Óscar Domínguez

pleine de gadgets technologiques, tente à tout pris que son fils ne soit influencé par son oncle personnage rêveur et naïf. Il va ainsi essayer de lui confier un emploi dans son usine. Ce film marquera le succès de Tati en lui faisant remporte un oscar du meilleur film étranger en 1959 a los angles. Il est aussi un tournant dans la carrière de Tati. Mon Oncle est peut-être le film le plus triste de Tati tout en restant un comédie. Tati fidèle a lui même, montrera un perfectionniste dans la réalisation

espace de rêve, dominé par la douceur des spirales. A part la signature, aucun texte ne brouille l’image, comme si rien ne devait les perturber. 1938 : Il rencontre Jacqueline Abraham qu’il épousera en 1946. Dans la nuit du 27 au 28 août 1938, Oscar Dominguez lui crève accidentellement un œil au cours d’une bagarre. L’anodin signe alphabétique « D » se transforme en un curieux signe prémonitoire et magique. Toujours à la recherche de nouvelles techniques, il invente de nouveaux concepts, peinture

bidimensionnel propre à Miró ou de l'espace cosmique dans lequel s'affirmeront Matta, Onslow-Ford et Paalen. Il suffit de songer à la considérable diversité de solutions que, grâce à lui, se découvrirent les peintres surréalistes, d'Arp à Tanguy et de Domínguez à Hantaï, pour s'assurer qu'ici nul danger d'académisme ne menace, pour peu que le recours à l'automatisme soit conçu comme le ressort d'une quête de la vérité profonde de l'artiste. Aspects de l'automatisme surréaliste AUTOMATISME MÉCANIQUE Des

Ces chiffres font du cinéma espagnol la seconde cinématographie européenne de l'hexagone après les Britanniques. ANTONIO BANDERAS Réalisateur, Producteur, Acteur espagnol Né le 10 Août 1960 à Malaga (Espagne) de son vrai nom José Antonio Domínguez Bandera, aurait pu être un joueur de football professionnel si une blessure au pied ne l'avait écarté des terrains à 14 ans. Il se tourne vers l’école d’art dramatique de Malaga et intègre à 21 ans le théâtre national d’Espagne et en 1981 décroche

Eléa Dominguez-Serin Licence 3 Gestion – Groupe 5 Mercredi 15 Février 2012 COMMENTAIRE DE TEXTE Philippe Bourgois, « En quête de respect : le crack à New York », Seuil, 2001. Ce commentaire porte sur l’introduction de l’ouvrage de P. Bourgois « In Search of Respect. Selling Crack in El Barrio », initialement publié en 1995 à Cambridge University Press. Pour les besoins de son enquête, l’auteur a vécu trois ans et demi dans El Barrio, un quartier d’East Harlem qui abrite une importante communauté

Après un retour à Bucarest, en 1935, il revient à Paris en 1938 et partage l'appartement d'Yves Tanguy. Il rencontre Jacqueline Abraham qu'il épousera en 1946. Sept ans plus tard donc, dans la nuit du 27 au 28 août 1938, lors d’un chahut entre Oscar Dominguez et Esteban Francés, il est atteint en plein visage par un verre qui le prive définitivement de son œil gauche. Cette perte ne laisse pas uniquement des traces physiques chez l’artiste. Brauner se retire et traduit cette expérience vécue dans son

(L'Étrange K de Monsieur K). Il occupe, depuis 1945, un atelier au 2bis, rue Perrel, qui lui inspire la peinture du tableau La Rencontre du 2bis rue Perrel en souvenir du Douanier Rousseau. Dans la nuit du 27 au 28 août 1938, lors d’un chahut entre Oscar Dominguez et Esteban Francés, il est atteint en plein visage par un verre qui le prive définitivement de son œil gauche2. Jusqu'à la déclaration de guerre de septembre 1939, le peintre traverse une période dite des Chimères. Après la défaite de juin

Antoni, Diario privado de la guerra vasca, Barcelona, Plaza y Janes 1999. -CLARK, Robert P., The Basque insurgents, ETA : 1952-1980, Madison, University of Wisconsin press, 1984. -CHALVIDANT, Jean, ETA: l’enquête, Cheminements, 2003. -DOMINGUEZ IRIBARREN, Florencio, Dentro de ETA, la vida diaria de los terroristas, Madrid, Aguilary, 2002. -MORAN BLANCO, Sagrario, ETA entre España y Francia, Ed. Complutense, 1997. -PARRA, Rafael Gómez, GRAPO: Los hijos de Mao, Madrid, Editorial Fundamentos

sa femme Jacqueline Lamba et leur fille Aube arrivés depuis peu à Marseille[10]. Les dimanches après-midi, la villa reçoit d'autres artistes, surréalistes ou non : Arthur Adamov, Hans Bellmer, Victor Brauner, René Char, Frédéric Delanglade, Oscar Dominguez, Marcel Duchamp, Max Ernst, le photographe André Gomès, à qui l'on doit de nombreuses photos de cette période, Peggy Guggenheim, Jacques Hérold, le comédien Sylvain Itkine, Wifredo Lam, André Masson, Péret, Tristan Tzara, Remedios Varo, Wols et

depuis deux jours sur la région avait retenu pas mal de monde, même si l’entrée fut des plus estimables. Tobarra (Murcie) . Dimanche 22 FÉVRIER. Arènes couvertes. Matin. Plein. Novillos de Fernando Peña, bons (tour de piste au 2e et au 3e), pour Oscar VEGA (une oreille) Manuel CARBONELL (tour de piste) José Miguel Pérez “JOSELILLO” (tour de piste après un avis) Alberto ROMÁN (une oreille) Jorge ROMERO (une oreille) Sergio ZAMORANO (deux oreilles). Novillada télévisée par TV Castilla La Mancha.