Orgasme

dans la société moderne En 1948, le biologiste américain Alfred Kinsey publie les résultats d'une enquête sur l'activité sexuelle des hommes américains. Il choque plusieurs personnes en révélant les statistiques : 37 p. 100 des hommes ont eu un orgasme homosexuel au moins une fois, et les homosexuels exclusifs composent une minorité aussi importante en nombre que les Noirs américains. Les récentes études qui tentent de reproduire celle de Kinsey suggèrent un nombre plus bas, mais aussi longtemps

avec « son poitrail large, ses reins allongés et puissants », affiche la virilité de Jacques, qui l’aime en « mâle reconnaissant ». Le récit du crime déclenche en lui la hantise d’une défloration sanglante où le couteau phallique exorcise dans un orgasme démesuré le sentiment de son impuissance : « Le couteau entrait dans la gorge d’un choc sourd, le corps avait trois longues secousses, la vie s’en allait en un flot de sang tiède, un flot rouge qu’il croyait sentir lui couler sur les mains. Vingt

draps soyeux pour que l’ivresse de la chair exulte.  Il y en avait qui résistaient ; j’adorais les conquérir comme des contrées rebelles. Lorsqu’elles cédaient, terrassées à mes pieds, je prenais conscience de l’étendue de ma souveraineté et mon orgasme supplantait le nirvana. […] » De part cet extrait, on peut se rendre compte de la condition de la femme pour les extrémistes musulmans. Malgré le fait qu’ils les vénèrent et les trouvent précieuses, elles restent néanmoins le sexe faible, la soumission

problématique d’estime personnelle, car les consommateurs de pornographie ce comparent à ces corps. De plus, les acteurs dans la pornographie sont toujours dans un état de plaisir excessif. Les hommes éjaculent à profusion alors que les femmes vivent des orgasmes à n’en plus finir. Cela crée de fausses attentes au consommateur qui se met à penser que ses relations sexuelles devraient lui procurer un aussi grand plaisir que celle jouée par les acteurs. Aussi, la pornographie impacte les représentations de

être déclenché par un événement traumatisant (deuil, licenciement, diagnostic de maladie grave, divorce, choc émotionnel, etc…). Les symptômes principaux en sont : * Plaisir et joie extrêmes dans toutes les activités, un peu à la façon d’un orgasme sexuel sans fin * Nombre impressionnant d’activités simultanées * Peu de sommeil et pas de fatigue * Dépenses hors de proportion, sexualité débridée, investissements irréfléchis, largesses inconsidérées, etc… * Réflexions ininterrompues

qu’elle touchait – se tendait de plaisir. Elle entra peu à peu dans une sorte de paradis, la sensation redoubla, elle nota qu’elle ne voyait ni n’entendait plus très bien, tout semblait teinté de doré, puis elle gémit de plaisir et eut son premier orgasme. Orgasme ! Jouissance ! Ge fut comme si, après être montée jusqu’au ciel, elle redescendait en parachute, lentement, vers la terre. Son corps était trempé de sueur, mais elle se sentait entière, épanouie, pleine de vitalité. Alors, c’était cela, le sexe

péché véniel, amoureux de toutes celles qu'ils n'ont pas encore eues, et qui finiront seuls. Tout ce temps, tous ces visages, tous ces cris de jouissance, ces étreintes sans âme au petit matin, quand la nuit n'est plus, le jour n'est pas encore, ton orgasme prend fin, et tes yeux se dessillent, ta chambre n'est qu'un bordel ; Baudelaire est mort et, dans tes bras, il n'y a qu'une putain..." "Désillusionnée avant l'âge, je dégueule sur la facticité des sentiments. Ce qu'on nomme l'amour n'est que

Connotation assez érotique, vision de fantasme. Cela rejoint le « en rêve » b) mais « autre lit »: donc il s'agit ici d'une incitation à découcher. → à passer à l'adultère c) allusion peut-être au « 7ème ciel » → induit le désir d'avoir (enfin) un orgasme 13: « compter de nouvelles étoiles »: aller chercher du changement dans les bras d'un autre homme. → Brassens indique que Pénéloppe s'ennuie aussi bien toute seule à attendre son mari, que lorsque celui-ci revient et lui fait mal l'amour. Donc elle

l'Unification qui a eu lieu après les années 2000, et l'histoire se déroule une centaine d'années après l'Unification, on a donc la confirmation que le récit se passe dans le futur. « Après tout, la vie en l'an 2000 après J.-C. n'était peut-être qu'un orgasme sans fin, où chacun choisissait la classification qui lui convenait le mieux, aidait ses frères, et nageait jusqu'aux oreilles dans l'amour, la santé et tout ce qui est nécessaire à la vie. Et alors? Tu n'en vivras pas moins en 162 A.U., avec un

l'hypoacousie et l'étirement musculaire maximal. Ces phénomènes paroxystiques isolent le sujet du monde extérieur en une sorte de brève perte de conscience particulièrement « agréable ». C'est cette charge hédonique qui a conduit certains à qualifier de mini orgasme cette phase intermédiaire du bâillement, et les relations unissant érection et bâillement, mises en évidence par l'expérimentation animale, apportent à cette interprétation un appui objectif. 3 - La phase expiratoire