Orgue de Barbarie

précède : – odeur des quinquets, glapissement des montreurs, mélancolie des orgues jouant des airs de carrefours d’automne, en haut les étoiles vierges et éternelles – Drôle de planète ! [9] Certes, les « montreurs » et orgues de barbarie annoncent les Complaintes, mais la confrontation avec la virginité des étoiles renvoie à une poésie « cosmique » antérieure. Ces lignes, dont les corrections et ajouts disent l’aspect littéraire (« gargots » a été enrichi après coup du rappel phonétique

réglisse. Attention à quelques exceptions • Trois noms sont masculins au singulier et deviennent féminins au pluriel : «amour», «délice» et «orgue». Entre eux, ce ne sont plus les grandes amours. Entendez-vous les grandes orgues de la cathédrale? Orgue ne devient féminin au pluriel que s’il désigne l’orgue monumental (les grandes orgues mais les petits orgues de barbarie) • «Gens» est un cas particulier : quand l’adjectif directement placé avant «gens» a une marque au féminin, alors tout le groupe nominal

EXEMPLE DE PLAN ET DE REDACTION D’UNE ANALYSE DE TEXTE Sujet : « L’orgue de Barbarie » tiré de Paroles de Jacques Prévert I PLAN DE L’ANALYSE I INTRODUCTION 1 .Présentation du texte 1.1 POEME TIRE DE PAROLES DE PREVERT 1.2 DANS LA MOUVANCE DU SURREALISME 1.1 « L’orgue de Barbarie » tiré du recueil Paroles de Jacques Prévert, publié en 1946 1.2 Contextualisation du texte analysé : Prévert, poète dans la mouvance du surréalisme mais n’appartenant à aucun mouvement particulier. Paroles

statut une partitions une toile une palette de couleurs. Au second plan on voit des squelettes qui jouent de la musique, notamment de la trompettes du violon et des instruments a percutions. Le peintre Felix Nussbaum est représenté derrière un orgue, mais il ne joue pas. Au dernier plan on aperçoit un ciel gris ou des cerfs-volants regarde la scène désastreuse. Il y règne une atmosphère poussiéreuse un mur en ruine et un arbre sans vie. On voit au loin derrière la carcasse de voiture un cavalier

Introduction : Un instrument à vent (ou aérophone) est un instrument de musique dont le son est produit grâce aux vibrations d'une colonne d'air provoquées par le souffle d'un instrumentiste (flûte, trompette… ), d'une soufflerie mécanique (orgue, accordéon) ou d'une poche d'air (cornemuse, veuze… ). Les instruments à vent peuvent être fabriqués avec toutes sortes de matières (du bois, du métal, du plastique, du plexiglas, du cristal, de l'ivoire ou de l'os), et certains utilisent des technologies

et ammenant à la révolution industrielle. source d'énergie qui permet d'activer des machines transforme le paysage mondiale et transfert du coups l'intégrité du système économique, en ce système capitaliste que nous connaissons aujourd'hui. orgue de barbarie, on comprend à quel point l'apparition du Métier à Tisser Jacquart à apporter à la musique. Les artisants ont développé le carton perforé. Ce sont des outils largements répendus à la fin du XIXe siècle. Au XIXe siècle, c'est l'électricité qui

armoire Des draps rouges dans un lit Un enfant dans sa mère Sa mère dans les douleurs Le père dans le couloir Le couloir dans la maison La maison dans la ville La ville dans la nuit La mort dans un cri Et l’enfant dans la vie. 152 – L’orgue de Barbarie Moi le joue du piano disait l'un moi le joue du violon disait l'autre moi de la harpe moi du banjo moi du violoncelle moi du biniou...moi de la flûte et moi de la crécelle Et les uns les autres parlaient parlaient parlaient de ce qu'ils

des atrocités et de faire hommage aux nombreux soldats qui se sont battus et ont succombé à l’horreur de cette seconde guerre mondiale. Britten, qui est un grand pacifiste, cherche à travers cette œuvre de dénoncer la protestation humaine contre la barbarie de la guerre à tout son publique. c) Le poète Wilfred Owen Wilfred Owen est un jeune poète qui a vécu de 1893 a 1918. Au départ, c’est un poète romantique, mais, il est rapidement traumatisé suite à son arrivé sur le front. Il est reconnu comme

et se mit à siffloter la Marseillaise10. Toutes les figures se rembrunirent11. Le chant populaire, assurément, ne plaisait point à ses voisins. Ils devinrent nerveux, agacés, et avaient l’air prêts à hurler comme des chiens qui entendent un orgue de barbarie. Il s’en aperçut, ne s’arrêta plus. Parfois même il fredonnait les paroles : Amour sacré de la patrie Conduis, soutiens, nos bras vengeurs, Liberté, liberté, chérie, Combats avec tes défenseurs !

n’amusent guère la bourgeoisie. Lorsque Cornudet se met à siffloter la Marseillaise, « Le chant populaire, assurément, ne plaisait point à ses voisins. Ils devinrent nerveux, agacés, et avaient l’air prêts à hurler comme des chiens qui entendent un orgue de barbarie » (p.80). (Arg2B) En outre, l'attitude par rapport à Boule de Suif est encore pire. (PR2B) « Le mépris des dames pour cette fille devenait féroce, comme une envie de la tuer ou de la jeter en bas de la voiture, dans la neige, elle, sa timbale