Orgasme

sexe, on dit LE sexe d'UNE FEMME, ou même LE clitoris. Par définition, LE plaisir est donc pour les hommes. Car si les préliminaires sont rapides c'est qu'ils ne font qu'UN préliminaire. Plus que ça c'est UNE perte de temps. Après avoir obtenu UN orgasme, les hommes se retournent pour trouver LE sommeil pendant que les femmes vivent UNE frustration. D'ailleurs, dès que c'est sérieux, comme par hasard, c 'est tout de suite au MASCULIN : on dit UNE rivière, UNE p'tite rivière, mais UN fleuve ou UN

qui remplissent une fonction initiatique ? L'initiation sexuelle ne saurait être considérée aujourd'hui, dans nos sociétés, comme un rite de passage à l' âge adulte. Il en est de même, en général, pour le premier "véritable" amour, le premier "orgasme satisfaisant", la première maladie vénérienne... Ils peuvent constituer des étapes importantes dans l'existence de nombreux individus, mais ils ne marquent pas automatiquement l'entrée dans une autre vie comportant, à la fois, plus de droits et plus

cachée ? Si on repense à la lecture érotique et au mythe de Daphné, cette référence au midi cacherait peut-être un orgasme. Dans le mythe Apollon réussit finalement à attraper Daphné, mais au moment où celle-ci est transformée en laurier, il ne l'étreint donc qu' « un peu » puisqu'à la place de son corps se trouvent des rameaux. Néanmoins Ovide précise que ce moment entraîne un orgasme involontaire chez le dieu. Alors « il était midi » n'aurait qu'un sens symbolique, l'expression désignant l'érection

et la prostituée. Le jockey sur le cheval mime un amour bestial : il est animé d'un " élan de furieuse audace, de volonté triomphante ". Les images de l'animalité sont récurrentes dans le roman et il ne faut guère s'étonner d'assister ici à un orgasme généralisé. L'" enthousiasme fou " et les " rires nerveux " des hommes marquent leur bestialité : ils ne sont plus que " petites figures détraquées ", " bras tordus " et " bouche ouverte ". L'" agitation [qui] remuait les tribunes " est la répétition

et portrait louangeur. 181 : piano avec la supérieure qui va dégénérer mais Thérèse arrive. 182 : Suzanne veut la raisonner (on peut partager) ; digression sur les méfaits du cloître. 183 : les cadeaux de la supérieure, nouvelle leçon… 184-5 : orgasme qui effraie l’innocente Suzanne, 187 : impossible de jouer au piano ; dialogue avec Thérèse désespérée. 188 : dans sa cellule, Suzanne réfléchit naïvement à la « maladie » de la supérieure. Le lendemain après l'office, elle raconte sa vie à la supérieure

parties : 1) L'attirance, la rencontre, la séduction, les sorties : comment faire des rencontres, savoir si on lui plait, ce que l’on doit faire ou non, de quoi doit-on parler... 2) Sexuellement parlant : Conseils, indications (préliminaires, orgasmes…) 3) "Je suis lesbienne et j'assume !". Acceptations, en parler ou non ? A quelles réactions s’attendre ?

qu’elle touchait – se tendait de plaisir. Elle entra peu à peu dans une sorte de paradis, la sensation redoubla, elle nota qu’elle ne voyait ni n’entendait plus très bien, tout semblait teinté de doré, puis elle gémit de plaisir et eut son premier orgasme. Orgasme ! Jouissance ! Ge fut comme si, après être montée jusqu’au ciel, elle redescendait en parachute, lentement, vers la terre. Son corps était trempé de sueur, mais elle se sentait entière, épanouie, pleine de vitalité. Alors, c’était cela, le sexe

gamme de prothèses organiques et “d’organes de confort” greffables à domicile et ce afin d’améliorer ses performances. Les produits en question vont des “vers de jouvence” (cure animale comblant les rides), aux testicules hallucinogènes (assurant un “orgasme sur-puissant”) et aux “glandes à idées” (rallonges de mémoire utiles pour les personnes souffrant d’ alzheimer). Le slogan de la firme: “Une chair chic, des corps nouveaux, une vie meilleure”. L’institut Benway organise également des conférences sur

et la prostituée. Le jockey sur le cheval mime un amour bestial : il est animé d'un " élan de furieuse audace, de volonté triomphante ". Les images de l'animalité sont récurrentes dans le roman et il ne faut guère s'étonner d'assister ici à un orgasme généralisé. L'" enthousiasme fou " et les " rires nerveux " des hommes marquent leur bestialité : ils ne sont plus que " petites figures détraquées ", " bras tordus " et " bouche ouverte ". L'" agitation [qui] remuait les tribunes " est la répétition

et Auguste Rodin. A peine Nijinski a-t-il fini sa représentation que le scandale éclate. Le public est choqué par le caractère inédit et trop érotique de la danse, dans la scène finale le corps musclé couvert de taches brunes mime ouvertement un orgasme. Habitué aux sauts prodigieux du danseur, il ne conçoit pas qu’il ne bondisse pas. Pour sa première chorégraphie, Vaslav Nijinski a préféré la retenue au divertissement spectaculaire. Une rupture radicale avec l’académisme qui sera saluée, mais bien