Orne

n'utilisait ni mortier ni ciment. Ils utilisaient des pierres de forme très compliquées qui s'emboitaient comme des pièces de puzzle qui donnaient à leur édifices une solidité remarquable. L'un des plus beaux édifices fut le Temple du soleil, il était orné d'or et de pierres précieuses, il a été détruit et pillé par les espagnols et remplacé actuellement par une Eglise.

la mort ( Ah Puch ) Ah Puch, également nommé Ah Cimi ou encore Ah Cizin, est, dans la religion, le dieu de la Mort et le roi de Metnal, le neuvième niveau du monde souterrain (Xibalba). Il est souvent dépeint comme un squelette ou comme un cadavre orné de cloches, avec parfois la tête d'un Hibou. (Et on peut en mettre d'autres, on mettra des représentations d'eux dans le diapo ) 5) Les sacrifices, qui étaient concernés et comment ça marche ? L'élite était obsédée par le sang le sien et celui

provençal (grazal) et se confond souvent avec le terme qui désigne la corbeille où lève la pâte (cratis), la coupe (crater) et même la pierre philosophale. Au début de la tradition littéraire, dans les romans de Chrétien de Troyes, le Graal est un objet orné de pierres précieuses qu'une jeune fille porte dans un cortège où figurent également des chandeliers, ainsi qu'une lance qui saigne et un tailloir.

communale un important essor et fit alors construire un palais communal qui avait pour but d’administrer au mieux la population grandissante. Rapidement, il devient le cœur séculier capable d’exprimer la fierté et l’identité de la ville. Il est de plus orné de plusieurs fresques qui ont toutes pour objective de glorifier Sienne, expriment les lois du peuple de Sienne qui contribuent à traduire un sens civique et de mettre en garde les dirigeants contre leur propre vanité. Parmi elles, celle d’Ambrogio

l’histoire était vraie, parce que l’homme qui la racontait était élégant. - Oui, oui, sait-on jamais ! Peut-être tomberai-je aussi du haut des escaliers et épouserai-je une princesse ! Il se réjouissait en songeant que le lendemain il serait de nouveau orné de lumières et de jouets, d’or et de fruits. Il resta immobile et songeur toute la nuit. Au matin, un valet et une femme de chambre entrèrent. - Voilà la fête qui recommence ! pensa l’arbre. Mais ils le traînèrent hors de la pièce, en haut des escaliers

Le panneau central, entre les anses représente une scène de funérailles: la prothésis, qui a lieu le 2ème jour après le décès. La morte, en tunique, repose sur un lit d'apparat (la kliné), couchée de côté, face découverte et couverte d'un linceul orné de damier, qui laisse le corps visible. Elle est entourée de ses proches et des pleureuses, assis, agenouillés ou debout autour de la couche. On peut voir une scène de déploration: les personnages se lamentent et portent les mains vers la tête pour

l’abondance et à la fertilité (représenté sur des arbres, dont la présence de la femme suffit à faire fleurir l’arbre). Représentation de la beauté féminine est un symbole qui porte chance. Corps idéal : forte poitrine, taille mince et larges hanches, et ornées de riches parures. Oiseau sorti de sa cache est allé se mettre sur l’épaule de la femme qui l’écoute posé sur un binôme d’hommes, adoration : Rappel les yaksis. Femme ivre retenu par un petit serviteur (courtisane) avec ses deux adorateurs : sujet

Habits rituelsLes habits des cousines et cousins sont des habits rustiques de paysans (blouse à capuche, ceinturon, et sabots). Ils portent un grand tablier de peau orné du ruban de la couleur de leur grade. Ils ne portent pas de gants. Le Cousin-Maître (ou Père-Maître) est le seul à porter un cordon orné de feuilles de chêne et de houx, ayant en sautoir une hache miniature. Les cousines et cousins doivent posséder une hachette véritable et deux morceaux de bois pour « battre la diane »

nuit est encore reine. Ici l’angoisse semble assiéger chaque bouffée d’air, et me voilà, ressassant avec effroi cette même pensée « Suis-je donc atteint de démence ? ». Absurde et insensé, mon monde s’avère bien être une aberration. Il est un mirage orné de concepts et de pensées où se jouent des drames sous une étonnante trivialité. Les yeux grands ouverts, je rêve. Oui je rêve de choses et d’autres qui n’existent plus, qui n’existent pas, qui n’existeront peut-être jamais, et je ne vois plus ce qui

celle du gérofle et de la cannelle. Les habitants de l’Eldorado leur montrèrent là où les jeunes était formés à la vie civile et adulte, l’équivalent du lycée dans le monde occidentale. De nombreux jeunes gens étaient massés devant un grand bâtiment orné d’or et surplombé d’un dôme en verre. Plusieurs statues étaient érigés devant l’école elle représenté des érudits avec les instruments qui leur servait dans leur matières ou spécialités. Une fois la grande portes d’entrée passé le bâtiment offrait