Origine Commune Etres Vivants

3.5 Parenté et diversité des organismes {draw:rect} La parenté des organismes résulte de la reproduction. La diversité repose sur une idée qui est celle de l'évolution: les êtres vivants se sont transformés au cours des temps géologiques. Voir fiche : Qu'est-ce que l'évolution ? {draw:rect} 3.5.1 - Le concept d'évolution affirme que les espèces se sont transformées au cours des temps géologiques voir fiche Qu'est-ce qu'une espèce ? {draw:rect} L'évolution ou transformisme s'oppose au fixisme

reproductrice constituant toute partie d'un être vivant (les virus n'en font pas partie). Chaque cellule est une entité vivante qui, dans le cas d'organismes multicellulaires, fonctionne de manière autonome, mais coordonnée avec les autres. Les cellules de même type sont réunies en tissus, eux-mêmes réunis en organes. La théorie cellulaire implique l'unité de tout le vivant : tous les êtres vivants sont composés de cellules dont la structure fondamentale est commune ainsi que l'homéostasie du milieu intérieur

PHYLOGENESE Parenté des êtres vivants actuels et fossiles. Caractéristiques communes à tous les êtres vivants : - structure universelle de l’A.D.N. - molécule énergétique universelle (A.T.P.) - expression de l’information génétique - structure cellulaire ⇒ Origine commune mais degré de parenté plus ou moins fort. On détermine ce degré par différentes données : Morphologiques : - structure interne similaire (→ organes homologues) - état primitif ≠ état dérivé - « Plus il y a de

bd TP La biodiversité correctionIntroduction : la biodiversité, résultat d’une longue évolution Définition : la biodiversité est l’ensemble des êtres vivants qui peuplent et ont peuplé la terre au cours des temps géologiques, depuis l’apparition de la vie il y a 3,8 GA. Elle se définit à 3 niveaux : Définitions : Et diversité des écosystèmes : les différents milieux naturels et la diversité des espèces qui les peuplent Diversité des espèces, abordée au collège, il s’agit du niveau

partir d’eaux primordiales, les lois divines gouvernant la vie, la lutte des hommes contre leur condition de serviteurs des dieux. Japon: La religion du Japon, le shintoïsme, compte de nombreux dieux qui peuvent être incarnés dans tous les êtres vivants. Tout ce qui est impressionnant (arbre, rocher, animal) peut être un kami, un dieu. La mythologie japonaise se concentre autour d’une poignée de déités majeures: Izanagi et Izanami, Amaterasu, Susano. Issus de l'Unité cosmique, les flux fondant

développement. 2. Soins dont le vivant à besoin pour échapper à la mort. 3. Ce par quoi la nature, parois, prend soin d’elle-même (innovation l’apprentissage et transmission) - Cultiver : 1. Accorder à des êtres vivants les soins nécessaires à leur naissance et à leur croissance. 2. Pouvoir infléchir le développement de ces êtres vivants et l’asservir à ses fins (ambivalence liée à la plasticité du développement des vivants) 3.2. Culture / Nature

intimement liées, n'en restent pas moins distinctes. D'une part, on peut entendre par vie un ensemble de phénomènes qui concourent à la croissance et à la conservation d'un être, acception qui s'incarne dans le participe présent du verbe "vivre" : le "vivant". D'autre part, on peut considérer que la vie résulte de cet ensemble de phénomènes, à savoir le temps qui s'écoule entre la naissance et la mort, et dans ce cas c'est le participe passé du verbe "vivre" qui nous intéresse : le "vécu". À cette première

douleur, le bonheur et le malheur », Charles Darwin. Dans cette citation, Charles Darwin explique que l’Homme et l’Animal ont quelques points communs, et que même s’ils leurs manque le langage, ils sont autant « humains » que les Hommes. Cette citation invite à réfléchir à la manière dont l’être humain se comporte avec les animaux. L'homme est l’être vivant appartenant

nations, haines religieuses ou raciales. Et pourtant ce réflexe est à la fois un non-sens biologique et une erreur fondamentale sur le plan culturel. Sur le plan biologique, trois notions en aideront la compréhension : • D’abord, chaque être vivant est différent ; il est même unique, tant il y a de variations possibles dans sa composition chimique.C’est le produit du mélange des caractères paternels et maternels, ceux-ci provenant eux-mêmes d’un mélange des caractères des quatre grands-parents

la conscience et à son origine. Il produit une thèse selon laquelle la conscience n’est ‘’qu’un réseau de relations d’homme à homme’’. Il explique tout au long du texte qu’il n’y a pas de conscience sans relation entre les hommes. L’Homme a pu développer cette conscience car sa vulnérabilité lui a donné le besoin de vivre en compagnie de ses semblables, et c’est le langage et la volonté de s’exprimer qui lui a permis de se démarquer de toutes les autres créatures vivantes. Le texte commence par