Othello Jalousie

ces passions éveillent une jalousie violente chez le personnage tragique qui l'amène inexorablement à sa perte. Dans Andromaque, Hermione est jalouse de l’amour de Pyrrhus pour Andromaque et demande ainsi à Oreste de le tuer. On voit que cela détraque les relations entre les personnages car la mort de Pyrrhus désespère la jalouse Hermione qui se donne la mort par la suite. Le schéma est à peu de chose près le même dans la pièce de l’illustre dramaturge anglais, Othello. Le personnage tragique éponyme

le combat est perdu d’avance car ne sont pas maîtres de leur sort.  => Cela inspire également terreur et pitié chez le spectateur. • La représentation théâtrale peut être violente => Violence des sentiments, des passions… Développez un exemple : jalousie de Phèdre – passionnée, aliénée, divisée, Phèdre est un personnage ambigu, fascinant dans sa complexité –, violence de la passion d’Hermione, fin d’Andromaque (la folie et la mort))…                 ∆) Dans la tragédie classique en effet, on peut

quarantaine de pièces. Parmi les comédies : Le Songe d'une nuit d'été (1592-1595) ; Beaucoup de bruit pour rien (1595-1600) ; Les Joyeuses Commères de Windsor (1600-1601). Parmi les tragédies :Macbeth et Le Roi Lear (1605-1607) ; Hamlet (1595-1600) ; Othello (1601-1604). Parmi les drames historiques : Richard II (15951600) ; Richard III (1592-1595) ; Henri IV (1595-1600). Signe particulier Sa vie et son œuvre ont été l'objet de vives controverses. Certains ont longtemps douté de son existence ; d'autres

Lectures analytiques 1-Abbé Prévost, Histoire d’une grecque moderne, manuel page 2-Stendhal, La Chartreuse de Parme, manuel page : 3-Marcel Proust, extrait de « Un amour de Swann » dans Du côté de chez Swann 4-Alain Robbe-Griller, La jalousie, manuel page : Textes complémentaires -Marguerite Duras, extrait de L’Amant, extrait de L’Amant de la Chine du Nord Marguerite Duraille ( Patrick Rambaud) -Baudelaire, « La chevelure » et « Un hémisphère dans une chevelure » -Verlaine

d'Alexandre Dumas par exemple, Anna explique au personnage éponyme, un acteur anglais, tous ce que le théâtre lui a apporté. Elle fait une liste des sentiments qu'elle a éprouvé à chaque pièce, en expliquant quel personnage les lui à fait ressentir; Othello la jalousie, Hamlet le désespoir, Roméo l'amour, etc. A travers cette énumération, l'auteur montre que le théâtre est en quelque sorte un condensé de la vie, le public perçoit beaucoup plus de choses en regardant une pièce qu'en une journée entière. Beaucoup

incarnés par des acteurs de chair et de sang, capable de faiblesses, les spectateurs s’identifient à eux. Alors, ils découvrent à travers eux les potentialités de leur âme. Anna, l’héroïne de Kean, avoue « Roméo m’avait fait connaître l'amour, Othello la jalousie, Hamlet le désespoir... Cette triple initiation compléta mon être... ». Ainsi le théâtre, non seulement nous invite à nous considérer avec objectivité, mais en nous faisant vivre par procuration intrigues et sentiments, il nous dévoile les mille

des nouvelles : tout T. Gautier ; J. Barbey d’Aurevilly (Les Diaboliques) ; A. Villiers De L’Isle Adam (Contes cruels) ; E-A Poe (Anglais) … Théâtre: (Objet d’étude: théâtre et représentation) - Roméo et Juliette, W. Shakespeare; Othello (thème de la jalousie) - Dom Juan, Molière (ou Le Misanthrope) - Corneille et Racine (tout) - Le Barbier de Séville/ Le Mariage de Figaro, Beaumarchais - On ne badine pas avec l’amour ; Les Caprices de Marianne, A de Musset - Electre ; La Guerre de Troie

Ophélie son amour, qui devient folle et se noie. La mère de Hamlet se tue et il ne veut plus croire à rien. « Être ou ne pas être, c’est là la questions ». * Dans Othello, la folie que peut causer la jalousie est mise en scène. Ainsi, Othello vient d’épouser Desdémone qui est la pureté même, mais Iago ment et fait croire à Othello qu’elle le trompe, ce dernier étouffe sa femme puis comprenant la machination se tue. * Dans Macbeth, c’est l’horreur absolue, l’angoisse. Macbeth tenté par sa femme

nécessairement cependant car, écrit Bergson, il existe des « vices tragiques ». Ce sont-ceux qui, loin d’être figés en la personne s’accroissent et se transforment de plus en plus profondément. A quoi pense donc Bergson ? Un peu plus bas, il parle de la jalousie d’Othello de Shakespeare. La figure du diable n’est-elle pas, elle aussi, adéquate pour donner une image de ces vices tragiques auxquels pense Bergson – soit ici, peut-être, une soif de plus en plus profonde et accrue de souffrances, de plus en plus

l’extrait : Plan : Problématique : À quoi réagissons-nous quand nous sommes en face d’une fiction ? Section I Pour introduire son sujet, Peter Lamarque nous décrit une scène de la pièce Othello, le Maure de Venise de William Shakespeare : cette scène nous décrit le moment ou Othello, pris d’une folle jalousie, tue sa femme qui se trouve sur son lit, clamant son innocence. Lamarque insiste sur les sentiments que nous éprouvons à ce moment de la pièce, à savoir la colère et la consternation engendré