Othello Jalousie

que derrière ces différences, les personnages peuvent lui parler. Hugo : « Les personnages de l'ode sont des colosses : Adam, Caïn, Noé ; ceux de l'épopée sont des géants : Achille, Atrée, Oreste ; ceux du drame sont des hommes : Hamlet, Macbeth, Othello. L'ode vit de l'idéal, l'épopée du grandiose, le drame du réel ».             A- Le héros bon et brigand du drame romantique • Drame romantique : héros singuliers remplacent les personnages stéréotypés des XVIIe et XVIIIe siècles. Hugo voulait rendre

nouvelles formes. Extrait du corrigé : Ex : Marivaux n'écrit pas ses pièces de la même manière si elles sont pour les comédiens italiens ou pour la Comédie française. Pour chaque genre, personnages. Comédie : caricatures.../tragédie : passions (jalousie...) II- Un art pas si éloigné de la vie Le théâtre est le monde de l'illusion mais cependant, l'illusion est parfois témoin de la réalité et les romantiques ont même essayé de créer des héros plus proches des hommes que n'auraient pu

mon cceur de lâche tout blânc: pour qu'elle pose dessus ses petits pieds. (A Anna.) Va chercher Cassio, lon amant: il pouna désormais te cajoler sous mes yeuxt. 1Sa frappant la poitrine.) Cet homme n'est pas dangereux. C'est à tort qu'on prenait Othello pour un grand cocu royal. Je suis un co...co... un... co...co.. mique. (Rires. Au pince de Gafes.) Eh bion, Monseigneur, ie vous I'avais prédit: pour une fois qu il me prend une vraie colère, c est I'emboîtâge'. (Les sifflets redoublent: < A bas Kean

mon cceur de lâche tout blânc: pour qu'elle pose dessus ses petits pieds. (A Anna.) Va chercher Cassio, lon amant: il pouna désormais te cajoler sous mes yeuxt. 1Sa frappant la poitrine.) Cet homme n'est pas dangereux. C'est à tort qu'on prenait Othello pour un grand cocu royal. Je suis un co...co... un... co...co.. mique. (Rires. Au pince de Gafes.) Eh bion, Monseigneur, ie vous I'avais prédit: pour une fois qu il me prend une vraie colère, c est I'emboîtâge'. (Les sifflets redoublent: < A bas Kean

l’esthétique classique. Deux thèmes dominent le théâtre Elisabéthain : • La tragédie apparait vers 1600 et met en scène les faiblesses humaines et leurs conséquences. A la fois familiale et politique, on y retrouve des thèmes variés comme la jalousie, l’ambition, l’égoïsme,… Elle montre l’instabilité de la société anglaise par les crimes de rois, les rivalités et les luttes acharnées de la bourgeoisie. • Les comédies sont des pièces divertissantes mais aussi parfois étranges (magie..). Certains

Kean, le personnage de Jean-Paul Sartre, ce dernier amène la confusion entre l’acteur et le personnage. Le lecteur ne sait pas qui il doit admirer, car la jalousie de Kean lors de la représentation est passée au dessus de son jeu d’acteur. Kean met le doute sur l’exactitude de son personnage à la ligne 17/18 « mais qui applaudissez-vous ?(..) Othello ? Impossible », cependant il remet en cause, également, sa propre existence « il n’y a personne en scène. Personne Ou peut-être un acteur en train de jouer

lorsqu’on se trouve dans une situation facile, ou une satisfaction sans aucun problème. Le passionné n’est pas tranquille, il reste sur ses interrogations à propos de l’objet aimé qu’il en vient même à suspecter : « est-ce qu’elle m’aime « ? ( trahison, jalousie, ).Le passionné vit un véritable écartèlement ou déchirement qui va se manifester par une modification importante du travail de la raison. En effet, la passion compromet, par une sorte d’idée fixe ou d’obnubilation l’exercice normal de l’intelligence

à ses souhaits : La dame de Shanghai (1947), La soif du mal (1958)... On se souvient également de son adaptation du Procès de Franz Kafka (1963, avec Anthony Perkins et Jeanne Moreau), et de quatre pièces de William Shakespeare : Macbeth (1948), Othello (1952), Falstaff (1965) et Le marchand de Venise (1969, téléfilm). En tant qu'acteur, on le voit dans Le troisième homme (1949), puis dans toutes sortes de caméos et de guest-starrings cinéma et télé, jouant de sa silhouette massive reconnaissable

spectateurs. Enfin, elles révèlent le personnage même de Kean : sont-elles la marque d’un certain recul de sa part, de son intérêt pour ainsi dire professionnel pour les effets que le jeu d’un acteur provoque sur un public ? Car l’acteur qui jouait Roméo, Othello, Hamlet, on s’en doute, c’est bien lui : il peut ainsi observer – avec un certain plaisir et une certaine fierté ? – les qualités de son propre jeu à travers le récit d’Anna. Est-ce de la curiosité et le senti- ment que, si l’acteur a su toucher ainsi

humains Ce type de personnage peut nous faire réfléchir sur nos propres travers ex :! - Gervaise Macquart (dans L'Assommoir de Émile Zola) qui sombre progressivement dans la gourmandise et l'alcoolisme  ! - Othello (dans Le Maure de Venise de William Shakespeare) qui tue sa femme par jalousie b) Ils permettent de rendre l'oeuvre plus attrayante Un personnage de meurtrier ou de fou peut ainsi rendre une oeuvre plus intéressante, de plus les "méchants" sont souvent la force d'une œuvre ex :! -