Orgie

portrait du mari, 50 à 63----> attitude de Charles. Le récit alterne rêve et réalité dans un mouvement de contraste dans les portraits d'Emma et Charles pour finalement nous montrer la déception du personnage féminin. Dans le premier paragraphe = orgie de clichés lyriques se rapportant au thème du romantisme, tous les sens sont en éveil. On sent le cynisme de Flaubert pour le romantisme. La prise de parole dans l'extrait est l'alternation entre le style directe et le style indirecte car le narrateur

déambulation, mais aussi aventure intérieure, quête éperdue de la profusion et mouvement de dissolution subjective dans la multiplicité des possibles : « Ce que les hommes nomment amour est bien petit, bien restreint et bien faible, comparé à cette ineffable orgie, à cette sainte prostitution de l’âme qui se donne tout entière, poésie et charité, à l’imprévu qui se montre, à l’inconnu qui passe » (Baudelaire, « Les foules »). Aussi l’ancrage urbain est-il loin de se réduire à une rupture thématique : il ne s’agit

odeur de futailles, Suivis de compagnons, blanchis dans les batailles, Dont la moustache pend comme les vieux drapeaux. Les bannières, les fleurs et les arcs triomphaux Se dressent devant eux, solennelle magie ! Et dans l’étourdissante et lumineuse orgie Des clairons, du soleil, des cris et du tambour, Ils apportent la gloire au peuple ivre d’amour ! C’est ainsi qu’à travers l’Humanité frivole Le vin roule de l’or, éblouissant Pactole ; Par le gosier de l’homme il chante ses exploits Et règne par ses

thé, si prodigues de délices, ne sont encore que deux médicaments ? A Paris même, dans cette capitale de la pensée, ne se rencontre-t-il pas des sybarites incomplets ? Inhabiles à supporter l'excès du plaisir, ne s'en vont-ils pas fatigués après une orgie, comme le sont ces bons bourgeois qui, après avoir entendu quelque nouvel opéra de Rossini, condamnent la musique ? Ne renoncent-ils pas à cette vie, comme un homme sobre ne veut plus manger de pâtés de Ruffec, parce que le premier lui a donné une

qu'il avait de venir. "Qu'est-ce que la ruée vers l'?" Nelissen a demandé quand elle a continué vive allure. «Apportez-moi à bord de la station. Je vais vous dire tout est dans la voiture. " Fern Bijnens elle hier avait une étrange histoire d'un orgie de sexe dans lequel elle et un certain nombre de call-girls, y compris Anja Verdonk avait participé. Au carnaval qui a eu lieu dans une maison chic, sauf quelques Flamands également eu une présence japonaise. Il a été assez difficile d'aller autour

thé, si prodigues de délices, ne sont encore que deux médicaments ? A Paris même, dans cette capitale de la pensée, ne se rencontre-t-il pas des sybarites incomplets ? Inhabiles à supporter l'excès du plaisir, ne s'en vont-ils pas fatigués après une orgie, comme le sont ces bons bourgeois qui, après avoir entendu quelque nouvel opéra de Rossini, condamnent la musique ? Ne renoncent-ils pas à cette vie, comme un homme sobre ne veut plus manger de pâtés de Ruffec, parce que le premier lui a donné une

et je trouvais à cette forfanterie un plaisir bizarre, mêlé de tristesse. Lorsque j'avais réellement fait ce que je racontais, je ne sentais que de I'ennui ; mais, lorsque j'inventais quelque folie, comme une histoire de débauche ou le récit d'une orgie à laquelle je n'avais pas assisté, il me semblait que j'avais le coeur plus satisfait, je ne sais pourquoi.» (page 98). Comme Lorenzaccio encore, s’il est corrompu par la débauche, il en est victime et ne cesse de s’en accuser encore et encore, et

thé, si prodigues de délices, ne sont encore que deux médicaments ? A Paris même, dans cette capitale de la pensée, ne se rencontre−t−il pas des sybarites incomplets ? Inhabiles à supporter l'excès du plaisir, ne s'en vont−ils pas fatigués après une orgie, comme le sont ces bons bourgeois qui, après avoir entendu quelque nouvel opéra de Rossini, condamnent la musique ? Ne renoncent−ils pas à cette vie, comme un homme sobre ne veut plus manger de pâtés de Ruffec, parce que le premier lui a donné une

odeur de futailles, Suivis de compagnons, blanchis dans les batailles, Dont la moustache pend comme les vieux drapeaux. Les bannières, les fleurs et les arcs triomphaux Se dressent devant eux, solennelle magie ! Et dans l’étourdissante et lumineuse orgie Des clairons, du soleil, des cris et du tambour, Ils apportent la gloire au peuple ivre d’amour ! C’est ainsi qu’à travers l’Humanité frivole Le vin roule de l’or, éblouissant Pactole ; Par le gosier de l’homme il chante ses exploits Et règne par ses

odeur de futailles, Suivis de compagnons blanchis dans les batailles, Dont la moustache pend comme les vieux drapeaux! Les bannières, les fleurs et les arcs triomphaux Se dressent devant eux, solennelle magie! Et dans l'étourdissante et lumineuse orgie Des clairons, du soleil, des cris et du tambour, Ils apportent la gloire au peuple ivre d'amour! C'est ainsi qu'à travers l'Humanité frivole Le vin roule de l'or, éblouissant Pactole; Par le gosier de l'homme il chante ses exploits Et règne par ses