par leur confiance en l’avenir. A. Aperçu historique : Après 30 années d'expérience, les Organismes Publics d'Habitat (O.P.H) révèlent des dysfonctionnements au niveau de l'accomplissement de la mission qui leur est assignée par les Pouvoirs Publics : Absence de synergies et chevauchement des missions ; Structures de gestion et charges

chérifien interprofessionnel des céréales (O.C.I.C), il a pour mission : D’œuvrer par le biais des organismes coopératifs, de prêt et de vulgarisation à inciter les agriculteurs à produire d’avantage de meilleure qualité. D’organiser l’importation ou l’exportation des céréales en relation avec les commerçants agricoles et les organismes coopératifs. De doter le pays en moyens de stockage. Cet organisme est placé sous la tutelle du ministère de l’agriculture et de la réforme agraire pour sa gestion