Ouvre les yeux

et des autres est restreinte, le rejet moral de la société par l'emprisonnement lourd à porter, la réparation du préjudice subi par les victimes presque inexistante. Tout y concourt à dépersonnaliser les personnes et à les rendre sans importance aux yeux des autres. Dès lors, l'adaptation aux règles de survie est vitale et l'égocentrisme, l'agressivité, la violence, le déni de la faute et l'atténuation du sentiment de culpabilité refaçonnent la personne.Malgré la loi de Principes qui invite à une possible

amour n’est plus grand! Tu as gagné sur la mort, ta gloire remplit les lieux très hauts. Rien ne peut nous séparer!   2/Tu marches devant moi, tu gardes mes pas, ta main me soutient. Je sais que tu m’aimes   si tout s’effondrait devant mes yeux. Et tu resterais là, je sais que tu m’aimes.   Bridge: Tu déchires le voile, tu traces un chemin car tu as tout accompli. A LA RIVIERE À la rivière, humble, je viens déposer tous mes péchés Pardonne-moi, purifie-moi

situation que je vais décrire concerne Adrien, jeune homme de vingt ans. Il a des cheveux bruns, les yeux marrons et un visage affichant régulièrement un sourire. Adrien est atteint du syndrome de Joubert depuis sa naissance. C’est une maladie génétique qui affecte le cervelet et le tronc cérébral. Cela entraîne chez lui une hypotonie, des troubles respiratoires, des mouvements anormaux des yeux et un développement psychomoteur retardé. La maladie affecte le patient également sur le plan physique :

la bouche de cocarde et de bouquet d'étoiles de dernière grandeur Aux dents d'empreintes de souris blanche sur la terre blanche A la langue d'ambre et de verre frottés Ma femme à la langue d'hostie poignardée A la langue de poupée qui ouvre et ferme les yeux A la langue de pierre incroyable Ma femme aux cils de bâtons d'écriture d'enfant Aux sourcils de bord de nid d'hirondelle Ma femme aux tempes d'ardoise de toit de serre Et de buée aux vitres Ma femme aux épaules de champagne Et de fontaine

construisent un mur séparant l’est et l’ouest en août 1961. De nombreuses familles berlinoises sont séparées. - 1989 : chute du mur de Berlin. A la suite de changements géopolitiques la situation change dans les démocraties populaires. La Hongrie ouvre le « rideau de fer » et, durant l’été 1989, de nombreux Allemands de l’est en vacances dans ce pays fuient à l’ouest. Les manifestations se multiplient en Allemagne de l’est. Privé de l’appui soviétique, les dirigeants autorisent « les voyages privés

au milieu, il y a une coupe de fruits. Ces cinq femmes sont peintes dans un camaïeu incarnat (c’est-à-dire, de couleur chair) qui contraste avec le bleu, le blanc et le marron du rideau que la femme de gauche ouvre avec sa main. Les femmes du centre fixent le(s) spectateur(s) de leurs yeux exorbités. Si leur visage est dessiné de face, leur nez est dessiné de profil. La cinquième femme à droite est accroupie et nous tourne le dos, le corps de ces femmes semble déformé, représenté à la fois de profil

l’ensemble de la classe. Ce travail de groupe et collectif permet de faire émerger les représentations des élèves et de faire participer tous les élèves. Un réseau de lectures doit permettre aux enfants de mieux comprendre le texte qu’ils ont sous les yeux. Ce réseau de lectures peut être créé par les élèves qui peuvent apporter des livres de chez eux, en relation avec le thème proposé. Réseau de lectures : la mise en abîme dans la littérature de jeunesse • Les trois cochons de D. Wiesner : Intertextualité

parfums, etc.) : et il faut de la lumière et des yeux pour que la vision ait lieu ; et alors il y a un champ visuel. Le champ visuel commence Roselyne Dégremont - © Philopsis – Tous droits réservés 1sensiblement en avant des yeux, il a son horizon et ses limites latérales : le reste est « invisible » en l'état ; si une rotation sur soi pouvait le rendre visible, il ne serait invisible qu'en puissance. Mais déjà là, dans notre champ visuel, yeux ouverts, à la lumière du jour : il y a de l'invisible

assumer sa fragilité. Chris, oh Chris... Je l'ai adoré ! Premièrement car il est différent des autres garçons. Sans tomber dans les clichés, nous découvrons un jeune homme amoureux, sensible, sincère. Il m'a ému, m'a touché, j'ai eu les larmes aux yeux plusieurs fois. Car dans des histoires comme celle-ci, on se dit que le futur papa qui est si jeune va prendre la fuite, eh bien non. Chris aime Helen, et il veut rester avec elle quoi qu'il arrive. Mais elle, ressent-elle la même chose que lui ? Chose

adulte est omniprésente nous poussant à nous questionner continuellement sur le sens que l'artiste a voulu donner à son œuvre. Cette impression est renforcée par le sentiment très ambiguë de voir l'exposition avec nos yeux d'adultes alors que le descriptif de l'œuvre est fait avec des yeux d'enfant. On en vient tout naturellement à se poser la question «grandir n'est-ce pas perdre son âme d'enfant?» Étrange impression que celle de se rendre compte qu'en grandissant nous avons perdu quelque chose et que